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Avortement : des femmes témoignent

Une souffrance que les agents du « Progrès » veulent cacher

Elle a avorté, un jour. C’était il y a 3 ans. Elle en a aujourd’hui 25. Lorsqu’elle s’est retrouvée enceinte, qu’elle l’a annoncé à son petit ami, Margaux ne s’attendait pas à une telle descente aux enfers. Très rapidement, son ami lui a demandé de ne pas garder l’enfant issu de leur union. Très rapidement, il la quittée. Elle s’est retrouvée totalement seule.

 

Pressions, abandon, souffrance : des femmes témoignent

Subissant la pression de son entourage, qui lui indiquait que financièrement elle ne pourrait subvenir à ses besoins, Margaux a fini par avorter. C’est alors pour elle une longue traversée du désert. Sommeil troublé, crises de larmes à répétition. Mais elle a surtout des envies de suicide. « Je ne dormais plus, je mangeais plus, j’ai perdu 10 kilos. Ma mère qui avait fait pression sur moi pour que je ne garde pas mon enfant a reconnu plus tard qu’elle avait été égoïste… »

Il y a Margaux, il y a aussi Anne-Laure. Cette jeune femme de 28 ans a subi un avortement par aspiration il y a un an et demi. Le témoignage déchirant de cette jeune femme ouvre le voile sur un tabou : la solitude, la souffrance, la très grande détresse de nombre de femmes qui, sous la pression, l’angoisse, l’inquiétude, privées des conseils dont elles auraient besoin, des soutiens financiers qui leurs seraient nécessaires, avortent, pour leur plus grand désespoir.

 

Souffre et tais-toi : briser le silence autour de l’avortement

Les conséquences psychologiques sont immenses, les dégâts collatéraux souvent incalculables et la société se tait. Les femmes doivent souffrir en silence, sans se plaindre. Le sujet est tabou, mais pas sur Internet. Partout sur le Web, on trouve des témoignages de ce type. Certaines vont même jusqu’à poster leurs vidéos-témoignages sur YouTube. Elles ont besoin d’en parler, car personne ne veut les entendre. La souffrance post-avortement est pourtant un fait avéré. Des spécialistes commencent à l’évoquer enfin. Une étude sur 173.000 femmes californiennes à partir des remboursements de leur mutuelle médicale a révélé que le risque d’avoir recours à un traitement psychiatrique est 63 % plus élevé pour les femmes ayant avorté.

 

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60 Commentaires

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  • #1395977
    Le 13 février 2016 à 10:20 par Brindavoine
    Avortement : des femmes témoignent

    Les sionistes poussent toujours à l’avortement des femmes blanches, pour faire diminuer la population "aryenne" . Par contre en Israël, les juives avortent 4 fois moins que les Françaises : 3 enfants par femme en Israël, le plus fort taux de fécondité des pays de l’OCDE .

     

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  • #1396014
    Le 13 février 2016 à 11:00 par SC31
    Avortement : des femmes témoignent

    Ca me fait marrer, ce genre de vérités.
    Culpabiliser la mère pour la projeter dans une maternité où le père ne sera pas forcément présent - et dont l’absence brille étrangement dans ce reportage - est dangereux. Un enfant ne grandit bien qu’avec un socle familial et allez voir dans les banlieues le joyeux résultat de l’éducation monoparentale.
    J’ai élevé mon gamin de 13 ans totalement seule, de la grossesse à ce jour et je salue bien bas toutes les femmes qui ont ce courage au quotidien.
    Faire croire à des gamines que leur avenir avec enfant sera merveilleux et exempt de dépression, coups durs, nuits sans sommeil, est une escroquerie.

     

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    • #1396401
      Le Février 2016 à 18:46 par souris
      Avortement : des femmes témoignent

      gamines ou pas, "coups durs et nuits sans sommeil", c’est le lot de TOUTES les mamans, chère madame ! mais quand on aime, on ne compte pas ! désolée de vous le rappeler ...

      de la part d’une maman de 7 enfants

       
    • #1396657
      Le Février 2016 à 01:55 par Andrée
      Avortement : des femmes témoignent

      @ souris

      De la part d’une personne qui prétend ne pas compter, le fait de mentionner d’avoir 7 enfants est sans doute anodin... surtout quand cela s’adresse à une femme qui dit éduquer seule son unique enfant !
      Vous êtes-vous aperçue, dans votre amour incalculable, que ce que déplorait (peut-être maladroitement) @SC31, était la difficulté pour une femme de devoir assumer seule, dans ce monde de brutes, l’existence d’un petit être sans la présence protectrice et irremplaçable d’un mari et d’un père ?
      Que c’est cette absence qui rend le sommeil de la femme seule pénible et angoissant et non l’absence "d’amour sans compter" pour son enfant, comme vous le laissez sous-entendre ? D’autant qu’une mère célibataire trouvera plus difficilement un autre homme, car après tout -et c’est bien naturel- l’homme n’a pas vocation à assumer les enfants d’un autre ?
      Enfin, avez-vous songé que, si elles le pouvaient, peut-être certaines de ces femmes rêveraient comme d’un privilège d’avoir un mari leur permettant d’avoir 7 enfants ?

      Ah, elle est belle, la fameuse "solidarité féminine"... et la charité aussi !

      Notre société est déjà bien assez laide pour éviter d’en rajouter une couche sur ceux, hommes ou femmes, qui en souffrent le plus...

       
    • #1396994
      Le Février 2016 à 13:41 par pol
      Avortement : des femmes témoignent

      @SC31
      @Andrée

      1°) Faire un enfant n’est pas anodin, c’est très rarement l’opération du saint-epsirt (un seul cas recensé). C’est un comble qu’à notre époque où on sait parfaitement se prémunir d’une grossesse non-désirée on puisse à ce point décorréler l’acte sexuel de ses éventuelles conséquences...

      2°) Soustraire le père de sa responsabilité en lui permettant de ne pas reconnaître l’enfant est une connerie. Un bon test ADN et chaque queutard prendra ses précautions ou assumera la conséquence de ses actes.

      Commençons par éduquer correctement nos enfants sur comment notre espèce se perpétue et sur quelle société nous voulons. Ensuite nous aurons tout le loisir de comparer nos fardeaux, à savoir s’il est plus judicieux d’exterminer un enfant en devenir dans son ventre ou bien d’assumer sa grossesse en élevant seule et aléatoirement un enfant tout en bossant en parallèle (avec l’absence morale que cela peut induire en plus de l’absence physique du père). Car à mon sens, les grossesses non-désirée liées à un viol/accident de contraception/irresponsabilité médicale des parents, ou encore les avortements eugéniques (la majorité des gens sont prêts à avorter en cas de trisomie), ne sont certainement pas la majorité des cas.

      Bref, arrêtons de croire que nos organes reproducteurs sont des jouets. Libre à chacun de jouer avec ce qu’il veut du moment qu’il est capable d’en assumer les conséquences. Pour le reste, c’est le rôle de la société, celle qu’on s’est choisie justement...

       
    • #1397588
      Le Février 2016 à 07:28 par Marie59
      Avortement : des femmes témoignent

      Andrée, vous dites qu’une femme célibataire avec un enfant trouvera moins facilement un conjoint. Pas sûr, je contaste même le contraire ! En effet, une femme qui a renoncé à une vie plus facile et souvent superficielle pour l’amour de son enfant, a souvent plus de caractère, elle sera plus mûre, plus épanouie et plus apte à donner de l’amour. Ce qui, indéniablement, attire plus les hommes qu’une névrosée (l’avortement laisse toujours des séquelles) ayant sacrifié son bébé pour une hypothétique relation future !

      Et c’est, croyez-moi, faire preuve de solidarité féminine que de rappeler ce principe très simple !

       
    • #1398057
      Le Février 2016 à 18:51 par Andrée
      Avortement : des femmes témoignent

      @ pol et Marie59

      Je ne sais pas où vous voulez en venir, car je n’ai nulle part fait l’apologie de l’avortement.

      Si l’on parle, sur un plan général, de la fonction de l’homme (mari et père), on ne parle pas de la responsabilité de la femme envers sa progéniture, ni pour la diminuer ni pour l’augmenter, ce n’est pas le sujet ! Je ne vois pas en quoi le fait de dire cela reviendrait ici à justifier l’avortement. Il y a une logique qui m’échappe, là...

      Je trouve assez ironique que face au constat général de cette fonction essentielle de l’homme qui vient de plus en plus à manquer (et je n’en aborde pas ici les causes), une personne vienne vanter isolément les mérites de la mère d’une nombreuse progéniture...comme si cette dernière n’était pas rendue possible, précisément, par la présence de l’homme ! Or c’est bien parce que j’ai à l’esprit cette complémentarité irremplaçable des fonctions, que j’ai réagi au propos de @souris qui semblait bizarrement l’avoir oubliée, dans une sorte de féminisme inversé (c’est-à-dire une représentation centrée sur la femme et d’où l’homme est absent).

      Comme quoi, y compris dans la critique de notre société, il y en a qui tombent encore, sans s’en rendre compte, dans les travers induits par celle-ci... Ce n’est pas étonnant. En revanche, c’est un peu agaçant de se voir reprocher une complaisance vis-à-vis de l’avortement quand on entend au contraire dénoncer ce paradoxe.

      Maintenant il est clair que chacun doit assumer les responsabilités qui relèvent de son état. Ce n’est que l’application -conséquente du respect de sa propre fonction naturelle- d’une loi de nature qui n’est nullement contestable.

       
  • #1396152
    Le 13 février 2016 à 13:48 par Apache
    Avortement : des femmes témoignent

    A GregM, Azouzi et tous les autres,

    A 25 ans, elle m’a annoncé qu’elle était enceinte, et qu’elle voulait garder cet enfant.
    Je n’avais pas spécialement envisagé de faire ma vie avec elle, et donc je ne voulais pas qu’elle le garde.

    Je l’ai rattrapé sur le palier juste avant qu’elle ne prenne l’ascenseur pour l’hôpital. Au dernier moment je me suis dis que je n’étais pas un salaud, et que je me devais d’être responsable.

    Par la suite je l’ai quitté, elle a passé sa grossesse toute seule, a accouché sans que je sois présent, et c’est seulement à l’âge de 4 mois que j’ai vu ma fille. Ne pouvant rester dans cette position, je lui ai proposé, quand je suis revenu vivre avec elle, que l’on se marie. Depuis, je n’ai plus quitté ce joli bébé qui est devenue maintenant, à l’âge de 25 ans, une belle et intelligente jeune femme. Elle a eu une autre soeur et un frère !

    Mais, une semaine avant que l’on se marie, elle m’avoue avoir déjà été enceinte deux ans auparavant, et avoir avorté en s’enfonçant des aiguilles à tricoter.
    C’était un petit garçon, paraît-il.
    Je vis avec ce secret depuis ce temps.

    Bien sûr, sans assistance psy à l’époque, cela a donné une femme complètement
    fracassée psychologiquement, qui est incapable, encore aujourd’hui, de jeter dans la poubelle ce qu’elle balaye !! J’ai donc élevé seul mes trois enfants, même si nous vivons tjs ensemble, c’est moi qui me suis occupé de l’éducation de mes enfants.
    C’est peut être à cause de cela, que j’ai une relation privilégié avec mes trois enfants.

    Le revers de la médaille ? Avoir passé une vie avec une femme qui, à cause de ce traumatisme, n’en est pas une : aucune sensibilité ni coquetterie féminine, aucune féminité, aucun désir d’aucune sorte et bcq de refoulement. Donc pas facile de vivre dans ces conditions. Si, en tant que père je suis comblé, en tant que mari, les choses sont on ne peut plus délicates.

    N’ayant jamais voulu abandonner mes enfants en divorçant, je n’en aurais pas eu la garde, je suis resté pour eux. Je me dis souvent que je vis plus avec mes enfants, qu’avec ma femme.
    La morale dans tout ça : j’en sais fichtre rien, trop de souffrances pour émettre un avis,
    mais globalement contre, Quand Même, Merde (pour finir sur une note d’humour) !!!!

     

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  • #1396335
    Le 13 février 2016 à 17:17 par Yves remord
    Avortement : des femmes témoignent

    Qu’on soit pour ou contre l’avortement, Je pense que c’est à la femme enceinte d’avoir le dernier mot.
    "Des spécialistes commencent à l’évoquer enfin." Enfin ? l’auteur doit vivre dans une grotte c’est pas possible ?

    "Une étude sur 173.000 femmes californiennes à partir des remboursements de leur mutuelle médicale a révélé que le risque d’avoir recours à un traitement psychiatrique est 63 % plus élevé pour les femmes ayant avorté."

    Ah bon !? attendez... vous voulez dire qu’une femme qui tombe enceinte puis qui avorte, donc qui subit un choc psychologique, à plus de chance d’avoir recours à un traitement psychiatrique qu’une femme qui vit sa vie de tout les jours ? J’en tombe des nues.

    Et puis les commentaires qui sous-entendent que les femmes qui avortent sont des assassins, bah ça me fait bien rigoler !!! Vous avez lu le nom du site ? Vous avez bien d’étrange comportements pour des gens qui prônent la réconciliation.
    Surtout que je suis prêt à parier derriere que c’est les premiers à critiquer les Femmes qui ont trop d’enfants...

    Alalala je vous jure ER c’est plus ce que c’était...

     

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  • #1396339
    Le 13 février 2016 à 17:26 par Silence Radio
    Avortement : des femmes témoignent

    Je suis un homme. Par malheur, j’ai eu à décider d’avorter avec une ex-compagne il y a quelques années. Nous avions tout les deux sans hésitation justifié la chose par nos conditions économiques, mais c’était en effet par frayeur, ignorance et incertitude. Nous avons tout deux manqué de courage et de confiance en l’avenir, et nous nous sommes perdu de vue. J’en pleure parfois encore comme un papa fantôme avec le regret d’avoir fait souffrir sa femme.

    C’est sur que mon histoire de mec tout le monde s’en fout, mais je pense que chaque misère se vaut et que ce genre d’article met en valeur des symptômes réels sous une forme qui se vend bien plutôt que d’approfondir vers la cause : cette nécessité de se vendre et de calculer plutôt que de vivre.

     

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  • #1396351
    Le 13 février 2016 à 17:49 par Milena
    Avortement : des femmes témoignent

    J’ai 70 ans, mère célibataire d’un fils de 50 ans légèrement autiste à cause du vaccin de la variole. Contre l’avis de ma famille bourgeoise qui voulait que j’avorte, je l’ai gardé et l’ai élevé seule...ce qui fut une vraie galère. Après entre 25 et 36 ans, j’ai avorté 5 fois (pères différents qui n’en voulaient pas) avant et après la loi Weil de 1975. Cela ne m’a jamais traumatisée, j’étais plutôt soulagée après chaque avortement. Pour moi, c’était juste un amas de cellules qui risquait de devenir un problème si on attendait trop, pas un être vivant. L’abandon du père de mon fils par contre avait été un vrai choc pour moi qui avait mis plusieurs années à s’estomper.
    A l’époque, j’étais dans les ténèbres, menant une vie de fofolle, une réaction à à ce premier abandon très mal vécu, sans doute.
    J’ai retrouvé la foi et pris conscience de ce que j’avais fait. J’ai demandé pardon à Dieu. Nous sommes tous et toutes différents avec des histoires spécifiques à chacun(e) Je n’ai pas l’impression d’être un monstre, j’essaie d’être à l’écoute de mon prochain comme je peux.

     

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  • #1396627
    Le 14 février 2016 à 00:57 par Je l’ai toujours dit...
    Avortement : des femmes témoignent

    "Quand vous vous serez connus, alors vous serez connus et vous saurez que c’est vous les fils du Père Vivant.
    Mais s’il vous arrive de ne pas vous connaître, alors vous êtes dans la pauvreté, et vous incarnez cette pauvreté." (Jesus, Evangile de St-Thomas)

     

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  • #1396675
    Le 14 février 2016 à 02:29 par Marie59
    Avortement : des femmes témoignent

    Est-ce que Marisol Touraine entend la détresse de ces femmes ?

    - "Je n’ai trouvé personne pour prendre la défense de mon enfant..."
    - "C’était mon bébé, je voulais le garder, mais j’étais la seule à le vouloir, personne ne m’a aidée..."

    Alors, qu’on ne vienne pas nous parler de CHOIX de la femme ! Il est où le choix ici ? Pour que la femme ait véritablement le choix, il faut lui en donner les moyens. La ministre de la santé, au lieu de financer des campagnes de décalcomanies macabres devrait penser à mettre en place une véritable structure qui accueille et aide ces femmes qui veulent garder leur bébé. Et, si vous ne voulez pas vous ridiculisez, ne parlez pas du Planning Familial qui serait là pour ça... !

     

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  • #1397548
    Le 15 février 2016 à 03:04 par J.
    Avortement : des femmes témoignent

    Quand ma femme est tombée enceinte on avait la vingtaine, le fait d’avorter ne nous est même pas passé par la tête... alors même qu’on ne se connaissait que depuis 1 mois, qu’elle était étrangère et de passage en France pour des études, tous les deux étudiants, tous les deux immatures... tous les deux sans le sou !
    Quand elle était à trois mois de grossesse quelqu’un nous a demandé si on avait pensé à avorter... et on s’est regardé, surpris... c’était la première fois même que cette idée nous traversait l’esprit ! l faut dire qu’on avait pas été formaté complètement par le "système" durant notre enfance.
    J’ai pris le premier boulot venu et tout s’est mis petit à petit en place... et cet enfant nous a aidé à grandir. Et aujourd’hui on imagine même pas notre vie différemment !
    Le problème de l’avortement n’est pas un problème moral, je pense, mais un problème socio-économique (comme la plupart des questions sociétales)... je pense que Soral est plus ou moins sur cette ligne. Le Capital en a fait un problème moral avec des cathos tradis réacs (et je précise, je ne suis même pas catholique) qui seraient des conservateurs d’une morale dépassée pour mieux occulter la vraie cause qui semble être socio-économique. Bon, après, c’était surtout vrai il y a 30 ans... maintenant beaucoup le font par confort, et le mal-être est plus inconscient (mais quand même présent, j’en suis sûr... n’oublions pas l’éternel retour du Réel)...
    En tous cas, la vie est peut-être plus éprouvante pour le côté fatigue, avec un enfant, mais après en tant qu’homme, je me sens bien plus viril et plus accompli que je ne l’étais avant... Merci donc à ********* et aussi à Soral (car il y a participé aussi :) ...) pour m’avoir aidé à devenir un peu plus un homme !

     

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  • #1399971
    Le 18 février 2016 à 01:54 par Annick
    Avortement : des femmes témoignent

    iI y a un vrai travail de reconstruction de ses femmes et de réconciliation avec leur corps, (leur ventre et donc leur esprit ) qui n’est pas entrepris. Qui va les aider sur ce chemin afin qu’elles retrouve la sérénité ? Il très important pour leur équilibre et celui de leur proche que ce travail soit fait , il en va de leur devenir à tous ...

     

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