Chirac savait trouver les mots qui leur plaisent. Mitterrand les égratignait, mais ne manquait pas de placer quelques-uns d’entre eux dans son entourage. Depuis, on sait que si les maçons ne font pas une élection, il est prudent de ne pas négliger leur influence...
En 2007, lors de la dernière présidentielle, on en trouvait partout. Partout, en l’occurrence, cela signifie qu’il y en avait dans tous les camps, notamment dans l’entourage des deux finalistes. Cherchez le maçon ! Malgré la tradition de secret que cultivent toutes les obédiences, ce n’est pas très compliqué.
Ségolène Royal avaient les siens, issus des baronnies roses. Gérard Collomb, le Lyonnais, Patrick Mennucci, le Marseillais, ainsi que François Rebsamen, le Dijonnais, qui n’en est plus depuis longtemps mais qui a gardé le contact avec tout ce que la politique et la haute administration comptent de "frangins".
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