« France Télévisions a démontré que le service public n’est pas un gage de neutralité, ni de pluralisme. Dès lors, ce service public n’a plus lieu d’être. Que fait France Télévisions que ne font pas les chaînes privées ? Qu’est-ce qui manquera au paysage audiovisuel français si, demain, France Télévisions devient un groupe privé ? À mon avis, rien. »

Sarah Knafo montre son vrai visage, celui du national sionisme en costume traditionnel droitardé atlanto-sioniste. Si l’Audiovisuel public, territoire largement occupé, venait à être définitivement colonisé par le privé apatride, ce serait une perte immense qui priverait la majorité de Français qui votent encore, de la possibilité de retrouver une boussole pour remettre l’église au milieu du village français.

Comme vous le soulignez, le SPA ne doit pas cesser d’être public, il doit juste redevenir radicalement français au seul service de la France.

Le PAF ne doit pas disparaitre, il doit redevenir Français. Sa corruption actuelle, visible à travers sa colonisation culturelle par l’international wokisme et la culture apatride, n’est que le miroir de la corruption et de la colonisation politique et économique qui a rendu cela possible.

Il n’y a qu’à revoir le langage et la tenue des Français de toutes origines dans les archives de l’audiovisuel des années 60 et 70 pour comprendre ce qu’est le PAF (Paysage Audiovisuel Français), et ce qu’il peut apporter de salutaire dans le marasme identitaire actuel.

Lorsque j’étais enfant immigré, l’audiovisuel était encore Français, et je rêvais de pouvoir un jour parler français comme les gens dans la télévision.

Comme dirait Mitterrand à Elkabbach ; souhaiter la disparition du SPA donc celle du PAF, c’est l’entretien de la haine de la France, c’est méconnaitre l’honneur que c’est d’avoir un audiovisuel public radicalement français au seul service de la France.

N’en déplaise à Sarah Knafo, qui semble penser qu’il suffit de savoir faire une division pour vivre un compte de fée patriote, le service public c’est pas juste de l’argent, c’est censé être un jardin à la française pour la culture nationale, c’est cher à entretenir et c’est d’une beauté reconnaissable et contagieuse.

Et ce ne sont pas les boîtes à fric audiovisuelles privées spécialisées dans l’entretien de la colonisation culturelle à but lucratif qui vont occuper ce créneau.