Trump ne croit pas à la version officielle du 11 Septembre
17 septembre 2024 17:39, par Druide
Cambridge Analytica analyse les réseaux sociaux de façon à pouvoir donner aux politiciens des points de propagande ("talkings points") qui leur feront gagner des points en vue des élections. Ces petits signaux ("dog whistles") de Trump aux "Truthers" relèvent du même genre d’opération d’autopromotion par la propagande, la manipulation du public : laisser croire qu’on soutient la vérité sur le 11 septembre, tout en soutenant la débilissime sioniste génocidaire et islamophobe carabinée Laura Loomer, agitant une affiche "9-11 was an inside job" (informez-vous sur cette crasseuse propagandiste amie d’Alex Jones et compagnie). Pure opération d’image, dans la tradition développée par le père des "relations publiques", de la propagande et de la publicité, le neveu de Freud, Edward Bernays...
N’oublions pas le rôle central de Rudy Giuliani dans le 11 septembre, or Giuliani fut très proche de Trump : il fut son avocat et co-conspirateur des événements du Capitole.
Cambridge Analytica a aidé l’élection de Trump en 2016, dont la campagne était dirigée par Steve Bannon, un magicien du chaos autoproclamé. La campagne de RFK Jr semble utiliser les mêmes "points de propagande" de Cambridge Analytica ; pour Bannon, RFK Jr est son "candidat du chaos".