Des médaillés, censés être des dieux de l’Olympe , qui se soumettent aux impératifs d’un monde sans frontières et se mélangent sans possibilité de les distinguer en fonction de leur pays d’appartenance, autrement que par un petit drapeau que certains athlètes ont eu la présence d’esprit d’agiter, ici ou là, au sein d’une masse informe de sportifs, rassemblés pour assister à l’arrivée d’un être à l’aspect démoniaque. Une créature asexuée, étincelante de mille feux, dans une parure dorée qui tranchait sur l’atmosphère lugubre, emplie des fumées d’un apparent chaudron infernal où était censé se consumer le monde ancien des nations. La France s’est laissée subjuguée par les manœuvres subliminales du Malin,avant tout destinées à pétrir l’âme du peuple dans ses profondeurs, pour capter sa substance et l’inféoder subrepticement aux objectifs mondialistes et trans humanistes des young leaders qui squattent les gouvernements de l’occident collectif. L’image surréaliste du maître de la cérémonie de clôture, descendant du ciel, comme un faux sauveur, pour régner sur un monde de ténèbres où s’activent des êtres anonymes , sans visage, dans lequel les athlètes sont rendus invisibles, doit s’analyser comme le symbole de l’avènement futur d’une planète unifiée autour du règne de l’antéchrist. La fièvre patriotique qui s’est emparée de la France pendant les Jeux s’est dissoute , le temps d’une cérémonie, dans l’indifférenciation des délégations nationales et la négation des identités alors qu’au contraire tous les champions ont concouru sous les couleurs d’un drapeau national et dédié leurs victoires à la gloire de leur nation. Les 80 000 spectateurs ont apporté leur énergie et celles d’enfants innocents , à un spectacle d’essence satanique annonçant l’avènement du ONE WORLD, signe de l’éradication imminente du divin dans l’esprit de l’homme moderne. Cette mise en scène effrayante d’un monde désincarné et glacial, à quelques jours de la fête de la Vierge, restera gravée dans l’inconscient collectif, sauf pour les esprits en éveil qui y ont vu un cinglant désaveu au slogan selon lequel “Paris est une fête.” En réalité, un Paris enlaidi, souillé par le satanisme ambiant. Un Paris, capitale mondiale de la Kabbale… Pas de quoi être nostalgique de ces JO 2024 !