En fait sous l’influence du féminisme, la société actuelle a tendance à idéaliser les femmes. Les guerres, la violence, les agressions, le sadisme auraient été dans l’histoire des attributs masculins. Or si l’on regarde les faits de façon totalement objective on se rend compte que ce n’est pas le cas. Si au XIXème siècle les femmes ont été soumises à un contrôle social et à une morale sexuelle plus stricts que les hommes, c’est qu’à l’époque on avait conscience du danger présenté par la violence féminine. Sous la Révolution française les femmes étaient toujours au premier rang pour applaudir aux éxécutions en insultant les victimes de la guillotine. Sous la commune de Paris en 1871, le patrimoine culturel de Paris fut détruit par les "pétroleuses" ces communardes fanatisées incendiant les beautés de la capitale au pétrole. Alors que par exemple des hommes ont plutôt recours à la violence pour des questions d’intérêts, ou pour se défendre, la mentalité féminine, beaucoup plus affective, joint à la violence un aspect personnel, de haine et de vengeance. Celà peut se constater lors d’une simple dispute de couple par exemple. L’homme n’arrive en général pas à la cheville de la femme au niveau de la bassesse et de l’injure. De ce point de vue cette étudiante est tout à fait représentative d’une nouvelle génération de femmes auxquelles on a laissé la bride sur le cou !