J’ai vécu 12 ans dans le centre de l’Italie. On rencontrait de temps à autre des marocains et des sénégalais. J’y suis retourné il y a une semaine. J’étais dans la ville de Vicenza à 50 km à l’ouest de Venise. En voulant allé au marché, j’ai traversé des rues où je n’ai plus vu d’italiens. Il n’y avais que des africains dans les 30 à 40 ans, j’étais un des rares rare blanc. En arrivant sur le marché, grosso modo, je n’y ai vu que des vieux italiens et des jeunes femmes maghrébines voilées presque toujours avec un enfant dans un landeau. Je dois vous dire que je me suis senti un peu perdu et un peu seul. En moins de 10 ans la population urbaine à terriblement changée en Italie où j’y ai rencontré plus d’amis au chômage que de gens qui travaillent. Ce pays va finir comme la Grèce et c’est déjà bien parti. Beaucoup partent vers l’Allemagne et le constat est flagrant. Là où je vie en Allemagne, je peux passé toute ma journée sans plus parlé un mot d’allemand. Je peux vivre en parlant simplement l’italien tant les arrivées de jeunes italiens sont massives. C’est moche ! C’est le grand retour du monde de la débrouille.