Assimiler la marche du nouvel ordre mondial a un rapport entre le capital et le travail est une moquerie. Cet article refflechit mal l’analyse de Soral qui est infiniment plus subtil que ces grossiers raccourcis.
L’ economie de marché est etrangere a ce nouvel ordre mondial qui se construit. Elle contient ses propres contre-poisons et retablit d’elle meme les equilibres naturels. Si le systeme etait vraiment capitaliste la crise de 2007/2008 aurait aboutit a la disparition des grandes banques, au retour des prix de l’immobilier a des niveaux abordables sans credits eternels, a au retour de la vraie monnaie (or, argent...), or c’est bien les intervention etatitiques qui les a maintenus. L’oligarchie mondialiste se sert de ’socialisme’ bien plus volontiers que du capitalisme pour s’imposer, car l’autorité centralisée lui offre bien plus de controle et de pouvoir.
Bien sur, la question de la remuneration du travail par rapport au capital est toujours d’actualité. Mais pretendre que la finalité du pouvoir a quelque chose a voir avec le liberalisme economique est une escroquerie.