Le ministre de la Théorie du genre et de l’Échec scolaire explique pourquoi le gouvernement opte pour la transformation numérique. Quand les imposteurs de la gauche sociale qui se font appeler « socialistes » parlent de transformation, tout de suite, on a peur. Ça sent l’embuscade à base de transgenre, de transphobie, transpiration, traité transatlantique et tous ces trucs super angoissants.
« Surtout, vous pourrez voir clairement ce que le numérique apporte dans la pédagogie, dans les temps scolaires et extrascolaires »
Numérique ta mère
Naturellement, le numérique y est présenté comme un « progrès ». Progrès ? À ce mot, Valls surgit avec ses gros sabots et son parti « progressiste », qui nous fait croire qu’il va nous télé-transporter dans le futur des lendemains qui chantent la Marseillaise, mais en vérité, il nous transbahute dans la France du CRIF. Un idéal enchanteur, n’est-ce pas. Les gens sérieux savent que le numérique ne changera rien à l’échec scolaire socialiste. Que ce soit avec un tableau ou une tablette, un âne reste un âne, et un renard un renard. Changer de support est la dernière arnaque de l’Éducation nationale socialiste.
Vous allez dire, Najat et Hollande on s’en bat les douilles, dans six mois ils auront disparu du paysage. C’est pas faux, mais ces bougres sont capables de faire encore du dégât, il s’agit donc de les surveiller. Quasiment tout ce qu’ils ont « accompli » est foireux ou a foiré. En 2017 – et encore moins après –, personne ne saura citer un truc constructif ou intelligent issu de ces deux énergumènes, l’union de la chèvre et du chou, plus prosaïquement de la niaiserie et de la lâcheté. En matière de terrorisme politique, de destruction des valeurs, ces deux-là sont des pointures. Il est rare de voir en haut lieu un tel amalgame.
Quand on ouvre un journal, qu’on allume une radio ou une télé – on y parle aujourd’hui d’« extermination » pour Alep ! –, on pourrait croire que l’Ignorance, le Mensonge et la Cupidité ont gagné. En tout cas ils essayent. Que ce soit en politique ou en culture, le faux a remplacé le vrai, et c’est une véritable épidémie. On dirait que quelqu’un, là-haut, joue à nous poser des problèmes insurmontables, en nous rendant la vie plus difficile qu’elle n’est.
Gad Elmaleh, le raider déguisé en humoriste
Dans le genre faux, on a Gad Elmaleh, qui remplit ses salles d’amateurs d’ersatz d’humour intoxiqués par les médias dominants. La majeure partie des sketches de ce commercial sans frontières et sans scrupules est inspirée – on reste polis – des Américains, et c’est tout naturellement qu’il va présenter, sur M6, une resucée française du Saturday Night Live Show, l’émission de déconne US des années 70 (avec Kev Adams en premier invité !) qui possédait, elle, de vrais talents de plume. Gad est donc inspiré… par les autres. Sa muse, c’est les pointures de la scène US. Le système médiatique l’a fait monter en flèche, il a eu très vite presse, télés et longs métrages. Depuis, c’est un incontournable, il a la Carte. Pourtant, quand on y regarde de près, le produit est non seulement importé, mais il est contrefait, sans saveur, et cher.
L’humour de Dieudonné ne peut pas plaire à tout le monde, et il en faut pour tous les goûts, même ceux qui n’en ont pas !
Un jour à Cannes, le 16 mai 2007, quand Denisot régnait encore sur Le Grand Journal de Canal+, Gad Elmaleh apprend que son « idole » (et grand inspirateur) Jerry Seinfeld arrive aussi en plateau. Il blêmit : Jerry va-t-il envoyer une vanne à son « traducteur » français... qui ne lui verse pas de droits ? Heureusement, grand seigneur, l’homme aux 46 Porsche de collection (dont la 550 Spyder) ne fait pas la moindre allusion au pillage et tout se passe bien. Depuis, Gad est devenu à son tour riche à millions grâce à ses spectacles affligeants et ses films déplorables. Un bien mauvais exemple pour les jeunes, qui vont croire que pour réussir, il faut chouraver tout ce qu’on peut. Les stars ont une responsabilité, merde.
Le chantage ou les Bleus ?
Pareil pour Karim Mercedes Benzema, qui s’est empêtré dans une histoire de foot-boule pas possible. Esprit de la cité, sors de ce corps ! Trois jours avant son anniversaire – il aura 29 ans lundi 19 décembre – l’avant-centre du Real de Madrid s’est pris un tacle en plein dans les douilles. Il y a un an naissait l’affaire Valbuena-Benzema, l’histoire d’une vidéo de cul qui sort du mobile de Mathieu, atterrit chez des potes à Karim, qui vont réclamer 100 000 euros pour effacer la chose… Du grand art, de la truande de haute volée, quasiment le casse de Nice ou l’affaire du train postal Glasgow-Londres .
Benzema, soutenu par le socialiste Noël Le Graët, grand copain de Hollande, veut revenir chez les Bleus. Oui mais voilà, Deschamps ne veut pas. Son équipe de France a retrouvé des valeurs, ses valeurs, qui sont l’engagement (mouiller le maillot), le sens du sacrifice (courir au lieu de regarder les autres jouer, comme le faisait Benzema), la solidarité (aider ses partenaires au lieu de leur soutirer du pognon), et le plaisir de jouer (s’amuser et amuser le public au lieu de faire la gueule en comptant ses bagnoles de sport). Le « racisme » du peuple de France dont parlait Benzema, il repassera !
- L’un chante, l’autre pas
Le Parisien souligne néanmoins que d’après les révélations des « football leaks », Benzema ne fait pas partie des footballeurs truands qui fraudent le fisc : l’ex-Lyonnais paye ses impôts en France. Il ne faudrait pas non plus que le fisc le pompe trop, car il faut de la thune pour payer et Jakubowicz (jusqu’en mars 2016), et l’irritant Dupont-Moretti, l’avocat au look de SDF qui se prend pour une star.
Najat Belkacem, François Hollande, Gad Elmaleh, Kev Adams, Karim Benzema, Éric Dupont-Moretti… franchement, qu’est-ce qu’on a fait pour mériter ça ? La France a-t-elle un karma de merde ?