Croire que la Justice ne dépend pas du pouvoir est une faute politique, presque un délit. Valls, en rattachant par décret juste avant de quitter son poste la Cour de cassation au pouvoir (à l’image du parquet), entérine une vérité bateau.
Dans le même genre, Sarkozy en 2010 avait décidé de nommer le président des chaînes publiques personnellement, soit Rémy Pfimlin à l’époque (récemment décédé). Scandale moral et hurlements au totalitarisme dans la presse, alors que tout le monde faisait semblant de croire et de dire que le PDG de France Télévisions était élu par le « collège » du CSA, lui-même décrété archi-indépendant (du pouvoir). Un CSA dont les 7 membres décisionnaires sont nommés par l’Assemblée (3), le Sénat (3), et le président de la République (qui nomme lui-même le président du CSA). Un CSA dont la seule utilité consiste à caser apparatchiks et journalistes bienveillants avec le pouvoir, dans de douillets fauteuils à 50 000-100 000 euros par an. Voilà ce qu’ils appellent « démocratie ».
Sarkozy avait simplifié avec la brutalité qu’on lui connaît la procédure hypocrite. Dernièrement, c’est un jeune gardon de la communauté LBGT qui a été nommé à la tête de Radio France. Quant à Delphine Ernotte, elle a beau crier au remplacement des « mâles blancs » par des femmes de la « diversité », elle n’est que la femme de paille de Michel Field, dont la nomination par Hollande aurait fait trop, comment dire, trop...lobby.
- Michel Field et Delphine Ernotte, pédégé et pédégère de France TéléviSion
Après, la démocratie, on peut y croire, fermer les yeux, et vivre au milieu des mensonges oligarchiques. Pour ceux qui participent à cette mascarade géante, induisant en erreur et en pauvreté (matérielle, intellectuelle et spirituelle) des millions de gogos, il n’y a pas de jugement. Cahuzac a pris trois ans de taule pour avoir ouvert des comptes en Suisse au profit de personnalités du PS, oui mais voilà, il s’est fait balancer (à Mediapart par une personnalité de l’entourage du président).
Sarkozy, lui, est régulièrement blanchi de tous ses « non-lieux » (attention, cette phrase est un non-sens, mais c’est le but recherché). Il peut tranquillement prendre l’avion avec son vieux mannequin, le lendemain de sa double gifle à la primaire de droite (et du centre mais le centre, tout le monde s’en fout) et s’amuser en Thaïlande, au milieu des éléphants et des enfants. Cette fois-ci, il n’a pas voyagé en jet privé, celui de Stéphane Courbit, l’homme qui a fait fortune avec la télé-réalité, c’est-à-dire avec l’abrutissement des masses jeunes. La fabrication d’ignorance, aïe aïe aïe, ça rapporte !
Pollution médiasphérique, pollution atmosphérique
La pollution, c’est amoral, mais ça rapporte. Qu’on se souvienne simplement de l’affaire de la taxe carbone, ces magouilles à partir de « droits de polluer », qui n’est toujours pas close. Le fric, lui, le fric des Français, un ou deux milliards, sous la gouvernance Sarkozy-Lagarde, est parti. Pfuit. Dans les limbes et les vapeurs d’Herzliya, sur la côte israélienne, pardon, palestinienne.
La pollution, c’est comme un lobby : ça ne se voit pas, mais ça attaque de l’intérieur. Les poumons des Parisiens sont viciés, et la première chose que ces pauvres provinciaux voient quand ils débarquent à Paris, généralement en TGV, dès la descente dans ce repoussant métro, c’est la gueule des Parisiens. Quelque chose entre la dépression vorace et les stigmates de l’enfermement, le masque de la mauvaise vie. La ville-Lumière (blafarde), dirigée par l’étincelante Anne Hidalgo, la co-maire de Tel-Aviv sur Seine, qu’on ne présente plus, madame PlugAnnal, presque Plougastel, mais en moins naturel…
- Un Chinois à Paris
Certes, Paris n’est pas Pékin, et ses masques blancs collés sur l’ensemble respiratoire, mais on y vient, doucement. Pour vivre à Paris, il faut en payer le prix, tant au niveau du corps que de l’esprit. La ville du CAC40, du lobby LGBT-sioniste à la tête de la presse, de la « com » et de la pub, ça rend quelque peu malade. Attention, n’allez pas croire qu’il s’agit d’antisémitisme ou d’homophobie, c’est plus simple que ça : il s’agit des ravages de l’expansion de l’entre-soi et de la consanguinité politique. La discrimination sociale punit ceux qui la pratiquent, car ces corps du pouvoir (Le Siècle et toutes ces conneries) fonctionnent sur l’exclusion du sang neuf. Pas étonnant qu’il n’en sorte que du poison, sur la terre comme au ciel !
Un exemple parmi d’autres d’empoisonneur public, c’est le petit Peillon, qui veut se présenter à la primaire de gauche pour faire valoir ses 3% et dealer un poste dans le futur cabinet PS, qui aura peut-être changé de nom d’ici-là. Valls nous trouvera quelque chose comme Les Démocrates, L’Espoir fait vivre ou encore Le Parti du progrès, sinon Les Progressistes, Les Réformistes, Les Réformateurs, tout plutôt que les mots qui rappellent le peuple et ses aspirations légitimes à la paix, au travail et à la liberté. Le terme « socialisme » est désormais maudit par ses trahisons successives. Ce que l’oligarchie voulait montrer...
« On a laissé le moral et le spirituel à l’Église catholique. Donc il faut remplacer ça : on ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Mais comme on ne peut acclimater le protestantisme en France.., il faut inventer une religion républicaine ! »
Peillon, donc. Philosophe de formation, devenu grand cadavre psycho-rigide à la renverse, maître d’école de la théorie du Genre, bouffeur de curés tout seul dans sa Loge (de maquillage des idées), un curé refroidi, limite Picard… Peillon ou la maladie du socialisme moderne, à 180 degrés de l’idée fraternelle originelle, où tous les grands mots d’espoir sont devenus leur contraire. Tenez, prenez « fraternel » : cette idée de solidarité entre les dominés afin de constituer une force est devenue l’appellation d’un triste cagibi maçonnique, qui réunit des complotistes à deux balles qui pensent régenter la vie des autres, en secret, comme des escrocs flippés…
Peillon, ou le socialisme des caves. Paix à son âme.