Turchi sur le FN
Dans la série On met le paquet sur le FN et on s’en fout de la crédibilité, Marine Turchi, la troublante propagandiste de Mediapart, qui fait son beurre sur le FN, et dont elle est devenue la spécialiste obsédée, nous explique que ce parti est objectivement « d’extrême droite », ce dont un nombre croissant de Français se foutent. Quel crédit accorder aux employés d’un agent double de l’État profond, qui a construit sa carrière sur un antifacisme de pacotille ?
En vérité, ces détecteurs de fascisme s’en foutent comme de leur première dénonciation ; ce qu’ils visent, mais qu’ils ne peuvent dénoncer aussi facilement, c’est le nationalisme, la souveraineté nationale. C’est ça, leur grande peur. Car le renouveau nationaliste français équivaut à la fin de leurs prébendes, de leurs postes, de leur importance. Ils ne tiennent que sur cet interdit. Si l’interdit s’écroule – et c’est ce qui est en train de se passer –, ils disparaissent avec leur château de sable.
« Donc on voit là-dessus le risque que ça peut poser de gouverner par référendum d’initiative populaire »
Turchi montre bien ce côté obscur de son travail en dénonçant « le référendum d’initiative populaire » qui figure parmi les 130 et quelques propositions de Marine Le Pen. Turchi est contre, ce qui prouve une chose : son opposition à la volonté populaire (c’est-à-dire de la majorité) sur les grands sujets, la sortie éventuelle de l’UE ou le rétablissement de la peine de mort, qui fait frémir la petite employée de Plenel. Derrière le RIP – référendum d’initiative populaire – il faut simplement lire « démocratie ». C’est ça que les sociaux-traîtres ou les populo-traîtres n’arrivent pas à avaler, eux qui sont les vrais fascistes, étant du côté du fric, du manche, de la répression, de la dénonciation. Ce sont eux les boches d’aujourd’hui, et les Français ont l’occasion, malgré l’incroyable rouleau compresseur de l’inversion accusatoire fascistes/antifascistes, de mettre ces destructeurs de la Nation et de son unité (mais la Nation est SON unité) à la porte.
Ingénierie socialiste
Un étage au-dessus de Turchi, il y a Plenel, la courroie de transmission de l’Élysée, qui est elle-même la chambre d’enregistrement du Pouvoir profond. Ce jeudi 23 mars 2017, tout le monde parle du « cabinet noir » que Hollande utiliserait pour flinguer ses adversaires politiques, qu’ils soient de son camp ou de celui d’en face, en instrumentalisant la justice (« affaires » Fillon et Le Pen). Oui mais ce cabinet noir, qui fait trembler d’excitation les journalistes politiques, qui font intégralement partie du système médiatico-politique, n’est pas le pouvoir profond.
Ce dernier a utilisé le pantin Hollande jusqu’à la trogne, jusqu’au trognon, jusqu’à l’os, et maintenant, il peut le rendre à la vie civile pour services rendus à l’anti-Nation. Un pouvoir qui essaye de faire plier la France depuis des lustres. Oh, c’est presque gagné : ils ont le fric, ils ont les médias, ils ont les traîtres, oui, mais ils n’ont pas le cœur des Français. C’est ça, le plus dur à atteindre. Et c’est pas gagné, on vous le dit.
Quant à Hollande, on lui décernera à titre posthume le prix de l’Humour politique éternel pour cette déclaration :
« Ma fierté, c’est de pouvoir remettre à mon successeur un pays qui va mieux qu’en 2012 »
"Ma fierté, c'est de pouvoir remettre à mon successeur un pays qui va mieux qu'en 2012" François Hollande, prix de l'humour politique 2017 pic.twitter.com/sMpcaDPtdv
— Ridicule TV (@RidiculeTV) 20 mars 2017
Allo docteur, ici E&R, vous pouvez répondre à deux ou trois questions ?
Écoutez, j’ai des patients dans la salle d’attente mais allez-y.Quand Hollande sort cette phrase, vous, en tant que psychiatre, vous pensez qu’il s’agit plutôt de légère inconscience, de cynisme brutal ou de bêtise pure ?
Je pense qu’il s’agit d’un mélange des trois, dont je ne connais pas les proportions, mais qui pourraient être 20% d’inconscience, 30% de cynisme, et 50% de crétinerie.Il a quand même fait l’ENA, c’est pas juste un Français moyen…
Oui mais ça ne veut rien dire, regardez ce que les 2 000 énarques qui se sont succédés au sommet de l’État ont fait de notre pays depuis un demi-siècle… Les énarques ne sont que les valets de l’oligarchie, ils sont grassement rémunérés pour ça, c’est-à-dire pour trahir le peuple français.Bien, au revoir docteur, et merci pour le profilage politico-pathologique.
De rien, et bonne chance à vous. Rappelez-moi quand vous voulez. Au suivant ! [1]
La réalité du racisme en France aujourd’hui : de l’affaire Théo à l’« agit prop » de SOS Racisme 2.0
Turchi dans la colle & Crétin le Bref, voilà un bon résumé de l’élite médiatico-politique d’aujourd’hui. On dit souvent qu’un peuple a les dirigeants qu’il mérite, ce n’est pas faux. 50 ans d’arnaques du pouvoir profond (Mai 68, la Libération sexuelle, SOS Racisme, l’euro, les « réfugiés », le « terrorisme ») combinés à la torpeur crédule des Français ont mené à la situation actuelle, où tout est inversé : des minorités font la loi, et la majorité obéit sous peine de lynchage médiatique ou de répression économico-juridique féroce. Le cas du pseudo-racisme français est un modèle du genre, grâce aux techniques de Julien Dray et sa bande. Voici d’ailleurs le produit de leur œuvre :
#marchedeladignité #19mars
" ohlélé Ohlala les blancs ils sont racistes et nous on aime pas ça !" pic.twitter.com/BmkNOnjatS— Mwasi-Collectif (@MwasiCollectif) 19 mars 2017
À peine l’affaire Théo se dégonfle-t-elle qu’une nouvelle agitation « anti-racistes » resurgit. On apprend ainsi que le Français médian (mieux que le Français moyen ou le Beauf [2]) détesterait les Noirs et les Arabes, ce qui est curieux pour un pays qui en possède 10 millions. Mais rien n’arrête la propagande – et surtout pas la logique – qui rappelle celle des inoubliables années 30 soviétiques :
Que penser d'une telle affiche ? #TAM #Montpellier pic.twitter.com/07zPqomVnL
— Fabrice Robert (@_fabricerobert) 20 mars 2017