Ce 13 mai 2021, l’ingénieur Philippe Pradat et la toxicologue Véronique Malard ont adressé un courrier aux sénateurs et sénatrices sur une analyse de corrélation entre l’augmentation du nombre de morts labellisés Covid et l’augmentation du nombre de vaccinés. Leur conclusion est simple :
« pour chaque 700 nouvelles personnes vaccinées, il y aurait un décès à déplorer. »
Cette analyse de corrélation a été d’abord faite au niveau de la France, puis répliquée au niveau des données du monde entier. Les résultats sont identiques.
Les auteurs du courrier se permettent de conclure :
« Au regard de ces faits, il est urgent d’arrêter la vaccination, et de bloquer la mise en place du passeport sanitaire, qui au-delà d’être liberticide, ne servira à rien, car les vaccinés sont porteurs du virus et le disséminent. »
Attention : cette analyse devra sans nul doute être regardée de près et suivie dans le temps pour la compléter et en démontrer la pertinence s’il y a.
Les agences de santé n’ont jusqu’à présent pas ou peu attribué des causalités de décès au vaccin sauf dans des cas « très rares », cependant les agences nationales norvégiennes et danoises ont été plus précautionneuses dans leur choix en suspendant puis arrêtant le vaccin Astra Zeneca ou Johnson. Rappelons qu’en Inde, le régulateur avait demandé des informations supplémentaires à Pfizer pour les spécificités de la population indienne – le laboratoire Pfizer avait en conséquence retiré sa demande de mise sur le marché.
Aux États-Unis, les essais des vaccins sur les enfants ont commencé. La position de la FDA (Federal Drug Administration) a donc changé depuis la déclaration de son ancien directeur Dr Stephen Hahn Oncologue et radiothérapeute qui avait déclaré :
« la FDA n’autorisera pas ou n’approuvera pas un vaccin que nous ne nous sentirions pas à l’aise de donner à nos familles. Au nom des plus de 17.000 employés de la FDA, je souhaite aujourd’hui prendre les engagements suivants envers le public américain et cette commission. La FDA n’autorisera ou n’approuvera aucun vaccin COVID-19 avant qu’il n’ait répondu aux attentes rigoureuses de l’agence en matière de sécurité et d’efficacité. Les décisions d’autoriser ou d’approuver de tels vaccins ou thérapeutiques seront prises par le personnel de carrière dévoué de la FDA. Nos décisions seront guidées par nos processus d’examen approfondi et par la science. La FDA ne permettra à personne de faire pression pour changer cela. Je me battrai pour la science, Monsieur le Président. Je me battrai pour l’intégrité de l’agence et je ferai passer les intérêts du peuple américain avant toute autre chose. »
En décembre 2020, le Dr Hahn avait été mis sous pression par le président Trump sur Twittter « Sortez les vaccins contre les barrages maintenant, Dr Hahn @SteveFDA », « Arrêtez de jouer à des jeux et commencez à sauver des vies !!! » Depuis, sa remplaçante Janet Woodcock directrice par intérim a pris une toute autre position : « l’élargissement par la FDA de l’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech aux adolescents âgés de 12 à 15 ans est une étape importante dans la lutte contre la pandémie de COVID-19 ».
En France, le gouvernement est engagé dans une course effrénée à la vaccination en utilisant comme mesure d’efficacité, le risque relatif (95 % d’amélioration) qui est importante en apparence, mais contestée, car certains, dont le Pr Raoult, avancent que ce chiffre serait plus proche de 50 % voire 30 %. En utilisant la mesure d’efficacité du risque absolu individuel (moins de 1 % d’amélioration), certains se posent la question de savoir si le patient prendrait la même décision de se faire vacciner en voyant ce chiffre.
Certains des organes scientifiques français se prêtent même à de la désinformation sur les vaccins pendant que des citoyens et des médecins travaillent à comprendre la véritable balance bénéfice/risque en s’interrogeant sur les risques réels des moins de 50 ans pour cette maladie. Tout cela forme la base de la validité du consentement éclairé qui est remis en cause par le Dr Umlil et expliqué dans ses interviews.
Courrier reproduit
La France met en place depuis quelques mois une campagne de vaccination Covid intense et nous voulons vous alerter sur les effets de cette campagne vaccinale.
En premier, il convient de rappeler que les essais cliniques de phase 3 sont en cours, et ne seront terminés qu’en 2022 voire 2023. La sécurité des vaccins Covid n’est donc pas connue à ce jour. En ce qui concerne les effets à long terme, il est impossible de savoir quelles pourraient être les conséquences de la vaccination. Il est nécessaire de rappeler qu’aucun vaccin à base d’ARN messager ou de construction génétique dans un adénovirus n’a jamais été injecté à grande échelle sur une population saine.
En revanche, il est possible d’analyser les premiers résultats des vaccinations déjà réalisées.
1/ Les effets indésirables et les décès suite à la vaccination elle-même : les rapports hebdomadaires de l’ANSM (Accueil - ANSM (sante.fr)) recensent les effets indésirables à court terme des vaccinations. L’analyse des données montre que trois décès surviennent pour 100 000 vaccinations, ce qui est très supérieur à ce qui a été observé dans le passé pour une vaccination « population entière ». De plus, 31 893 effets indésirables ont été provoqués à de jour par la vaccination, soit 148/100 000 vaccinés. Parmi ces effets indésirables, 25 % sont déclarés comme graves, soit 37 pour 100 000 vaccinés. Sachant que dans la population des 0-39 ans, il y a eu depuis le début de la pandémie 322 décès, soit 1/100 000 personnes (La démographie des décès par COVID-19 – France (ined.fr)), il parait évident qu’il est criminel de vacciner les plus jeunes. En résumé, le rapport bénéfice/risque n’est absolument pas en faveur de la vaccination.
2/ La mortalité Covid induite par la vaccination : l’analyse des données publiques officielles (mortalité et vaccination, https://coronavirus.jhu.edu/map.html et Our World in Data) permet de réaliser un graphique simple et très éclairant. Pour chaque jour, entre le 1er mars et le 5 mai, nous avons tracé un graphique avec en abscisse (axe des x – horizontal) le nombre total de personnes vaccinées au moins une dose et en ordonnée (axe vertical des y) le nombre total de décès. Il y a donc un point par jour sur le graphique (ci-dessous).
On s’aperçoit très facilement que ces points sont quasi parfaitement alignés. On peut, grâce à un logiciel banal comme Excel, tracer la droite qui suit au plus près la totalité des points, cela s’appelle une droite de régression. Le calcul de cette droite permet d’obtenir un coefficient de corrélation (r2 En statistique, le coefficient de détermination linéaire de Pearson, noté R2 ou r2, est une mesure de la qualité de la prédiction d’une régression linéaire. il est compris entre 0 et 1 et plus il est proche de 1 plus cela signifie de la puissance de la corrélation).
Plus les points sont proches de la droite plus le coefficient est proche de 1. Ici nous obtenons un r2 supérieur à 0.99 ce qui démontre que la droite décrit parfaitement les points du graphique.
Cela veut dire que le nombre de décès covid en France est proportionnel au nombre de personnes vaccinées.
Les paramètres de cette droite permettent de calculer le nombre de décès (y) correspondant à un nombre de vaccinations (x). Les résultats sont effarants. Chaque fois que 700 personnes sont vaccinées, une personne de plus décède de la Covid. Si l’on vaccine 80 % de la population française (l’objectif pour atteindre la soi-disant immunité collective), plus de 76 500 décès seront à déplorer. Cette observation permet de comprendre pourquoi le nombre journalier de décès Covid reste stable en France autour de 250/jour depuis des semaines.
Tant que l’on vaccinera, des décès Covid seront à déplorer.
Lire l’article entier sur francesoir.fr