Le Huffington Post nous prévient aimablement qu’un séisme de grande ampleur (7 environ sur l’échelle de Richter) pourrait se produire à Istanbul d’ici peu, parce que les failles anatoliennes etc. Il y aurait encore plus de victimes. Compassion, peur pour les Anatoliens ? ça m’étonnerait.
Le Turkish Stream passe par là, ou pas loin.

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Detourner la tête et les yeux des gens vers un espoir situé dans l’espace, ça peut permettre de tricher sur terre !?

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 Youssef Hindi comparait la vaccination expérimentale à un sacrifice des masses humaines. Cela pouvait paraître lointain ou abstrait, et là, difficile d’échapper à cette autre déclinaison de l’agenda sacrificiel.

 Bien que nous ayons la chance de ne pas être affectés dans notre chair, nous le sommes, pour beaucoup, dans notre conscience d’humains : imaginer des personnes encore vivantes sous les décombres, plongées dans l’obscurité totale, entendant les bruits des machines qui déblayent, manquant d’air, conscientes des minutes qui les séparent de la fin. Bref, la définition de l’enfer.

 Comment préserver son équilibre intérieur, sachant que depuis 2020, nous sommes les contemporains, témoins et otages d’un monde qui est entré dans une séquence historique de révélations épiques et d’affrontements bibliques ? J’ai l’impression que nous sommes plongés dans une page du Livre. J’aimerais entendre des érudits en religions faire sens de ces événements, y apporter un éclairage eschatologique.

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La Turquie compte ses morts au fur et à mesure qu’on les sort des décombres, ce chiffre va grimper pendant des semaines et même des mois. L’estimation actuelle de 5000 immeubles détruits par un séisme qui a frappé à 4 h du matin me fait craindre des dizaines, voire des centaines de milliers de morts. Je pense aux rescapés, abasourdis, qui attendent dans le froid de trouver un abri sûr et du réconfort, aux enfants terrorisés. Aux survivants coincés sous les décombres pour lesquels la course contre la montre est engagée. Aux milliers de sauveteurs qui iront aux bout de leurs forces. Nos problèmes français me semblent soudain bien petits.

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C’est triste que des gens soient morts dans ce tremblement de terre (paix à leur âme) mais je trouve étrange que les gens n’ont toujours de la compassion que pour les morts spectaculaires, comme si il y avait des morts plus importants que d’autres sur lesquels on devrait d’avantage se focaliser. Un mort est un mort. Tous les jours des gens meurent dans des circonstances injustes (y a t’il des décès justes ?) mais comme ils ne le font pas de façon groupée, tout le monde s’en fiche, personne ne fait un commentaire de soutien. Aujourd’hui, je propose d’avoir une pensée émue pour tout les milliers de gens qui sont morts d’accidents domestiques comme par exemple , après une quelconque chute d’un escabeau ou après avoir glissés dans la rue.

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Je suis de tout coeur avec mes amis Turcs.

mais, je note que leurs immeubles devraient être mieux construits car ils s’effondrent trop lentement. arichitectes turcs ! prenez exemple sur les gratte-ciel de New York qui s’effondrent a la vitesse de la chute libre !

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Les gens produisent des commentaires compassionnels, uniquement quand des gens meurent simultanément en groupe, un jour X, d’un évènement spectaculaire. On ne lis jamais de commentaire émus pour les milliers de personnes qui meurent chaque jour à travers le monde d’accidents domestiques. Apparemment, un mort écrasé sous des gravats est plus important, mérite plus d’attention qu’un type mort en tombant d’un escabeau. De plus, rappeler cette vérité vous conduit à la case censure.

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J’aimerais savoir ce que pense Alain Soral de ce « séisme ».

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Quid des dizaines de bombes atomiques US qui sont en Turquie dans des sous terrains ?

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Pourquoi les sinistrés ne bénéficieraient-ils pas d’une aide sanitaire internationale d’urgence ? Des solutions existent, notamment les maisons en sacs de sable (ou de terre) appelées ÉcoDomes. Ces habitations sont non seulement prévues pour le relogement de populations sinistrées mais elles sont aussi de part leur technicité parfaitement adaptées à des conditions extrêmes. Leur construction est rapide et ne nécessite que peu de main d’oeuvre.
Why would the victims not benefit from emergency international health aid ? Solutions exist, in particular houses made of sandbags (or earth) called EcoDomes. These dwellings are not only intended for the rehousing of disaster-stricken populations but they are also, due to their technicality, perfectly adapted to extreme conditions. Their construction is quick and requires little labor.

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