C’est vrai que la branlette, c’est mieux que l’orthographe. Sauf que le programme de Pap Ndiaye, notre sémillant ministre de l’Éducation, concerne les enfants, nos enfants, pris en otages par la bande de fous qui a mis la main sur l’État. Mai 68 n’a pas fini de (se) faire des petits...
Il faudra bien un jour que le Français moyen, avec sa famille, son couple, ses enfants, son travail, sa sécurité, comprenne qu’il est under attack. On dirait que ça a un peu de mal à entrer dans les têtes malgré le terrorisme « djihadiste » de 2015-2016 (les grands attentats sans commanditaires), le terrorisme social de 2016-2018 (l’odieuse loi Travail inspirée par Badinter), le terrorisme policier de 2018-2019 (la sanglante répression des Gilets jaunes) et le terrorisme sanitaire de 2020-2022 (la folie meurtrière de Big Pharma).
Alors que le niveau de français s’effondre à l’école, que les maths, qui faisaient la fierté de notre pays, sont peu à peu abandonnées, tarissant les filières scientifiques pourtant porteuses d’avenir, la seule obsession de ce ministre c’est d’enseigner la sexualité à nos enfants, comme si une armée de pédophiles voulait se les préparer à la dégustation ! Naturellement, c’est une image.
Officiellement, cette initiation très précoce – en primaire ! – a pour prétexte l’égalité fille-garçon, la lutte contre les discriminations et la notion de consentement. Sur ce sujet, on notera que les parents n’ont pas été consultés, il n’y a donc pas de consentement parental à ce programme oligarchique de sexualisation des enfants. Nous sommes dans l’injonction, le fait du prince, ou de la princesse, la tyrannie des déviants.
Macron et ses employeurs croient que c’est parce que Pap Ndiaye est noir et LGBT-friendly qu’on va s’interdire de le critiquer, genre attention les gars, il y a un gros red flag sur le gonze. Quand il y va de nos enfants, on n’a plus de retenue : il faut absolument empêcher les psychopathes qui décident de tout en petit comité de déglinguer l’esprit des jeunes, déjà bien amoché par les confinements et la psychose sanitaire. Certains ne s’en sont pas remis.
Comme les trois cours annuels n’ont pas été trop respectés dans les bahuts, et en cela on remercie les enseignants résistants, le ministre annonce qu’il va former des personnels pour imposer son idée fixe. Cette préparation à l’hypersexualisation se cache, là encore, derrière de « grands mots de merde », pour paraphraser Armand Robin :
Afin de « faciliter et d’accélérer cette mise en œuvre », le ministre a « saisi le Conseil supérieur des programmes pour qu’il élabore, pour chaque niveau d’enseignement, une proposition de programme précisant les thèmes et les notions qui devront être abordés », indique Pap Ndiaye. « Structuré par cycles, ce programme sera adapté à chaque niveau afin de couvrir les trois champs de l’éducation à la sexualité : biologique, psychoémotionnel et juridique et social ». ( France Info)
J'ai saisi le Conseil supérieur des programmes afin qu'il élabore un programme d'éducation à la sexualité, comme il en existe pour toutes les matières. Formation, ressources pédagogiques : tenons nos engagements et enseignons les trois séances annuelles. pic.twitter.com/QQcgOZEOJk
— Pap Ndiaye (@PapNdiaye) June 28, 2023
Le pire arrive à la fin de sa déclaration :
Le ministère « publiera chaque année en juin une enquête sur la mise en œuvre par les établissements et les écoles de l’éducation à la sexualité ». Pap Ndiaye souhaite créer « un comité de liaison réunissant l’ensemble des acteurs mobilisés, dont notamment les associations du secteur, les fédérations de parents d’élèves et les jeunes eux-mêmes ».
Vous imaginez bien que ces « associations » ne seront pas celles de parents conscients catholiques ou musulmans, mais bien de chevaux de Troie LGBT qui augurent d’un danger plus grand pour les enfants, beaucoup plus grand. Huit ans après le scandale de la théorie du genre à l’école promue par le ministre à langue fourchue Najat Belkacem, l’embrigadement sexuel de nos enfants revient en force. L’oligarchie ne lâchera pas le morceau, on a tous compris pourquoi.