Il paraît que George Soros s’y met, ou du moins des organismes qui lui sont liés : nombre d’ONG aux États-Unis déploient actuellement des efforts pour inciter des Latinos à se faire naturaliser avant les élections présidentielles. D’après la presse conservatrice américaine, l’objectif est clairement d’empêcher une victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine.
« Je veux voter pour que Donald Trump ne gagne pas », a ainsi confié une immigrée mexicaine, Hortensia Villegas, au New York Times. Elle sortait d’un atelier sur la naturalisation. « Il ne nous aime pas… » Cela fait dix ans qu’elle vit illégalement aux États-Unis.
C’est ce journal qui démonte le mécanisme des naturalisations express. Le National Partnership for New Americans, proche de George Soros, collabore avec l’administration Obama et avec les syndicats de travailleurs pour inciter les immigrés à demander leur naturalisation selon des règles souples qui permettent d’envisager le traitement favorable d’un million de dossiers d’ici à novembre.
L’implication du réseau Soros n’est pas en soi étonnante puisque le « philanthrope » de gauche ne fait pas mystère de ses préférences mondialistes et de son opposition aux frontières, alors que Trump a promis de faire construire un mur sur la frontière mexicaine.
La collusion du gouvernement d’Obama avec son point de vue s’est manifestée l’an dernier lorsque la Maison Blanche a promis dans les locaux du Migration Policy Institute, lui aussi proche de Soros, qu’elle débloquerait 10 millions de fonds fédéraux pour assister les migrants dans leur processus de naturalisation. Logique, quand on sait que la plupart des Latinos votent à gauche.
Ce ne serait pas la première fois que les Démocrates essaieraient de piper les dés de cette manière : en 1995, le vice-président Al Gore, assisté du directeur des projets spéciaux de la Maison Blanche Emmanuel Rahm, ne créaient-ils pas le Citizenship USA Program qui avait pour objectif, selon un ancien de la Maison Blanche, de « produire un million de nouveaux citoyens avant le jour du scrutin ». Le Daily Caller souligne que le programme d’alors avait privilégié les États incertains sur le plan électoral, se limitant à l’année précédant l’élection.