L’invité nous dit : -"il s’agit d’une crise de compétitivité des économies européennes" et il ajoute que "l’Allemagne a commencé ce travail depuis 10 ans"(grâce au plan Hartz IV sans doute). La politique allemande va devenir l’horizon indépassable des gouvernements européens.

Hélas, toute médaille a son revers. L’espérance de vie en bonne santé a baissé de 10 ans Outre-Rhin.
(http://www.insee.fr/fr/themes/table...)

L’Europe sera un espace de progrès et de croissance nous disait-on avant de voter pour Maastricht ou pour le TCE. Fariboles !

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Aïe ! ça va faire mal !

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Pour le citoyen, la seule maniere de s’en sortir c’est la "mafia". Toute les mafias compétentes au monde ont vue le jour dans des circonstances assez similaire. Personne ne peut vivre en France a 700 dollars, çe ne paie pas le toit, ni nourriture...donc du coup, on va avoir une hausse formidable du crime, plus ou moins organisé.

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alléger le coût du travail ... le mécanisme propre du capital si bien décrit par Marx
Rien de neuf sous le soleil depuis deux siècles de domination du Capital
La seule libération est une conversion spirituelle pour résister à la convoitise du profit
première étape propédeutique pour les novices : méditer l"idéologie allemande " et des passages du livre I du Capital pour comprendre et justifier le bon sens religieux qui interdisait l’usure.

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Mais bien sûr, il faut modérer les charges sur le coût du travail et les reporter sur la TVA, c’est-à-dire sur la consommation pour que ce soit les populations les plus modestes qui paient ! Car proportionnellement, qui paie le plus de TVA entre un salarié au SMIC, ou juste au-dessus, et un cadre ou un patron ? Et taxer les transactions financières, ça n’est pas possible ? Et arrêter les exonérations de charges sociales pour les grandes entreprises du CAC 40 ce n’est pas possible, surtout quand on les compare à celles des PME qui sont bien plus hautes ? A part faire les poches du petit peuple de la main droite ou de la main gauche, rien d’autre n’est proposé par les oligarques qui pour cela cherchent constamment à nous stupéfier par la peur de la crise et de la récession.

Bon, vous l’aurez compris, ce genre d’économiste à la solde de la pensée dominante nous enfume avec ses solutions uniques. On se fout positivement de nous !

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Bon sang ! Si on pouvait perdre tous nos triple cons...

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L’Angleterre, bien qu’en bien pire situation économique que la France, conserve sa bonne notation parce qu’elle a une structure de décision extrêmement réduite (3 personnes), alors que la France est engoncée dans la structure pharaonique de l’Europe.
Conclusion que devrait suivre mais ne suit pas : Pour conserver notre bonne notation, sortons de l’Europe et revenons à notre structure de décision réduite au niveau de la nation.
Conclusion qui suit : soyons compétitifs, réduisons les salaires et la protection sociale.
Baltringues.

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mais oui bien sûr, bien sûr, les Français ne se sont pas fait exploiter suffisamment, pas autant que les chinois.Forcément on a été trop gâtés Y’a personne pour mettre en doute un tant soit peu cette vérité incontestable . C’est toujours parcequ’on coute trop cher que les banquiers vont se retrouver sur la paille ...

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C’est précisément parce qu’il y avait une trop grande différence de compétitivité entre les pays de la zone euro que l’euro ne pouvait pas marcher. Au fil des ans cet écart a grandi et les excédents commerciaux de l’Allemagne se sont fait au détriment des pays du "Club Med" (dont la France fait partie). Tant et si bien que l’Allemagne risque de se retrouver en fort mauvaise posture si les pays de la zone euro ne lui achètent plus ses produits... le serpent qui se mort la queue...
Il est temps que TOUS les pays de la zone euro retrouvent leur souveraineté. Et que l’on nous dise pas que ce n’est pas possible. On nous disait aussi que le mur de Berlin ne pouvait pas tomber. Il est tombé. Un peuple guidé par des hommes d’Etat (c’est malheureusement pas le cas en ce moment) peut et doit toujours retrouver sa liberté. Il doit se redresser et non se coucher devant les eurocrates de Bruxelles ou d’ailleurs.

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