L’appel du Pr Perronne a tourné sur les réseaux sociaux, le temps que l’algorithme de Google découvre qu’il porte atteinte à ses conditions d’utilisation, c’est-à-dire à l’intégrité et aux intérêts de la dominance mondialiste qui se cache (mal) derrière le moteur de recherche américain.
Pourtant, l’appel est clair, juste et scientifiquement fondé. Perronne n’est pas un faux expert, un éditorialiste au service du pouvoir visible ou invisible, mais un spécialiste des maladies infectieuses qui œuvre dans l’esprit de Pasteur pour la santé publique, celle de tous les Français. Ce qui heurte évidemment les intérêts et du Big Pharma, et du gouvernement qui s’est aligné sur ses thèses mortifères, histoire de recouvrer un peu de son autorité perdue.
La répression antiterroriste dure depuis des années, la répression sanitaire depuis quelques mois, mais la France n’est toujours pas sortie de l’état d’urgence, et ce n’est pas avec l’axe Macron-Castex-Véran qu’elle va en sortir, tant la caste politique qui a mis la main sur notre État – théoriquement conçu pour protéger les Français ! – profite de la campagne de peur. Ce contre quoi le Pr Perronne lutte avec ses armes que sont la raison, l’honnêteté et l’information.
Le répressionisme à l’assaut de la vérité
Il n’en faut pas plus aujourd’hui, dans ce monde et cette France à l’envers, pour devenir complotiste au sens de Tristan Mendès anti-France, le nouveau propagandiste du pouvoir profond, qui vient de s’offrir une tribune sur France Inter pour déloger les fake news et leurs propagateurs et avertir les Français de qui est complotiste, qui ne l’est pas. Autrement dit qui ment, qui dit la vérité.
Ceux qui ont conservé leur esprit et leur esprit critique dans cette période de brouillard, et de brouillage oligarchique, savent très bien qui ment et pourquoi. C’est la raison pour laquelle ils ne croient plus un seul mot qui sort de la bouche des membres de l’oligarchie ou de leurs agents, ces salariés serviles qui transmettent le Mensonge du haut vers le bas.
« Et un nouveau rendez-vous le vendredi dans le “7-9” de France Inter, ça s’appelle Antidote et c’est avec vous, Tristan Mendès France, bonjour ! Spécialiste du monde numérique, vous êtes maître de conférence, collaborateur de l’Observatoire du conspirationnisme, on a pu le voir pendant l’élection présidentielle américaine, l’information est devenue un champ de bataille, le consensus minimal sur l’existence de faits partageables sur tous ne va plus de soi, la désinformation et le complotisme prospèrent avec vous Tristan, on va analyser ces discours, voir comment ils fonctionnent, comment ils se propagent... »
Demorand obligé de manger son chapeau
C’est l’introduction, sans respiration ni virgule entre « prospèrent » et « avec vous », de l’agent socialo-sioniste Nicolas Demorand, qui déroule le tapis rouge à l’agent sioniste Mendès, qui se situe bien au-dessus dans la hiérarchie du pouvoir profond, et dont la pastille propagandiste hebdomadaire de trois minutes est enfoncée de force dans la gorge de France Inter. La radio (soi-disant) de service public fait la course en tête des matinales, le but de Mendès et ses amis est donc de rendre la propagande plus populaire. Las, elle ne le sera jamais, elle est même de plus en plus impopulaire. Et ça ne fait que commencer !
L’info est devenue un « champ de bataille », déclare Demorand. Eh oui Nicolas, ça s’appelle même le pluralisme, le débat, ou la démocratie. Quand on est journaliste, on devrait savoir ça. Il n’y a pas qu’une parole ou une pensée, que la pensée et la parole uniques, il y a des pensées et des paroles, qui s’opposent, se confrontent, s’améliorent, s’altèrent, s’anéantissent aussi parfois. Les petits agents de l’oligarchie vont devoir s’y faire. Ou disparaître.
« Tristan Mendès France tentera d’expliquer aux auditeurs les thèses conspirationnistes, leur genèse, les liens, les financements, ceux qui sont à la base, ceux qui les relaient… Il s’agit non seulement d’analyser le contenu mais aussi d’en percevoir les enjeux, de mieux comprendre la galaxie. » (Présentation de France Inter)
On aime bien le « tentera », on sent que c’est pas gagné pour le répressioniste !
L’Histoire n’oubliera pas Jean-Mathieu Pernin
Sur la station concurrente RTL, une radio dite privée mais qui délivre la même désinformation oligarchique, les agents se suivent et se ressemblent, livrant un discours qui ne correspond plus aux Français :
Pendant que Mendès et Pernin tentent de sauver le Système, Perronne envoie une torpille chargée de vérités cinglantes dans la politique sanitaire et la communication du gouvernement.
L’appel de Christian Perronne
Chers amis,
La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.
Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.
En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.
Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie. Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’Etat.
Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.
Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.
Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2.
L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.
Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.
Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.
Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.
La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.
Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocément.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.
Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.
Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.
Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour.
Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.
Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.
On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules.
On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?
Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes.
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs
(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN.
Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes.
Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.
Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus
généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.
Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie.
C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin Un comble.
Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.
Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.
La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.
Christian PERRONNE