Migrants : Emmanuel Macron (déjà) dans les pas de George Soros
29 mai 2017 23:46, par Héraclite
Jean-Marc Borello déclarait que « l’accueil des migrants n’est pas une charge, mais une chance pour notre pays. Il y a des emplois disponibles que personne ne veut, des patrons appellent pour dire qu’ils ont besoin de main-d’œuvre. Ils sont parfaitement capables de s’intégrer, il faut mettre en place les conditions pour le faire » [13].
Une chance pour notre pays, ou pour le capital ?
il y a des emplois disponibles que personne ne veut. C’est sûr que des emplois à 300 Euros par mois, personne n’en veut en Europe.
Tout cela est tellement évident, et personne n’en parle dans les médias.