Oï oï oï, c’est pas la journée de la gauche bien-pensante, elle s’en prend plein la gueule pour pas un rond ! Y a comme un rejet dans le pays profond pour les donneurs de leçons antiracistes, antifascistes et autres anti-joyeusetés. Tout Twitter se retourne contre les petits protégés bondy-blogueurs du PS, et la chute des uns entraîne celle des autres.
On appelle ça la théorie des dominos : dans un groupe très soudé, s’il y en a un qui craque, les autres y passent. Bon, en même temps l’image a ses limites, puisque dans une cordée, c’est justement le groupe qui sauve celui qui chute. Et heureusement. Sauf que dans la gauche caviar, qui nous salit le cerveau de ses salades depuis des décennies, c’est chacun pour sa gueule : ne voit-on pas l’horripilante Pascale Clark renier son amour pour Mehdi Meklat, qu’elle couvrait de petits cœurs sur Twitter ? Ah, le courage de la gauche culturelle…
Christiane Taubira dans la tournante, dans la tourmente médiatique pardon
Elle fait son grand retour dans la campagne, telle la Liberté (ou la Justice, au choix) venant relever le niveau éthique d’une présidentielle lamentable, et voilà qu’elle se viande dans les buissons avec son seau de bons sentiments. Associée malgré elle par les Inrocks (lol) à Meklat & Badrou, ces deux abrutis qui insultent impunément la France et les Français depuis 4 ans.
Remarquez, Taubira aussi, à sa façon, en ouvrant grandes les portes des prisons pour laisser s’envoler les racailles – regardez-les s’envoler c’est beau – a un peu violenté le pays profond. Sans oublier Valls, qui laissait sortir et rentrer tranquillement en France les racailles-djihadistes qui voulaient assassiner des Français, avec la bénédiction de ses donneurs d’ordres. On n’y voit aucune différence de fond, seulement une différence d’échelle.
La Christiane n’est pas seule à morfler : Meklat & Badrou, ces Laurel & Hardy du racisme antiraciste, entraînent Mouloud Achour dans leur chute.
Pauvre Mouloud, lui qui a mis tout son surpoids médiatique dans la balance, celui de Canal+, qui commençait seulement à lui faire confiance. Il est en train de suer grave, le journaliste des « tiékar ». Prudent, il vient à son tour de supprimer le compte Twitter des éditions Grand Remplacement, une maison montée avec ses deux protégés d’où est sortie la revue Téléramadan. Une publication très bien promue par le Système et qui était censée revaloriser l’image des musulmans. C’est gagné !, comme dirait Jonathan Lambert. En prime, on a eu la chute de la maison Clark, cette sorcière radiophonique, et de l’éditorialiste Claude Je Suis Partout Askolovitch, avocat de bas étage du sionisme télévisuel.
C’est la théorie des dominos, toute la chaîne de bien-pensance s’effondre dans un bel ensemble, harmonieux, logique ; c’est beau à voir, finalement. Plus sérieuse est la théorie géopolitique des dominos, celle que les Américains ont mise en application après la Seconde Guerre mondiale dans les pays de la sphère communiste, selon laquelle la chute d’un de ces pays dans le giron capitaliste entraînerait les autres. Ce qui est arrivé, par la Pologne. On sait aujourd’hui que le « syndicat » Solidarnosc était lié, en partie, car il ne faut pas sous-estimer le mécontentement polonais, à la CIA.
De la CIA au Mossad, il n’y a qu’un pas, et du Mossad au CRIF, un pas encore plus petit. Allez, on exagère : ça s’appelle un amalgame et c’est mal. Mais on reste quand même dans la justice, entre un faux ministre et le vrai, celui du pouvoir visible et celui du pouvoir profond...
Grand Moment d’inversion jubilatoire sur RTL avec le ministre de la Justisse Kalifat
- Francis fait des blagues sur RTL
(Pour voir le one man show de Francis, cliquez ici)
Ce bon vieux Francis nous sort que « le dîner du CRIF est tout sauf un dîner communautaire, c’est un véritable rendez-vous républicain ». Si républicain veut dire sioniste, alors Francis le mal nommé a raison. Malgré ces inversions accusatoires récurrentes, les français ne sont pas dupes. Tenez, si un jour Égalité & Réconciliation organise son propre dîner, verra-t-on les ministre se bousculer chez nous ? On vous le demande…
Au fait, au cours du dîner de cons du CRIF, nos élus politiques et autres ministres ne se feraient-ils pas refiler en douce une poudre qui rend légèrement sioniste ? Nan parce que quand on écoute leurs déclarations ensuite, on dirait que c’est pas écrit par des élus républicains sains d’esprit. Il y a une chanson des Ramones qui dit « somebody put something in my drink ». Quelqu’un a foutu quelque chose dans mon verre…
On va finir sur une note marrante, c’est le repêché du jour. L’Internet fabrique des notoriétés ultra-rapides, pour les détruire aussi rapidement. Le peuple internaute est volatile et, tel une nuée d’étourneaux – ou de crickets malgaches – passe d’une star d’un jour à l’autre, sans autre forme de regret.
Revoilà notre ami Kevin Razy ! Le youtubeur qui avait dénoncé les méchants complotistes du Net et qui s’était fait poisser par la patrouille en fricotant avec des malpensants !
Après avoir servi de bouche-trou de la diversité dans l’émission du multimillionnaire Arthur sur TF1 – on vous fait pas le dessin –, Kevin Razmottes passe à l’ennemi, Canal+, la chaîne du Guignol qui ne rigole jamais, Vincent Bolloré. Le problème, c’est que Canal, qui auparavant devançait la mode en matière de télé, est devenue une vulgaire suiveuse. Caster un français de la diversité, c’était bon il y a 20 ans avec Jamel, pas pour des raisons d’antiracisme mais pour coller à la nouvelle jeunesse consommatrice et à la discrimination positive ambiante. Sauf qu’aujourd’hui, c’est mort : tout ce qui est entaché de communautarisme est condamné.