La mairie de Paris et la socialo-sioniste Anne Hidalgo nous avaient habitués à un allumage de la Tour Eiffel à chaque attentat dit islamiste. Ceux qui voulaient rendre hommage aux 14 Russes tués et aux 50 blessés dans l’attentat de Saint-Pétersbourg pourront attendre longtemps. Quand il s’agit des ennemis idéologiques de l’atlanto-sionisme, la solidarité humaine n’a plus lieu d’être.
Bon si je comprends bien , il y a des victimes qui valent plus que d'autres. #TourEiffel #Paris #SaintPetersbourg #Russie
— Neige (@Neige_du_soir) 3 avril 2017
Paris, une ville qui s’éteint...
La dernière fois que la Tour s’était illuminée, c’était pour les martyrs d’Alep, mais côté « rebelles », donc côté djihadistes, soyons logiques. Du coup, avec les soutiens géopolitiques douteux de la coalition occidentale (USA-GB-France-Israël), on ne sait plus s’il faut allumer ou couper les lumières quand ça pète chez un voisin. Pourtant, les habitants d’Alep ont fêté le départ des « rebelles », tandis que c’est grâce aux Russes que la Syrie peut respirer, en partie. Et continuer à exister.
Anne Hidalgio : retour sur 3 ans à tête de la mairie de paris https://t.co/Dva9xubdr8 par #AFP pic.twitter.com/Fg0wPHnM2A
— Agence France-Presse (@afpfr) 4 avril 2017
Même quand l’agence de presse mondialiste AFP rend hommage à Hidalgo, elle se plante…
La mairie de Paris, dans ses « choix » oligarchiques depuis Delanoë – et sa créature Hidalgo – nous a habitués à la honte et au déshonneur. En quelques années, Paris a perdu son lustre et son aura. La gestion socialo-sioniste aura fait mal à la Ville Lumière. Quand elle s’allume…
Ce pays, dirigé par des larbins au service d’une oligarchie qui n’en a rien à foutre des Français, est devenu le symbole de l’injustice. C’est-à-dire d’une justice à deux vitesses, qui saute aux yeux de tous à l’international et à l’intérieur. Ici on arme les djihadistes, là on punit les veuves de l’amiante. Pas de pitié pour les faibles, ils sont sacrifiés sur l’autel du profit. Depuis 2004, ces femmes d’ouvriers morts par le travail manifestent silencieusement – c’est peut-être là leur seule faute – contre cette justice qui s’aligne sur les intérêts des forts et des riches.
Le 14 avril 2009, il y a déjà 8 ans, soit 20 000 morts, les veuves suivies par les ouvriers et les syndicalistes poursuivaient leur protestation :
Les veuves de l’amiante en marche « pour la justice »... ou contre la justice ?
Partant de la place de la République à Dunkerque, 200 personnes ont défilé, demandant un procès pénal de l’amiante. Tout le monde connaît la saloperie qu’est l’amiante, et la saloperie qui s’en est suivie : alors que les autorités sanitaires et industrielles savaient depuis les années 70 que l’amiante était dangereux pour la santé des ouvriers, le principe de précaution n’a jamais été appliqué, les usines ont continué à tourner, les responsables à engranger les profits, condamnant à terme les ouvriers contaminés. 1 500 à 3 000 morts par an, et ça continue, chaque année.
Le Comité permanent amiante (CPA), créé en 1982, au lieu de prévenir la population concernée, a retardé l’interdiction de ce minéral, dont la poussière attaque la plèvre (le revêtement des poumons). C’est 15 ans plus tard seulement que l’interdiction bénie tombera. 15 années que l’on peut multiplier par 2 à 3 000 morts. Au total, les ouvriers ayant œuvré à la décontamination étant aussi touchés, on pourrait avoir 100 000 morts d’ici 2050. Et toujours pas de responsabilité pénale pour les autorités politiques, économiques, et sanitaires.
Il y a des pelletées d’amiante qui se perdent…
La leçon à tirer de ce drame, c’est que l’information, captée par l’oligarchie, peut être meurtrière pour la population. Qu’on se souvienne seulement du nuage de Tchernobyl, et des cancers de la thyroïde constatés sur le sol national après l’accident… Cependant, rien ne change, car les officines d’information continuent de mentir ou de cacher la vérité. Si ce n’est plus sur l’amiante, c’est sur autre chose : le sang contaminé, le distilbène, le Médiator… Dès qu’on touche au pouvoir ou au profit (forcément mêlés), l’information trouve un mur, et la répression. La « justice » entre en scène, bloquant toute avancée de la vérité. On se croirait dans un film américain où le héros révèle à son corps défendant un secret à la Nation, sauvant ainsi des vies, mais on est bien en France, le pays des scandales sanitaires énormes et récurrents.
- La propagande de service public en chute libre
Et qui continue à nous mentir ? Les canaux d’information officiels, symbolisés par le triste service public audiovisuel, responsable de la malformation politique et mentale de millions de Français. Qui pensent contre eux-mêmes, avec les faux concepts ressassés par les tuyaux : démocratie, antiracisme, égalité, république (qui ne mérite pas sa majuscule), parlementarisme, tout est bidon. C’est le Système entier qui est vermoulu. Alors, comment sortir de ce piège, de ce cercle vicieux, puisque la majorité des Français ne comprend pas pourquoi tout va mal alors qu’on vit dans une belle démocratie ?
L’appétit d’information vient en mangeant
Par la contre-information, et ça marche : France Télévisions perd chaque mois des parts de marché, et pas seulement sur la concurrence privée, puisque le public global devant la télé diminue d’année en année. La propagande a atteint ses limites ; maintenant, à chaque fois qu’elle intervient pour éteindre un « incendie » populiste, elle se tire une balle dans le pied. France 2 n’attire plus que 12% du public devant son poste. Ce qui est logique, finalement, et annonce une fin calculable, à moyen terme.
Quand on a un Pujadas qui joue à l’antinazi devant une Marine Le Pen, quand on a un « Ruquier » qui tient l’émission politico-culturelle hebdomadaire (le limon de la propagande se dépose par couches, qui finissent par durcir et sédimenter)… tous ces gardiens de l’information du Système disparaîtront avec lui. Et plus vite que prévu. Parce que de l’autre côté, l’info, elle, va vite, très vite. Les consciences se forment à la vitesse de la viralité sur l’Internet, et plus on en apprend, plus on en veut, et plus on augmente sa capacité de connaissance. L’appétit d’information vient en mangeant.
Le combat idéologique est déjà gagné, pour nous : la violence compense la faiblesse des arguments du Système. Il reste à attendre la majorité des Français. Quand ils souffriront trop, ils basculeront.