Les anticonspis sont les complices du pouvoir. La preuve, ils ne sont jamais inquiétés, jamais attaqués en « justice », ils ont toute latitude de raconter leurs salades, mentent comme des arracheurs de couilles, sont promus rapidement dans le système médiatico-politique, sont grassement payés pour leur sale besogne, et en plus, ces escrocs tentent de se faire passer pour des amis de l’humanité et de la vérité : les deniers de la Traîtrise, et la médaille du Courage !
« Conspiracy watch » watch
En vérité, ce sont des chiens – de garde – qui surveillent toute pensée qui s’aventure hors du territoire délimité par leurs maîtres. Ces flics, dans le sens le plus péjoratif du terme, qui ne protègent ni la veuve ni l’orphelin, sont régulièrement pris en flag de contradiction conceptuelle. Du coup, ils ne piègent que ceux qui sont déjà victimes de la propagande ; les personnes lucides ou de bon sens les fuient instinctivement ou se moquent d’eux. Malgré ça, ces menteurs pathologiques poursuivent leur sale besogne, fliquent ceux qui sont prisonniers des versions officielles étroites et étouffantes, dénoncent les hommes (trop) libres, rabaissent la pensée des autres, salissent les penseurs, bref, utilisent leur intelligence contre l’intelligence.
En cas de véritable grabuge de rue, ils iront se planquer chez leurs maîtres, qui les foutront dehors, trop heureux de refiler de la mauvaise viande à un peuple affamé de vengeance. Heureusement pour ces traîtres, les temps ne sont plus si barbares : ils finiront juste à poil, en public, sous une pluie de crachats. Car il faut assumer ses choix : quand on dénonce ses petits camarades pour un bonbon hiérarchique, c’est pas la peine de venir pleurer chez les résistants le jour de l’addition. En attendant le jour A comme Addition, ils sont les perroquets de l’oligarchie, les soulageant de la détestation de leurs contemporains.
Ce qui nous fait rire, au fond, c’est que ces valets sont obligés de défendre mordicus des versions officielles branlantes, simplettes, et pour tout dire, indéfendables. Même avec tout l’or du monde, ça ne pourra pas marcher. Il en faut des couches d’info-mastic, pour tartiner les yeux du grand public qui lorgne avec envie vers des explications plus cohérentes. Il en faut, des tartines de mensonges, pour défendre la version officielle du 11 Septembre, confectionnée pour les copines de Nabilla. Ou pour croire une seconde à la spontanéité du terrorisme qui touche la France depuis un an. Là, on ne rigole plus. Ces bouffons deviennent subitement les complices – conscients ou pas – de manipulations plus graves.
Ceux qui pensent – on les appelle aussi les réinformés – doivent donc avancer avec ces parasites sur le dos, qui les harcèlent, hélant les passants, hurlant dans les yeux et les oreilles, afin de brouiller le message contagieux qui sort de la bouche des évadés. Les anticonspis ? Des petits diables accrochés sur le dos des évadés, hurlant leur position, désignant leur dépassement des lignes, des frontières… Finalement, les réinformés, ce sont eux les vrais « no border ». Sans ces frontières mentales, qui sont établies par la dominance, et que les anticonspis ont pour ordre de faire respecter. Hélas, une part grandissante du public se tourne vers une explication moins insultante pour l’intelligence. Le respect de soi-même, ça compte, merde !
Au fait, à quand la Journée Mondiale du Complot ?
Extrême droite et extrême droite
Les journalistes qui crient au loup de « l’extrême droite », avec la montée en puissance du FN de Marine Le Pen, ne voient-ils pas qu’une extrême droite d’inspiration étrangère a pris le pouvoir dans notre pays, et au niveau de la politique intérieure, et au niveau de la politique extérieure ? Cela fait maintenant deux quinquennats que nos présidents appliquent le programme de l’Empire, et ces hypocrites de journalistes ne se scandalisent pas ?
Les journalistes « antifascistes » enlèvent le cheveu de l’assiette de merde, voilà ce qu’ils font. Car l’extrême droite – qui leur fait tant peur quand ils la fantasment en Française blonde de 47 ans qui ne tuera personne –, elle les embauche, elle les dirige, elle leur donne ses ordres, elle les punit quand ils dévient de la Ligne – on appelle ça des dérapages, et tous ces imbéciles s’entre-surveillent et s’entre-dénoncent –, comme à l’époque soviétique.
L’extrême droite honnie, qui pétrifie Caroline Monnot et Abel Mestre, les deux antifascistes patentés du journal Le Monde, mais c’est elle qui les finance !
Réveillez-vous, les lanceurs d’alerte au loup gris. La droite nationale franchouillarde, à côté, c’est de la petite bière : sans moyens, militaires ou matériels, il ne lui reste qu’à jouer sur les mots avec des phrases-choc, pour, dans le meilleur des cas, botter le cul de quelques grappes de racailles qui pourrissent ces cités aux noms fleuris, et puis c’est tout. La question qu’on peut se poser, en ces temps très embrouillés, où se superposent toutes les manipulations et tous les faux-semblants, est la suivante : l’oligarchie objectivement aux commandes de notre pays – puisqu’on a perdu la main sur la monnaie, l’économie et la guerre, selon la formule de Marie-France Garaud –, est-elle en train de pousser le gouvernement actuel vers la voie de la soumission totale à coups de pique-bœuf terroriste, de grosses décharges qui mettent la pression, ou veut-elle tout simplement placer à terme une Marine Le Pen à la présidence, ce qui présenterait moins de différentiel entre le programme et la réalité (totalitaire) ?
C’est peut-être pour ça que la droitisation de Valls avance à grands pas, sur le modèle de l’attelage Sarkozy-Buisson en 2011… Un Patrick Buisson qui revient dans le jeu avec de Villiers. La pression lepéniste ne servant, in fine, qu’à permettre de muscler le discours du Premier ministre. Histoire d’assécher le marigot. Comme ça, d’un côté ou de l’autre, l’oligarchie est gagnante : les musulmans vont déguster.
Le glissement totalitaire dû au surgissement d’un terrorisme sans revendication se décline en une économie dérégulée (Macron/Attali), une répression des idées par le biais du couple police/justice aux ordres des associations communautaires (CRIF/SOS Racisme), et un ennemi commun, le musulman, avec sa version diabolique, l’islamiste. Si le programme du FN « matche » avec ça, c’est autant de « réglages » de gagnés, de ceux que Hollande et sa clique d’incompétents subissent d’en haut et imposent au bas actuellement. Car la gauche moderne justifie la casse sociale que la droite ne veut ou ne peut pas faire. C’est ça, l’alternance : se partager le sale boulot du libéralisme et de la censure.
Quant au Grand Remplacement, au sommet, il est déjà acté. La décision en matière de politique intérieure/extérieure ne nous appartient plus, elle appartient à cette oligarchie littéralement innommable. Ceux qui hurlent au grand remplacement en cours feraient bien, au lieu de surveiller les plages du sud de l’Europe, de regarder un peu vers le haut, où il est parfaitement achevé.