Le couple à la fin très touchant.

Bonne chance pour trouver une fille aussi courageuse de nos jours.

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Fin des années 1980, Je me rappelle mes débuts de jeune cadre d’entreprise émigré de province vivant, dans un immeuble à 6 étages d’une banlieue chic du sud de Paris, rentrant de mon travail de bureau situé au 26ème étage d’une tour de la Défense, j’évitais soigneusement, encore vêtu de mon costard cravate flambant neuf, de croiser le regard ressenti comme condescendant des occupants "privilégiés" alors que je rejoignais mon modeste logement par l’escalier menant au " - 1 " et non au " + 6 ", comme effectivement majoritairement dans Paris... Depuis mon échelle des valeurs s’est heureusement complètement inversée... Philosophiquement .

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Ces gens me sont terriblement attachants ! Ils répondent simplement, sans agressivité ni pessimisme…l’époque manquait d’argent, certes, mais les gens y étaient plus humains : leurs regrets, leurs peines et leurs joies leur appartenaient ; aujourd’hui nos sentiments appartiennent à Microsoft ou Google….c’est la différence…

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J’ai eu l’impression, en regardant cette émission, de revivre ma jeunesse parisienne entre 1977 et 1980 (21-24 ans).
Merci infiniment pour l’avoir diffusé.

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Cette chanson que fredonnait mon père :

Ah ! ce qu’on s’aimait,c’qu’on s’aimait tous les deux !
Du mois de janvier jusqu’à la fin décembre,
Nul ne saura ce qu’on a été heureux,
Tout près du ciel,dans notre petite chambre,
Ah ! c’qu’on s’aimait,c’qu’on s’aimait tous les deux,
Dans la mansarde ou tu fus ma maîtresse,
Mais qu’il est loin !..le rêve bleu
De ma jeunesse.

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Ça me rappelle ma jeunesse, c’était exactement ça !

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Une société humaine, belle, qui prend la vie comme elle vient.
Dur de voir ces images.

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J’ai lu les commentaires avant et je n’ai plus le courage de regarder cette vidéo en face. Je vais encore plus déprimer de voir encore un exemple de ce bonheur que l’on nous a volé des dernières décennies, d’entendre une femme comme j’aurai rêvé d’avoir, qui, si il y en a encore, sont si peu nombreuses que la probabilité d’en trouver une est réduite comme peau de chagrin...

Je regarderai un jour ou je me sentirai fort. Vraiment fort...

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