TV Libertés et Pierre Bergerault reçoivent le journaliste financier Pierre Jovanovic pour la présentation de sa revue de presse axée notamment sur le mouvement des Gilets Jaunes et la loi du 3 janvier 1973.
TV Libertés et Pierre Bergerault reçoivent le journaliste financier Pierre Jovanovic pour la présentation de sa revue de presse axée notamment sur le mouvement des Gilets Jaunes et la loi du 3 janvier 1973.
RDP | Novembre 2018 |29 | ÉcologieÉconomieMédiasOpinionsSocial |
TV Libertés et Olivier Pichon reçoivent le journaliste financier Pierre Jovanovic pour évoquer la révolte des Gilets jaunes.
RDP | Novembre 2018 |39 | Économie |
Pierre Jovanovic reçoit Laurent Fendt pour commenter les principales actualités politiques, économiques et financières : préparation de nouvelles taxes en France, montée des populismes en Europe, hausse des frais bancaires, procès politiques, etc.
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Vous n’aimez pas qu’on vous le dise mais les états qui n’empruntent pas sur les marchés font défaut aussi ou même pire... Vous pensiez vraiment que donner de l’argent gratuit à des incompétents corrompus allait nous sauver ?
Un état faire défaut ? . Comment un peuple peut faire défaut si c’est lui qui créer la monnaie dont il a besoin ?
Vous pensiez vraiment que donner de l’argent gratuit à des incompétents corrompus allait nous sauver ?
je te signale que c’était la raison invoquée pour faire passer la loi de 1973. le marché privé devait empêcher cette irresponsabilité des politiciens (après moi le déluge).
Maintenant, si tu crois qu’on arrivera à revenir à la création monétaire d’état sans passer par la case virer tous ces parasites, je crois que tu veux mettre la charrue avant les boeufs.
Ce que vous dites est vrai si une monnaie n’est basée sur rien. Par contre, s’il y a des réserves d’or, des récoltes...c’est une autre affaire.
Vous n’aimez pas qu’on vous le dise, mais un état qui emprunte un instrument d’échange qui ne coûterait rien à produire, est de facto un gouvernement de corrompus au service des voleurs usuriers, et donc, sa faillite est déjà actée dès sa constitution.
P.S. : "Le marché", on l’enfonce.
Une info qui m’a fait réfléchir. Celle d’Angela Makrele, sur le fait que les allemands ne sont pas un peuple. Cela rappelle ce qu’à dit aldo Macrone sur les français, qui ne sont qu’une foule haineuse, des gueux. Et ce que disait Atali (conseiller à une jambe), sur la France qui est un hôtel.
Ce capitalisme financier mondialiste est un neo esclavagisme et un néo colonialisme. Il n’attaque pas un pays ni un peuple en particulier, mais tous les pays et tous les peuples. Le pouvoir n’est plus aux mains des gouvernements ( que faire du R.I.C. ? ) mais de milliardaires mafieux.
Leur pouvoir ne peut se maintenir qu’avec l’accord des forces militaires. Mais les hommes sont faillibles. Avec l’avancement de la robotisation des armements militaires, le puçage des identités, la virtualisation monétaire, les euthanasies déguisées, la féminisation de la société et la castration des mâles alpha, ils nous font entrer DE FORCE dans une dictature mondiale déshumanisée.
Une autre info qui m’a choquée c’est le chômage des jeunes. On est au niveau du Sri Lanka, mais eux ont au moins les noix de coco à manger.
Que faire du ric ? C’est une blague ? Faut reprendre tout l’argumentaire de chouard à zero ou bien c’est quand que vous avez perdu le fil ? Si t’es démocrate : il n’y a que le ric comme solution. Si tu rêves d’un autre régime...cest éloigné de ce à quoi aspire les gilets jaunes. Donc dans l’intérêt de la France , pour lheure , milite pour le ric au lieu d’espérer la venue d’un dictateur éclairé dont réve soral.
Jc,
Ne vous faites pas d’illusion ! Le RIC a d’ores et déjà été interdit par l’oligarchie puisqu’elle exclut tout référendum sur l’immigration . Le Capital ne se privera jamais de son arme absolue : l’immigration.
Référendum sur la fessée : oui.
Référendum sur le bio : oui.
Référendum sur l’immigration : non
Ca fait toujours son effet de prétendre que la banque de France pourra financer les dépenses de l’Etat comme les banques d’investissement achètent actuellement les OAT avec un taux d’intérêt à payer par l’Etat. Il faut tout de même rappeler qu’avant la loi de 1973, l’Etat ne pouvait pas faire financer ses dépenses courantes par la planche à billets pour des raisons inflationnistes évidentes liées à la monétisation des dépenses par un chèque de la banque centrale à l’Etat. L’Etat devait sévèrement encadrer ses dépenses et avoir recours à la monnaie banque centrale seulement en cas de financement d’investissements dont le retour économique annulait la monnaie créée par la BdF. Lorsque Mitterrand a commencé à enfreindre cette règle en gonflant les déficits sous prétexte de relance par la consommation, il a a dû se résoudre à dévaluer rapidement le Franc.La monnaie de marché par contre n’est pas inflationniste car c’est la dette de marché qui rembourse la dette plus les intérêts, ce qui permet aux ministres d’augmenter indéfiniment leurs dépenses moyennant le respect de certains ratios de remboursement. Par ailleurs la France paie des taux très bas voire négatifs pour financer n’importe quoi. Et c’est là que se trouve la véritable escroquerie, parce que les ministres s’imaginent qu’ils peuvent dépenser à volonté tant que les banques acceptent de payer pour des motifs qui sont plus politiques qu’économiques, si l’on tient compte de la situation économique désastreuse du pays. Le retour au financement par la BdF passera donc par un contrôle strict des dépenses. Plus question de faire des folies avec le budget de l’Education nationale, la formation professionnelle, l’énergie, la Secu, etc. Une réduction drastique de dépenses publiques s’imposera forcément pour mettre fin à la gabegie, non financée par la planche à billets, comme le prétend à tort Jovanovic, mais par l’émission de titres obligataires. La différence est de taille, car dans le premier cas c’est de la monnaie injectée dans le monde réel sans contrepartie monétaire, alors que dans le second c’est de la monnaie de marché qui sera remboursée par de la monnaie de marché (obligataire) donc non inflationniste. Voir ce qui est arrivé à ce sujet lors des crises financières dans d’autres pays interdits d’accès au marché qui ont connu une inflation stratosphérique, car obligés de financer leurs dépenses par l’emission de monnaie fiduciaire jusqu’à ce qu’ils maîtrisent leurs dépenses.
Petit rappel d’un ex-premier ministre, Michel Rocard :
https://www.youtube.com/watch?v=y99...
et j’imagine qu’uninspecteur des fiances ne sait pas non plus de quoi il parle :
https://www.dailymotion.com/video/xlficb
Bonne année et bon anniversaire Monsieur Jovanovic !
Les internautes d’ER avait raisons alors, il y a bien une purge du marigot aux États-Unis qui est en cour, le tour de Rhodam ne devrait pas tardé. Après la malédiction de Assad Doit Partir, voici celle de Trump Doit Partir.
J’ai hâte que nos camarades Gilets Jaunes polonais se débarrassent du parti Pet Et Injustice et installe un vrai gouvernement patriote.
Un excellent complément, cette émission, à la dernière vidéo de Maxime Nicolle (publiée ici même).
A diffuser largement : il est temps que de plus en plus de GJ prennent connaissance de ces faits fondamentaux concernant les banques et les intérêts financiers qui sapent et vampirisent la France, et l’Europe occidentale dans son entièreté.
Pour ne rien dire de ce que Jovanovic révèle sur le gaz débilitant dont sont maintenant équipées les forces de l’ordre (à partir d’environ 15:50).
Réponse à PLB à propos de Michel Rocard
Eu égard aux résultats des caciques du part socialiste qui ont expérimenté la relance par la dette en appliquant le Programme Commun essayé par F Mitterrand et J Delors, je ne présumerais pas trop de ses compétences en matière monétaire. Surtout que ce sont ces gens-là, Delors en tête, qui ont porté l’Union monétaire sur les fonds baptismaux à cause de l’échec de la planche à billets en Francs qui devait être corrigé par la mutualisation de la dette entre les Etats membres. L’idée était de créer un marché obligataire suffisamment large et profond pour permettre aux banques de générer un volume de dettes sous la forme d’instruments financiers liquides et d’obligations en euros bien supérieur à celui des monnaies nationales. La monnaie dette permet aux banques de générer de la monnaie virtuelle grâce notamment à l’effet de levier des produits dérivés basés sur les titres de dette publique et privée, voire semi-publique comme la Sécu ou les collectivités locales et donc met à disposition des politiques des capacités de financement considérables. Le prétexte de la rigueur budgétaire n’était qu’un leurre. Le véritable motif était de faire de la monnaie dette le levier qui allait porter la transformation de la société en vue de sa socialisation complète et de l’intégration des économies nationales dans des blocs unifiés régis par des gouvernances communes. Ce que les banques avaient empêché sous le Programme commun, elles allaient le réaliser grâce à la surabondance de liquidités monétaires tirées des marchés en euros. Ainsi la monnaie est devenue un instrument révolutionnaire au service de l’agenda politique des mondialistes qui ont copié le système monétaire américain de la FED avec notamment la monétisation des titres qui sert à faire voyager le capital à travers l’Union monétaire. Les résultats économiques devenaient secondaires, tant que les banques pouvaient générer de la valeur avec les titres de dettes en euros garantis par la BCE, ce qui n’avait pas été prévu de prime abord par les Traités européens mais est devenue une réalité à la suite de la crise de 2008. Ainsi vous voyez quantité de projets ubuesques, notamment dans le cadre de la transition écologique et de la transformation numérique financés par la dette en euros émise par les banques, alors que la chose eut été impossible avant l’introduction de l’euro sur les marchés. L’euro est avant tout une arme révolutionnaire.