Le Cambodge est un très beau pays, mais décidément il s’y passe de drôles de choses. On sait que le pays attire beaucoup les pédophiles occidentaux, qui peuvent s’y payer un enfant pour quelques dollars. Apparemment, certains de ces pédophiles se font coincer par la mafia française qui les fait chanter, ou les recrute dans un gros réseau pédophile installé en Asie et en Europe. Car on le sait bien désormais : quelle meilleure arme que la pédocriminalité pour tenir en laisse des personnalités bien placées ?
Au Cambodge, les pédophiles sont au paradis. Il est très facile d’y trouver un enfant des rues pour nuit, à 5 $ à peine. Ravagé par la guerre civile, ce pays a commencé à s’ouvrir au milieu des années 90, quand la guerre a pris fin. À ce moment-là, il y avait dans le pays 20 000 prostituées mineures sur 50 000 recensées dans le pays, et 25 000 enfants abandonnés trainaient dans les rues de Phnom Penh, la capitale [1]. Le trafic d’enfants n’y a jamais cessé, mais heureusement, se dit-on, des ONG luttent contre ce fléau.
Dès 1996, un groupement d’ONG appelé ECPAT (End Child Prostitution in Asian Tourism) dénonçait la présence de pédophiles occidentaux à Phnom Penh et dans le pays. « Parmi eux, deux employés de l’ambassade de France, trois professeurs de l’Alliance française, des employés de l’ambassade d’Australie et des États-Unis, des journalistes, des humanitaires, selon une liste dressée par Mick Kearney, un ancien inspecteur de police australien qui enquête aujourd’hui pour l’ECPAT » est-il précisé dans un article de Libération.
« “Ce consortium d’ONG surveille aujourd’hui cinq résidents français qui servent, selon Kearney, de tête de pont à un réseau international. Les Français sont les mieux organisés. Leur réseau leur permet d’échanger des informations et de se protéger”, souligne Mick Kearney, qui affirme par ailleurs avoir été menacé de mort par des pédophiles français. » ECPAT a ainsi envoyé en procès l’ancien ambassadeur d’Australie à Phnom Penh, en 1995 [2]. Il avait aussi été accusé d’avoir détourné de l’argent des fonds d’aide de son ambassade afin de financer des orphelinats, dans lesquels il se fournissait en petits garçons et dont il aurait aussi fait profiter d’autres pédos. Finalement il a été acquitté, parce que le tribunal australien a estimé que les preuves étaient insuffisantes.
Selon ECPAT, déjà en 1996, des ONG venant en aide aux enfants avaient été infiltrées à cette époque.
Revenons à notre mafia, ce dont parle un ancien militaire, Bruno Mercier, qui tente de dénoncer cette mafia nichée au Cambodge. Il explique qu’une société tenue par des français mais de droit cambodgien, appelée Triangle Holding, avait des activités très louches.
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