Personnellement, les confinements, on s’est assis dessus : chaque jour du printemps 2020, qui était très beau, on était dehors, à pied ou à vélo. Le regret, c’est d’avoir vu des maîtresses de maternelles assigner dans les cours de récré des enfants masqués à des cases tracées à la craie. Les adultes, eux, qui avaient les moyens de se défendre, ont eu ce qu’ils méritaient : à ta mesure (de ta lâcheté), il te sera donné.
Delirium tremens : les chaînes de télé fêtent le 5e anniversaire du confinement
Il y a cinq ans, la France se confinait pour tenter de freiner la propagation du Covid-19 pic.twitter.com/gKYGCMlyDb
— BFMTV (@BFMTV) March 17, 2025
La vraie saloperie, elle est là : dans la lâcheté de la base, qui se cache derrière les décisions de la hiérarchie, dont l’autorité ne tient que sur la lâcheté, base du consentement et du consensus, ce consentement généralisé.
Il suffit de dire non, de résister, et toute la colonne vertébrale du pouvoir s’effondre. Mais on ne va pas demander ça à des normies sous-équipés à tous points de vue, et passés par les fourches caudines de l’ÉducNat, cette machine à décérébrer, à fabriquer des veaux, que le Système exploite et mène ensuite à l’abattoir.
Quelle différence avec Auschwitz ? Aucune, c’est juste une question d’échelle, dans le temps et l’espace, mais ça revient exactement au même. Structurellement, notre société est auschwitzienne : 80 ans sont ramenés en 6 mois, 3 semaines. Tu nais, tu te fais tabasser, tu bosses, on exploite ton énergie, et on te jette.
Une « drôle » de période, pour le HuffPost
5 ans après le confinement, les réseaux sociaux font le bilan de cette drôle de période (et de ce qui a changé depuis) https://t.co/Z5gbWXugz6
— Le HuffPost (@LeHuffPost) March 17, 2025
Ce lundi 17 mars 2025, les chaînes fêtent le cinquième anniversaire du premier confinement, comme si de rien n’était, comme si c’était la récré. Le HuffPost, le canard d’Anne Sinclair, la donneuse de leçons qui n’a pas besoin de travailler, raconte les meilleurs moments du confo 1. Ha ha ha, ce que les Français on trouvé comme parades sympas et créatives !
Évidemment, tout est à inverser, dans l’Orwelland : les gosses ont souffert, Marie-Estelle Dupont nous le rappelle régulièrement, elle qui les voit en vrai en dépression, parfois au bord du suicide. La faute à l’oligarchie, ce pouvoir médiatico-politico-médico-policier, qui a emprisonné et persécuté une population pour rien, juste pour une expérience sadique de contrôle social de masse. Les politiques, les syndicats, ont tous coulé là-dedans, moralement parlant. Ce ne sont pas nos amis, ce sont des complices du pouvoir profond, des relais de l’ignominie.
Macron bat Le Scouarnec : 68 606 000 contre 299
C’est dans ces périodes dures que la lucidité est un atout : comprendre immédiatement ce qu’il se passe, ce qu’on nous passe (comme un virus), est primordial. Le covidisme doit servir d’exemple aux peuples qui veulent se libérer du joug.
Aujourd’hui, après les expérience traumatiques du contrôle social par le terrorisme oligarchique, puis par le terrorisme sanitaire, voici venu le temps du terrorisme guerre-mondialiste. Si la troisème ne surgit pas, malgré les efforts de Starmer & Macron, alors on aura droit à un autre virus, meilleur que le précédent, qui ne fait plus peur à personne. Un laboratoire P4 financé par Bill Gates nous concoctera bien ça, on a toutes les souches nécessaires, bacilles et autres créatures invisibles tueuses, tiens, comme nos dirigeants de l’ombre. Virus d’en bas, virus d’en haut, même combat !
Il faut se figurer à quoi ressemblent ces carnets : des descriptions insoutenables, des petits malades montrés comme des objets sexuels, des commentaires insinuant qu’ils s’exhibent eux-mêmes sur leur lit d’hôpital, voire qu’ils prennent du plaisir à leur viol. Or, 90 % des victimes n’avaient aucun souvenir. Les faits vont donc leur être révélés à travers les mots mêmes de leur agresseur. « Je me suis trouvé précipitée dans le cerveau d’un dingue, je me suis vue dans ses yeux : sa chose », se souvient une assistante de direction. À l’audience, Jean Coudray, un psychologue qui a expertisé neuf personnes, évoque le « traumatisme de la révélation ». « Mais y avait-il une bonne façon de procéder ? », soupire l’avocat général, Stéphane Kellenberger. […]
Deux-cent-cinquante-six victimes avaient moins de 15 ans au moment des faits. Une dizaine ont été internées en psychiatrie, deux se sont suicidées. (Le Monde du 17 mars 2025)
Grâce à Le Scouarnec, dont la presse se repaît des saloperies, elle fait son mea culpa sur ses silences à propos de la pédophilie de réseau ou d’État. Le vieux chirurgien a fait officiellement – c’est écrit noir sur blanc dans ses carnets – 299 petites victimes, qui sont grandes aujourd’hui. Pendant 25 ans, cette ordure a violé des enfants dans le contexte hospitalier, tout chirurgien tout-puissant qu’il était. Là encore, ça ne fait tilt à personne ?
Quand en haut de la hiérarchie vous avez un malade mental, alors toute la pyramide sociale est touchée, que ce soit dans un hosto, une entreprise ou un pays.
Macron, c’est le Le Scouarnec de l’entreprise France, comme il se plaisait à l’appeler. Transformer un pays, une patrie en entreprise, ça avait son charme, pour les couillons qui ont voté pour lui, en 2017 et 2022. Lui, ce n’est pas 299 enfants qu’il a violés, mais 68 606 000 Français, petits et grands, un viol mental à grande échelle.
Même si on admet que Macron est lui aussi une victime, un MK-Ultra de belle facture. Alors on veut bien suivre dans Le Monde les épisodes du Le Scouarnec Show, mais aussi en parallèle celui du Macron Show, et jusqu’au bout de l’acte d’accusation.
Si l’on suit l’idée de Carlson (prise comme hypothèse), il pourrait suggérer que Macron aurait été « corrompu » ou programmé via sa relation avec Brigitte, vue comme une figure d’influence écrasante dans sa jeunesse. Dans une logique conspirationniste, cela impliquerait qu’elle ait été un outil pour le façonner, peut-être dans un dessein politique.
En résumé, un individu soumis à une programmation deviendrait un mélange de façade contrôlée et de chaos intérieur, avec des pathologies graves masquées par une apparence fonctionnelle. Cela reste une construction théorique fascinante mais hautement spéculative. […]
La programmation, surtout si mal exécutée ou résistée inconsciemment, crée une tension entre la personnalité originelle et celle imposée. Cette dualité interne, combinée aux traumatismes initiaux, empêche la formation d’une identité cohérente. L’individu devient une marionnette fonctionnelle mais fragile, susceptible de « craquer » face à des stress majeurs ou des confrontations remettant en question son conditionnement.
Dans un scénario hypothétique inspiré de MK-Ultra, un individu (comme Emmanuel Macron dans le contexte de la remarque de Tucker Carlson) serait choisi jeune, déstabilisé par des traumatismes (abus, isolement), puis programmé via drogues, hypnose ou suggestion pour un but précis (ex. rôle politique). Une figure d’autorité pourrait renforcer ce conditionnement.
Devoir de mémoire : les people complices
CoronaCircus
03/2020 Quelque 80 personnalités et Youtubeurs se sont mobilisés pour vous encourager à rester chez vous pendant le premier confinement ! On y voit notamment Tony Parker, Jamy Gourmand de C’est pas sorcier, Arthur, Natoo, Enjoy Phoenix, Norman, Cyprien, Tibo In… pic.twitter.com/C6XMHND48l
— Ni Oubli Ni Pardon (@NiONiPardon) March 17, 2025