Deux jours après la suppression de la chaîne YouTube de l’humoriste français numéro un, Les Grandes Gueules, ce prétendu espace de liberté d’expression sur la radiotélé RMC-BFM, ont refait le procès de l’homme qui clive.

C’est vrai que Dieudonné est un tranchant, qu’il est tranchant : on est pour ou contre, il n’y a pas vraiment de milieu, sauf sur le fil de la lame. Les chroniqueurs et animateurs ont donc traité du cas du grand réprouvé en tentant de sauvegarder les meubles : car comment défendre la liberté d’expression sans défendre Dieudonné ? Et comment condamner Dieudonné sans condamner la liberté d’expression, et ceux qui en dessinent le périmètre ?

Rien que la phrase d’introduction d’Alain Marshall vaut son pesant de shekels. On vous la livre en entier.

Marshall  : « Dans les tendances GG hier, très commentées, le fait que l’humoriste Dieudonné ait vu sa chaîne YouTube supprimée par [petit silence gêné] YouTube, par l’hébergeur. »

Stop ! Il est clair pour tout le monde, du moins les gens honnêtes qui suivent l’actualité, que ce sont des « associations » sionistes qui ont obtenu de l’hébergeur cette faveur incroyable, signe de leur puissance. D’ailleurs, à chaque recul de la liberté d’expression de Soral ou Dieudonné sur les médias mainstream et maintenant sur l’Internet, ces associations qui sont en fait des officines de pouvoir occulte ne peuvent s’empêcher de crier victoire.

C’est la vanité qui nous condamne, on le sait tous.

Bref, l’UEJF, ce CRIF junior, s’est félicitée dans un tweet que la « violence » et la « haine » (non pas des Israéliens envers les Palestiniens, mais de Dieudonné envers la communauté juive) aient fini par se faire éjecter de la plateforme de vidéos mondiale. Eh oui, le bras tatoué des puissances occultes françaises fait même plier le géant américain !

Dans ce cas, soit Alain Marshall est un incompétent, soit il est malhonnête. Sinon les deux. Car tout le monde sait très bien en France que le lobby sioniste fait la loi dans les médias, la justice (qu’on regarde seulement le rapport entre le nombre de procès intentés contre Soral et toutes les poursuites abandonnées contre ses agresseurs, insulteurs et autres injurieurs), jusque dans le monde politique, où députés, ministres et présidents d’une bien triste République tremblent devant le CRIF, la LICRA et les oukases de leurs métastases (UEJF, SOS Racisme et compagnie).

La suite de l’émission tourne à l’impasse : ces animateurs et chroniqueurs, entièrement choisis et subordonnés à l’autorité sioniste, ne peuvent défendre Dieudonné – sauf à dire qu’il est ou était un excellent humoriste, ce qui ne mange pas de pain casher –, qui n’a pourtant jamais tué d’enfants sur les plages avec des obus. C’est le monde à l’envers, où la peur de perdre sa place fait dire des énormités, des mensonges et génère petites et grandes lâchetés.

Marshall reprend, dans sa même introduction : « Alors, certains commencent à crier à la censure... »

Stop ! Comment ? « Censure » ? Le mot est un peu fort, non ? Quelqu’un qui déplaît au pouvoir sioniste ou à la communauté juive organisée ne peut pas être victime de censure, puisque c’est justice de lui couper le micro !
Et après on se demande pourquoi RMC-BFM vire un employé sur trois... Maintenant, écoutons les juges, leurs assesseurs (Jacques maillot et Barbara Lefebvre) et leur niveau de crédibilité lors de ce procès sans avocat et sans la présence du condamné d’avance.

04’08 – Lefebvre  : « Je pense que moi je n’irai pas regarder les vidéos antisémites de Dieudonné parce que je sais que Dieudonné est antisémite et que donc son vomi antijuif ne m’intéresse pas. »

Le vomi anti-Dieudonné, lui, intéresse Barbara. Quant à l’intervention de l’assesseur Maillot, on est à la limite d’un film de zombies. On attend avec impatience la prochaine charrette de RMC-BFM avec juges et assesseurs mêlés dedans.