Chaque jour apporte son lot de collabos ; une véritable pandémie ! On savait les people globalement veules, calculateurs, soumis à tous les pouvoirs, un œil sur le tiroir-caisse, l’autre sur la feuille d’impôts, mais les révoltes successives des Gilets jaunes puis des anti-pass nous ont appris que ces personnalités n’étaient pas vraiment du côté des gens, qui sont pourtant leur public. Leurs clients. Étonnant, non ?, comme dirait ce pauvre Aphatie.
Tant mieux, les boycotts vont foisonner, dans les mois qui viennent. Déjà, le cinéma pourri se casse la gueule en beauté, et le théâtre gauchiste va avoir du mal, même subventionné, à refonctionner. Les people, gauchisés à l’extrême, si prompts à produire des pétitions pour trois migrants attaliens qui viendront vivre sur la bête, quand il s’agit des droits du peuple, y a plus personne. Tous dans la casbah, à attendre le retour de la pluie, la pluie d’or, celle de leurs émoluments d’auxiliaires du pouvoir.
On extrait évidemment de cette bande de scélérats des Bigard et des Barré, mais sur les 1 000 personnalités françaises, on n’en trouve pas 10 qui ont eu de la lucidité et des couilles. Blanche Gardin, que tout le monde présentait comme la nouvelle bombe de l’humour ? Rien. Pas un mot pour démolir la politique ignoble de la kommandantur. L’humour, ça sert juste à faire des blagues de cul, ou à dézinguer les pouvoirs dégueulasses ? Se planquer est plus sûr, sinon carrément se mettre du côté du manche, comme Cymes et Guetta, nos deux collabos du jour. C’est pas nous qui le disons, c’est eux. Ils se jugent tout seuls. Nous, on relate.
Quand « l’emprunteur » Guetta fait croire qu’il est musicien...
Le DJ d’Ibiza s’est dénoncé dans Le Dauphiné, un journal de qualité :
« Cet été, on n’a pas eu beaucoup d’options en Europe, où la plupart des événements d’envergure ont été annulés », nous a confié le légendaire DJ lors d’un entretien juste avant son show. « Ça m’a fait un choc en revenant des États-Unis. En Floride, les gens ne portent plus de masques, tous les restaurants, les clubs sont ouverts. À Las Vegas, les casinos sont ouverts. J’ai halluciné sur le décalage entre les États-Unis et l’Europe. J’espère qu’on va tous s’en sortir très vite et que tout le monde va se faire vacciner. Je suis très surpris par le débat actuel. Je ne parle jamais de politique, mais aujourd’hui, l’enjeu me semble important pour tout le monde. »
David Guetta frère de Bernard Guetta député LREM recommande vivement le vaccin afin de pouvoir continuer à faire la fête. pic.twitter.com/SKv157CRAo
— Procureur RésistantCloversForAssange (@CarrPatrick2) December 30, 2020
On espère que cette sortie lui a valu un petit rabais sur ses importants impôts, car l’emprunteur et acheteur (il n’écrit rien lui-même) de rythmes et de mélodies vient de vendre son catalogue musical pour 100 millions de dollars à Warner. Le Point nous éclaire :
Pour Warner, c’est l’assurance d’une rente confortable : depuis une dizaine d’années, selon Forbes, les revenus de Guetta oscillent entre 10 et 30 millions de dollars par an. Le DJ cumule 14 milliards de streams à date, il est le huitième artiste le plus écouté au monde sur Spotify et certains titres ont toujours la cote sur les plateformes, comme « Titanium », sorti il y a dix ans. Nul doute que les équipes de la Warner vont exploiter l’œuvre de Guetta sur tous les supports pour la rentabiliser au maximum : plateformes, cinéma, séries, publicité, etc. Sans compter les tubes à venir… [...]
Pour David Guetta, c’est tout bénéfice : il vend son patrimoine artistique de son vivant, comme un patron le ferait avec son entreprise, et s’assure au passage une retraite en or massif, sachant qu’il est également à la tête d’une petite fortune, dont le montant reste toujours confidentiel, mais qui comprend plusieurs villas dispersées sur tous les continents. Le DJ est connu pour sa créativité, mais aussi sa force de travail, son exigence et son sens du business… « Cet accord consiste à m’entourer des meilleures personnes pour m’assurer que je peux continuer à innover, a-t-il réagi à la signature du contrat. Tout en travaillant sur mon vaste catalogue et en continuant à construire ma carrière. »
Si sa musique sera désormais gérée par Warner, l’artiste pourra toutefois continuer à arrondir sa pelote en multipliant ses shows très lucratifs à travers le globe – selon NRJ, il facture entre 150 000 et 250 000 dollars la soirée, et plus de 400 000 dollars pour des concerts privés…
Du côté de Michel Cymes, qui rime lui aussi avec business, on a la dent dure. C’est dans Paris Match, le magazine ennuyeux, qu’il s’est lâché contre les antivax. Personnellement, après sa tribune, on a failli s’injecter une overdose de Bourla-veine !
C’est devant les caméras que Michel Cymes s’est fait vacciner début janvier par « devoir d’exemplarité ». Aujourd’hui, le médecin du Paf pousse un coup de gueule contre les anti-vaccins et anti-passe sanitaire qui manifestent le week-end depuis fin juillet. « Nous sommes 66 millions de Français et il y en a 200 000 qui manifestent dans les rues dans toute la France. Je pense qu’il faudrait arrêter d’en parler parce qu’ils ne représentent rien. L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le passe sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui », a-t-il déclaré au micro du « Club de l’été » d’Europe 1 mercredi, fustigeant encore « ces personnes égoïstes (qui) se baladent dans les rues en criant des slogans dont certains dépassent complètement le cadre sanitaire, avec des pancartes antisémites ou anti-Macron ».
"Il faudrait arrêter d'en parler. Ces gens-là ne représentent rien !"
Le coup de gueule de Michel Cymes contre les antivax : pic.twitter.com/FBui6ZSsNz
— Europe 1 (@Europe1) August 18, 2021
Michel, le médecin devenu commercial, se trompe : la plupart des Français qui se sont fait vacciner étaient contre, mais le pouvoir, soutenu par les médias en faillite (deux milliards ont été lâchés pour leur sale collaboration), leur ont forcé la main avec un chantage à la vie d’avant... qui ne reviendra jamais. Pourtant, il suffisait de garder la tête froide, de regarder les chiffres et l’état de nos hôpitaux pour deviner l’arnaque mondialiste. Hélas, tout le monde ne s’intéresse pas à l’information, et encore moins à l’information profonde, celle que les agents du pouvoir profond taxent opportunément de complotiste. Or, ce sont bien eux les complotistes, ceux qui fomentant ces attaques terroristes contre une population qui n’a pas encore compris qu’elle était en guerre, qu’« on » étaient en guerre contre elle. Les chrétiens, ça met du temps à réagir à une agression, mais en ce moment, ça se réveille. Ça commence par des samedis, puis ça contamine les autres jours...
Tous ceux qui insultent le peuple de France, les Pialoux, les Cymes, les Deray, les Véran, devraient bien réfléchir aux conséquences de leur sorties, eux qui ont micro ouvert dans les merdias. Après, ils viendront encore pleurer que les gens ne les aiment pas. Et ils ne comprendront pas que des Français un peu plus en colère que les autres les poursuivent de questions dans la rue. Car chez nous, tout commence et tout finit dans la rue.
Bonus : Deray encore plus haineux que Cymes et Guetta réunis !
Sa tribune dans L’Express (on attend encore la nôtre, personne ne nous demande jamais notre avis) déborde de rage et de haine contre les antivax. On ne saisit pas pourquoi ce vaccinodrome à lunettes ne laisse pas les gens libres de leur choix. Est-ce qu’on va lui dire ce qu’il doit manger au petit déjeuner ? Ce qu’il doit penser ? Certains seraient tentés de dire, dans un accès d’animosité, « ta gueule, Deray », mais ce serait outrageant, et ne ferait pas avancer le débat. Cependant, comment voulez-vous faire avancer le débat avec ce genre de vaccino-fascistes ? Et après on s’étonne que les réseaux sociaux réagissent par des propos inappropriés...
« Les preuves d’efficacité et de sécurité des vaccins s’accumulent, sans que cela ne vienne troubler les croyances absolues des antivax en un complot mondial de "Big Pharma / Bill Gates / Francs-maçons / banques / Juifs / Illuminati..." pour s’enrichir et tuer une grande partie de la population mondiale – les plus pauvres, "les inutiles" – et ainsi contrôler le reste du monde. [...]
Nous luttons contre un virus, un de plus, qui a tué officiellement 4 millions de personnes et très probablement de l’ordre de 10 millions. Les armes pour le contrôler sont connues : vaccin, mesures barrières, masque, et depuis peu le passe sanitaire. Comme par le passé pour d’autres épidémies, nous vaincrons ce fléau sanitaire et grâce à la science nous aurons limité les pertes.
Ce qui restera, outre la douleur des familles endeuillées et des millions de "Covid longs", c’est une société fracturée incroyablement égoïste et repliée sur ses privilèges. Le "moi" devrait se diluer et s’épanouir dans la collectivité. Il s’est hypertrophié de façon grotesque, au risque, telle la grenouille, d’éclater en emportant la cohésion de notre société avec lui. À l’extraordinaire aventure scientifique que je vis depuis dix-huit mois s’oppose la noirceur des comportements d’individus et de groupes.
Sans doute simplement l’éternel recommencement de l’histoire de l’homme dans sa splendeur et sa médiocrité. Une leçon d’humilité. »
Résumé : la splendeur, c’est Deray, la médiocrité, c’est nous.
- La splendeur faite homme
Pour Gilbert Splendeur, les antivax sont des « criminels », car il s’agit de « sauver le pays » (d’un gros rhume ?) :