Cher ami,
Quelque part, je suis dans le même cas que vous. J’avais 12 ans et demi au moment du referendum où les OUI fleurissaient partout sur les murs transformés ensuite en NON à coup de peinture.

Mon père était issu d’une famille radicale qui n’avait pas digéré la constitution de la Vème République, celle-ci ayant liquidé le parti radical. Ce parti représentant la petite bourgeoisie républicaine a eu des heures de gloire de 1870 à 1940. Il a sombré avec la défaite de IIIème République en 1940.

Je suis certain qu’il aurait approuvé de Gaulle rétrospectivement devant l’imposture d’Israël qui a constitué une mauvaise solution politique au problème juif apparu au XIXème siècle.

De Gaulle était un visionnaire !

Du coté des oppressés durant la guerre ?! Tu veux dire des oppresseurs avec la trahison cautionné des Britanniques sur la marine française (dont Mers El-Kebir), les bombardements sur les civils français qu’il a cautionné, l’appel au terrorisme pour qu’il y ait de la répression dans l’espoir d’une insurrection, avoir essayé d’offrir littéralement à l’Angleterre l’État français ? Il connait bien le "peuple sûr de lui-même" pour avoir a été son laquais, ça c’est certain.

Les oppressés c’est ceux qui recevaient les bombes anglo-americaines sur la gueule.
L’oppresseur c’est celui qui a abandonné les Harkis aux couteaux du FLN.

il était anticolonialiste et sensible au sort des Palestiniens colonisés .

“Être sensible au sort…” L’expression le plus répugnante d’hypocrisie dont sont friands les français. Pour information :

 De Gaulle fût aussi “très sensible au sort” de Robert Brasillach lorsque l’avocat de ce dernier lui supplia, dans son hôtel privé du Bois de Boulogne, cigare de Havane à la main, d’épargner la vie de son client.

Robert Brasillach, dont la pensée, ou du moins, l’inclination politique aurait évité le sort des palestiniens si celle ci avait été soutenu par le “dit” général…

Hypocrisie qui frôle le grotesque. Pétain était un homme sensible et raisonnable, De Gaulle ? Un opportuniste carriériste… Idiot utile des Maîtres qui l’ont placé à la tête de l’administration fantoche des vainqueurs de la Haine™

En étant avec Israël en 1956 (affaire du canal de suez)
Et en armant Israël pendant la guerre des six jours.

Il n’était sensible qu’à l’intérêt de la France, il n’était ni antisémite ni antimusulman : il se contrefichait aussi bien des juifs que des musulmans.

L’occupation de la France par les Allemands n’est absolument pas comparable à celle d Nethaniau en Palestine. Je rappelle que l’armée allemande a systématiquement relevé toutes les ruines occasionnées par la Blitzkrieg de mai et juin 1940. Ils ont même installé les premiers branchements électriques dans certaines maisons...dont notre maison de famille. C’est pas le cas à Gaza.

"La Palestine est occupée par les juifs comme la France l’avait été par les Allemands".
Ouin-ouin, Ça n’a rien à voir. Si on a été occupé (à moitié !) c’est qu’on avait déclaré et perdu la guerre.

Anonyme. De un c’est faux. On n’a pas déclaré la guerre. l’Allemagne a attaqué la Pologne sachant que cela serait considéré de facto comme un attaque contre la France. Le gouvernement français n’a pas fait de déclaration de guerre .
De plus on n’a pas perdu la guerre. On a signé un armistice après une bataille bien mal engagée... et on a finalement gagné la deuxième guerre mondiale.C’est l’Allemagne qui a perdu la guerre. C’est marrant un révisionnisme a ce point faux et anti-français.

Et de toute facon peu importe les raisons. On était occupé par une armée étrangère tout comme les palestiniens le sont, d’où la sympathie innée que l’on a envers les palestiniens.

Zuleya

Les faits sont têtus. C’est bien la France qui a déclaré la guerre à l’Allemagne... et qui l’a perdu.. Si même que les chars allemands sont arrivés sur Paris, c’est pas une victoire hein... Merci la gauche et Blum

Sortez de l’Histoire façon éducation nationale ou allez commentez sur l’immonde ou le fougaro

@babou, oui, exact, et surtout le Génarl ne portait pas dans son coeur, le président Johnson, qui lui, le président Johnson avait considéré comme un coup de poignard dans le dos, le départ de l’otan de la france, en 1965, par contre Dwight Eisenhower, l’estimait de même, que bien sûr John Fitzgerald Kennedy, et aussi Richard Nixon, qui a déclaré, en 1974, lors de sa venue pour l’enterrement de Georges Pompidou, " c’est la deuxième mort du gaullisme", il avait vu juste.