Bill Gates, sponsor numéro 1 de l’OMS et de la pandémie, a arrosé le journal Le Monde
2 mai 2020 07:39, par sud
Celui-là mange aussi des vies. C’est un de ces astres maléfiques dont il faut éviter le champ de gravitation sous peine de se métamorphoser en cadavre, ou de sombrer dans l’ignominie par compromission, en endossant la responsabilité de meurtres par intermédiation ou dans l’escroquerie. On ne peut pas aller se baigner au cloaque sans finir par puer. Les animaux qui y grouillent on toujours besoin de nouvelle compagnie pour ne pas perdre leur estime d’eux-mêmes.