Pour ma part, je m’en tamponne, au sens strict du terme : la femme (tant qu’elle ne pense pas de concert, au sens harmonique du terme et qu’elle se meut donc, femelle) demeure, dans la totalité de son être, un organe sexuel (possiblement reproducteur, pour une partie des accessoires).
Quant au spectacle, j’ai toujours imaginé les « dialogues du vagin » de la petite de Lifeforce d’un autre point de vue, parce que pour l’avoir croisée une fois au « château » après l’avoir contempler dans le film « aspirer » les forces vitales, j’ai souvent fantasmé de le lui faire siffler.
Concernant l’article ci-dessus, j’ai adoré la citation des demeurées :
« Quand une femme jouit avec un homme, elle ne fait que collaborer au régime patriarcal, rendant érotique sa propre oppression. »
A laquelle je rajouterai : « et plus encore lorsqu’elle simule » car à l’oppression s’additionne dès lors la soumission...
J’attendrai donc la sortie prochaine du crossover « les Monologues du con », avec deux ou trois connes pour lessiver les planches, ainsi que le troisième volet « les Rengaines de l’anus » avec deux ou trois trois de balles de la secte des déglinguées : même en répetition, je suis preneur... Ce doit être quelque chose que de les voir s’exclamer d’un « O », outré, avec leurs fesses...