LaTchéquie (l’ancienne Bohême) et la Hongrie sont encore des pays aux traditions et au paysage préservés, en partie grâce au particularisme de leurs langues difficiles et rares. La Pologne est bien placée pour savoir ce que c’est qu’une invasion étrangère.
Accepter des migrants en masse revient à tuer le pays. Une telle invasion qui se masque derrière une grimace humanitaire balaie tout sur son passage et l’herbe ne repousse pas.
Hongrie et Tchéquie ont des souvenirs moins subconscients qu’à l’Ouest des Huns et autres barbares. Ceux-ci toutefois y allaient franco, sans déguisement, sans prétexte ; et ne gagnaient qu’en force, en faisant une vraie guerre.
Les armées de mendigots envoyées par Soros sont des armées virales. A terme, rien ne leur résiste. Instruction, langue (écouter-lire le colboc ou novlangue popularisée par Fabienne), christianisme, armée, commerce, urbanisme et urbanité, paysage, forêt, chant, danse, amour et amitié, nourriture, tout s’enlaidit, perd son sens, se fissure, croît en tumeur, se délite ou se dilue.
Mais notons aussi que, parmi les trois pays cités, au moins deux sont très mafieux (et qui dit mafia dit...) et que la Tchéquie est une plaque tournante du trafic d’armes.
Il se pourrait que l’UE tolère une scission de l’Europe entre pays de moindre importance économique à privilège no-migreurs - pour y installer ou y garder des bases militaires US ou pour assurer tranquillité, confort, bel environnement et non-concurrence à des trafiquants bien installés - et pays plus importants à fatalité no-borders (France, RU, Allemagne, Italie, Espagne) pour mieux les exploiter/dépouiller, et dont le conglomérat formerait l’UERSS à la macron, grand corps malade (mourant ?) à disposition des vautours.
C’est un peu ce qui se passe dans les grandes villes : quartiers agréables pour les mafieux d’en haut, quartiers envahis pour le citadin ordinaire.
Notre France finirait ainsi sacrifiée (dans les vues sorosiennes), tout comme la ville de Saint-Denis.