Pas une manifestation, mais une parade d’exhibitionnistes.
Des exhibitionnistes fort habilement et intelligemment interviewés. Il vaut la peine de bien regarder cette vidéo et d’écouter les propos des exhibants.
On y voit :
des gens dénués de toute conscience, de tout sens, politique,
des abysses de bêtise et d’infantilisme,
des montagnes d’égoïsme et d’égotisme,
des gens verrouillés dans un conformisme et une inculture quasiment sans rivaux,
le culte dd l’anus, lieu de déjection et de détritus,
des analphabètes des droits de l’homme,
le triomphe du nihilisme, de l’incompétence, du nul, de la simulation, du faux, du mensonge, de la mauvaise foi, de l’Ersatz, de l’académisme de la transgression (comme dans l’Art Contemporain et la Musique Contemporaine), et j’en passe.
Tout cela est un luxe que seule une société riche, gaspilleuse, désorientée, sans repères et sans mesure peut s’offrir.
La faiblesse de l’idéologie LGBT se jauge à l’énorme déploiement de lois, de mesures, de procès, de menaces, de violences linguistiques, de logorrhées interminables (universitaires (théorie du genre) et autres), d’écrits et de conférences, de "performances" et d’"oeuvres d’art", d’"évènements culturels", bref aux immenses investissements énergétiques nécessaires à sa survie et sa maintenance. Imaginez une société plus sobre, plus pauvre, plus mesurée, plus contrainte par la nature, plus orientée par la survie, moins à même de gaspiller et à produire du superflu et du détritus, et vous verrez la baudruche LGBT se dégonfler à un rythme vertigineux.
La société thermo-industrielle et omni-consommante engendre non seulement des déchets matériels, mais aussi des déchets comportementaux et culturels. Elle génère non seulement des bulles financières et boursières, mais aussi des bulles "culturelles".