(suite)
L’immigration, les élèves en étant issus - qu’ils soient maghrébins, subsahariens ou portugais - étant très défavorisés sur le plan culturel et intellectuel, venant parfois de familles ne parlant même pas français. Cela ne peut que contribuer au phénomène de "tirage vers le bas", d’autant plus que ces jeunes, incultes et déracinés, sont plus réceptifs que la moyenne à la culture mondialiste libérale consumériste, qu’ils imposent parfois avec violence, étant également plus violents que la moyenne. Il faut ajouter à ça les phénomènes de regroupement communautaire, racket, racisme, etc. nuisant gravement à l’ambiance scolaire et donc à la réussite de l’ensemble des élèves.
La féminisation du corps enseignant, au sens propre comme au sens figuré, pas vraiment indiquée lorsqu’on a des élèves de plus en plus turbulents et violents. Je me souviens d’avoir vu des enseignants hommes se faire victimiser par des gamines de 12 ans, je pense qu’il n’y a rien à rajouter... Je me souviens également d’une CPE qui avait pris la défense de gamines emmerdées car habillées en demi-putes (string dépassant de 10cm, etc.), ce qui devrait normalement être interdits dans un établissement scolaire pour les raisons que j’ai évoqué plus haut, au nom de la liberté, l’égalité des sexes, de la lutte contre le machisme, etc.
Pour résumer, au nom d’idéaux de gauche (mixité sociale et sexuelle, immigrationnisme, etc.), on se retrouve avec des hordes de décérébrés, tirés vers le bas ou confortés dans leur misère culturelle, totalement en phase avec le consumérisme à l’américaine. Bref, il semble que le gauchisme a une fois de plus été l’idiot utile du capitalisme...