Web-discussion avec Alain Soral et Éric Naulleau sur Twitter
20 novembre 2013 22:54, par Isabelle Zimmermann
On retrouve le Soral qu’on aime bien, celui des débuts, content du bon coup qu’il vient de faire, gentil courtois mais ne cèdant rien, offensif sans agressivité, brillant. Naulleau a aussi ma sympathie, plein du désir de bien faire quant à la liberté d’expression, mais ses arguments très mollement défendus nous montrent (malgré lui) qu’il n’est plus convaincu lui-même des positions qu’il défend, sans doute doit il continuer à jouer le jeu pour sauver sa place mais soit il n’y croyait déjà plus, soit la force de conviction de SORAL a fait son effet. J’avais déjà cette impression à la lecture du livre, la voici confirmée.