On comprend pourquoi personne ne veut débattre avec Asselineau : n’avoir que du bla-bla tiré de la "pensée unique" et des formules incantatoires, mais aucun argument solide, pour s’opposer à quelqu’un qui connaît parfaitement les dossiers et présente un raisonnement parfaitement logique, on se ramasse comme une merde.
Il serait trop long de relever toutes les contradictions internes et les arguments hors sujet dans le discours de M. Malégarie. De toutes façons, le "principe de réalité" finira par s’imposer. Les européistes peuvent toujours dire que ça sent la rose avec le nez dans le caca, mais ça ne pourra pas durer indéfiniment.
A relever l’allusion à M-F Garaud à propos de l’Europe "jouet" de la CIA. C’est assez malin de la part d’Asselineau de faire cautionner cet argument par cette "haute autorité" incontestable (alors qu’elle l’a peut-être "piqué" dans une conférence de lui-même) : échec et mat pour l’autre abruti. En outre, Asselineau fait ainsi preuve d’une certaine élégance, alors que M-F Garaud l’a traité avec un certain mépris ; enfin elle changera peut-être d’avis, car c’est une femme intelligente.
Je précise que je ne suis pas adhérent de l’UPR, mais le spectacle de l’intelligence en action m’intéresse plus que celui de la connerie ou de la basse démagogie qui est celui donné par la plupart des politiciens. Je sais que le Président Alain Soral a une position assez "réservée" sur Asselineau, et puis il y a cette histoire d’ananas mal digéré, mais la France a besoin d’hommes et de femmes de talent pour pouvoir espérer se relever un jour, en les employant là où ils peuvent être les plus utiles.