Bienvenue dans Un Jour en France spécial « vulgaire » ! Plusieurs questions nous brûlent les lèvres en ce mardi 23 mai 2017 : Hanouna va-t-il devoir coucher avec un gay ou devenir gay pour effacer le blasphème de l’imposture téléphonique homophobe ? Va-t-il se prosterner devant le monument du Gay inconnu ? Faire une visite au Mémorial des gays déplacés ? Un don à une assoce LGBTiste ?
Touche pas à mon spot !
Pour ceux qui douteraient encore de la puissance montante du lobby LGBT, voici la liste des annonceurs qui retirent leurs spots de l’émission d’Hanouna :
PSA, Flunch, Décathlon, Orange, Petit Navire, Thomson, Bouygues Immobilier, Guerlain, Pringles, SFR, Groupama, La Fourchette, Engie, Nestlé, RedBull, PMU, iDVROOM, Cofidis, Pulco, la Maaf. Sans oublier les entreprises qui font du sponsoring sur l’émission : Bosch, Chanel, Disney… et bientôt Lu et Easyjet.
Se faire Hanouna est devenu branché, la marque de la bien-pensance. Si ça continue, Cyril va frapper à notre porte. Tout est possible, les enfants punis jouant entre eux…
La solidarité homosexuelle, c’est pas rien : 20 000 plaintes de la part de personnes qui se sont senties humiliées – le jeune appelé se sent dans une « détresse morale épouvantable » selon une association anti-homophobe qu’il faut croire sur parole sous peine d’homophobie aggravée – par le sketch pas vraiment cruel de l’animateur. Rigoler d’un plan cul par téléphone, bof, des tas d’ados s’y sont essayés, et c’est humain, trop humain.
- Le faux mariage gay de Cyril Hanouna et son larbin Camille Combal (en 2015)
Le seul intérêt politique de cette affaire, c’est le clash entre les deux lobbies : le surpuissant lobby sioniste, et le lobby LGBT. Il ne manque plus que les francs-macs et le trio des lobbies qui font (souvent) la pluie et (rarement) le beau temps dans nos médias sera au complet. Les prédateurs de la liberté d’expression se boufferont peut-être entre eux, fixant la hiérarchie de la chaîne alimentaire une bonne fois pour toutes.
Festival de Connes ou de Cannes ?
Après avoir fait la minute de silence réglementaire pour l’attentat dégueulasse contre des enfants à Manchester, les festivaliers ont repris leur train-train. Les stars ont montré leurs seins et leur culotte, les paparazzis ont shooté, plus la peine de planquer, de refiler du cash au petit personnel, aux proches un peu jaloux pour avoir les « plans ». La star s’offre en pâture, elle va chercher le paparazzo, les proies courent vers le chasseur. Cannes se dirige tranquillement vers les Hots d’Or, la cérémonie dans la cérémonie qui a été abandonnée en 2001, après 9 ans de bons et loyaux services. Aujourd’hui, la culture cinématographique étant devenue ce qu’elle est devenue – le vecteur décomplexé du mondialisme – ce sont les stars elles-mêmes qui se déshabillent sur les marches et dans des productions de plus en plus osées, pour un public de plus en plus jeune.
- Afida recherche activement du travail
Du coup, l’ex-vedette de télé-réalité Afida Turner (un nom américain, très chic pour la banlieusarde Hafidda Messaïd) ne détone pas vraiment dans le tableau en dévoilant ses charmes miamiesques (tirés de Miami). À 40 balais, il faut bien ça pour revenir dans la course. Et la course, c’est quoi ? L’éphémère existence médiatique, basée sur des « coups » plutôt que sur un travail de fond. Ça fait la différence entre les vrais et les faux artistes. Mais comme disait le Christ, il y a de la place pour tout le monde dans la maison du Père !
Il y en a même pour Caroline de Haas, celle qui veut résorber les insultes des migrants de la Chapelle à l’encontre des « salopes » parisiennes par l’élargissement des trottoirs.
Caroline De Haas : de « osez le clito » à « élargissez les trottoirs »… (Vidéo) - https://t.co/bZ3GcqPH32 pic.twitter.com/90BIj1IL8Z
— DelitD'images (@delitdimages) 23 mai 2017
Caro, c’est un cumul. Toute la France se moque d’elle depuis sa sortie sur les trottoirs, un dérapage gauchiste de la meilleure facture. Un truc qui restera, dans les anales de la nazerie granitique. On rappelle que l’élargisseuse de trottoirs a été à l’origine de la campagne Osez le clito, qui avait permis à Odile Buisson, qui en faisait la promo pour l’association Osez le féminisme, de déclarer au magazine Psychologies cette perle :
« J’ai toujours pensé que le clitoris était un organe politique. Alors cette campagne, j’y ai tout de suite adhéré. Osez le clitoris, c’est-à-dire osez voir que nous sommes un genre à part entière, avec les droits qui vont avec. Or si nous en avons acquis un certain nombre, nous n’avons toujours pas, entre autres, celui de la décision politique. »
Cette gynécologue-obstétricienne avait commis Qui a peur du point G ? chez l’éditeur Jean-Claude Gawsewitch. Vous le sentez venir, l’amalgame clitorisme – socialisme – immigrationnisme ? Il ne manque plus que Kepel et son djihadisme planétaire qui tient en échec les 5 plus puissantes armées du monde (libre)...
Bon, et maintenant le lien entre Hanouna, les gays, Hafidda Messaïd, la télé-réalité, le clito et les migrants ? Ben c’est ce qu’on pourrait appeler la salade mondialiste. Il y a une congruence mais supérieure, et cachée. Tous ces ingrédients ont un lien entre eux, qui donne sa cohérence au tout. Une vinaigrette. Un vin aigre, éthymologiquement, et éthyliquement aussi (le vin se transforme chimiquement en vinaigre au contact de l’air), celui-là même que le soldat romain tendait au Christ, dans une éponge au bout de sa lance, pour éponger la soif du Fils de l’Homme !
La vanne oubliée !
Caroline de Haas, de Élargissez le clito à Osez le trottoir.