Elle n’est pas franchement belle ni brillante, mais dans le combat contre les sales « bourgeois patrons », ce n’est pas ce qui compte. Christine Poupin est l’une des porte-paroles du NPA, le nouveau parti antifrançais, partie intégrante du pouvoir trotsko-libéral, et elle répondait aux questions d’une journaliste de LCP ce jeudi 13 avril 2017.
Poupin sur la tentative d'incendie du @FN_officiel "Ils devraient éteindre leurs cigarettes ! Ils devraient faire attention..." #NPA #PolMat pic.twitter.com/a69mpAeTA0
— LCP (@LCP) 13 avril 2017
Vous allez nous dire « c’est trop facile de se moquer de la Poupin », qui concentre en elle tout ce qui s’éloigne des valeurs humaines comme la Tolérance, l’Intelligence des choses, sans oublier la Beauté, la Poésie… Cependant, loin de tomber dans le morphopshychologisme à deux balles, on se rend compte qu’il y a quelques congruences dans le combat antinational actuel entre le Corps et l’Esprit. Par exemple, l’esprit chevaleresque n’est pas ce qui émane de prime abord du noble corps de François Hollande. On l’imagine mal ramasser une lourde épée et défendre la veuve et l’orphelin devant l’ennemi. Il serait plutôt du genre à se carapater en chaise à porteur loin, très loin du front.
C’est l’impression qu’il a donnée pendant les 5 looongues années de ce mandat historiquement funeste. Et aujourd’hui, lors de son entretien exclusif au Point, le canard de Giesbert, SuperLâche a récidivé. On vous passe ses absurdités sur l’attaque chimique en Syrie car il a bafouillé pire : il envisage, selon un membre du protocole, de sécher la passation de pouvoir si Marine Le Pen est élue le 7 mai. Et prouve par là-même qu’il ne respecte ni les institutions, ni les Français.
Bon, ne jouons pas aux cons, on le savait que ce gros parasite oligarchique qui n’a jamais travaillé n’avait aucune valeur (de droite, mais ça c’est logique) ni politique, ni personnelle. Pourtant, on peut être président avec des valeurs, mais c’est plus dur. Il faut être d’un autre bois que cette espèce d’aggloméré imitation chêne… Allant dans le même sens, ce pauvre Cazeneuve, qui a avalé toutes les couleuvres des salopards qui ont organisé les tueries de 2015-2016 en France, se propose lui de rester à Matignon jusqu’aux législatives en cas de victoire du FN aux présidentielles.
Non mais on est où là ? Qui nous a refilé des burnes pareilles ? Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu pour hériter de ces « responsables » complètement à la masse ? La France a-t-elle un si mauvais karma qu’elle doive boire ce jus de PS (prononcer « pss ») jusqu’à la lie ?
Et le pire, c’est que cette idéologie du renoncement et du rabaissement contamine jusqu’aux couches les plus basses de la société, qui n’avaient pas besoin de ça. Dans l’échelle sociale véritable, où ce président et son Premier ministre sont en bas tandis que l’infirmière et le pompier sont en haut, le dessinateur de presse pro-régime se situe entre le président et le rat porteur de la peste bubonique. On s’explique. Avec un exemple.
Le dessinateur Nawak a 150 000 followers (poursuivants ou suiveurs) sur Facebook, le site de la CIA qui surveille vos opinions. Bon, jusque-là, rien de nouveau. Chaque jour, il fait des petits crobards contre la droite, les patrons et les fachos. Là aussi, rien de nouveau. Le problème, c’est que la disparition des dessinateurs de Charlie, qui eux avaient du talent, a laissé la place à toute une classe de morpions au trait hideux et aux idées pour le coup vraiment nauséabondes. Quand Charb ou Tignous dessinaient un patron, malgré la caricature, c’était bien torché et marrant, même si c’était sociologiquement faux. Mais ça plaisait au troupeau gauchiste qui avait besoin de prendre sa revanche sociale sur les dominants.
Quand Nawak s’empare des thèmes dits de gauche pour faire de l’humour, on sombre. On sombre dans les vieux clichés 68tards roulés dans la sauce bien-pensante actuelle, c’est-à-dire le pire des deux époques. Un cannelloni de merde, si vous permettez l’expression. Et Dieu sait si on aime la cuisine italienne, chez E&R.
Un croquis sans grâce, qu’on dirait sorti d’un CAP de dessin industriel dépassé, des « idées » du niveau d’une Najat, c’est-à-dire collège, même pas le second degré du lycéen… Voilà pourquoi – entre autres – on en veut à ceux qui nous ont retiré Cabu, Tignous, Charb et les autres. La caricature de gauche, c’était mieux avant (le 7 janvier 2015).