Pas un député chilien, quelle que soit sa couleur politique, n’est resté assis quand il s’est agi de faire cause commune en faveur de Gaza à feu et à sang.
C’est loin du pays des Lumières et de sa flamme vacillante du courage politique, c’est à des milliers de kilomètres de son palais présidentiel lié de manière éternelle à l’impérialisme israélien, quand il n’est pas pieds et poings liés à son diktat non négociable, et de ses temples législatifs de la lâcheté collective, que le flambeau du soutien à Gaza brille de mille feux, éclairant le Chili et sa représentation nationale dans un hémicycle déterminé et incorruptible.
Pas un député chilien, quelle que soit sa couleur politique, n’est resté assis quand il s’est agi de faire cause commune en faveur de Gaza à feu et à sang. Dépassant leurs traditionnels clivages, tous les parlementaires, unis par la même indignation, se sont levés comme un seul homme pour brandir des panneaux de protestation contre le nouveau crime de guerre et contre l’humanité perpétré par Israël contre les Gazaouis, appelant à « mettre fin au massacre dans la bande de Gaza, ainsi qu’à l’Occupation de la Palestine ».
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