Ils ont interdit aux citoyens de porter des armes (l’inverse aurait évité les 89 morts du Bataclan car des citoyens armés auraient éliminé les djihadistes), et ils ont décidé de laisser leurs armes aux dealers de drogue des banlieues, mi dealers mi islamistes, et de ne pas désarmer les salafistes pour ne pas paraître islamophobes.
Je respecte ce choix politique.
Les 129 morts et les 350 blessés de vendredi sont le prix à payer lorsqu’on fait ces choix, qu’on prend ces décisions, qu’on décide d’avoir cette tolérance vis à vis des djihadistes français, des salafistes français, des Frères musulmans français, et de l’islam de France.
J’ai le plus grand respect pour le courage du premier ministre : il a préféré exposer ses concitoyens au danger terroriste pour ne pas malmener sa population musulmane, pour ne pas pourchasser sans merci les radicaux, et il a eu le courage de le dire aux Français. Qui ont eu le courage de l’accepter. Et les médias, qui ont eu le courage d’applaudir son grand humanisme vis à vis des minorités défavorisées.
Le gouvernement français a été démocratiquement élu, les Français vivent en démocratie, ils ont la liberté de s’exprimer, de choisir, de manifester leur mécontentement ou leur désaccord, et les Français savent mieux que personne descendre dans la rue lorsqu’ils ne sont pas d’accord.
Les Français ne sont pas descendus dans la rue pour dénoncer l’islam, l’islamisation, la dégradation de la sécurité, le changement de société, d’identité de la France, parce qu’ils sont tolérants, humanistes, accueillants.
Ils ne sont pas descendus dans la rue pour refuser l’invasion des migrants et des réfugiés, infiltrés par des combattants de l’Etat islamique – pardon, ils étaient 700 personnes à l’appel de Riposte laïque.
Les médias eux-même, qui disent respecter les plus hautes règles de l’éthique du journalisme, n’ont jamais protesté, jamais exprimé la moindre réserve sur les décisions du gouvernement français et des Français en matière d’immigration, d’accueil des réfugiés, de tolérance pour accommoder les demandes des musulmans, sauf pour exiger plus de tolérance, plus d’accueil, plus d’accommodement, et accuser de racisme et d’islamophobie ceux qui refusent ce changement identitaire et culturel de population.
Ce qui arrive est la conséquence de tout ce qui précède. Ce qui arrive est le prix à payer de cette politique, et les Français ont librement déclaré choisir cette politique.
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