Nous avons ici un parfait exemple de la surpuissance du Crif. Rappelons-nous que suite à la publication de la nouvelle, il n’était nullement question d’un meurtre raciste. Les premiers éléments mettaient plutôt en lumière un conflit latent et ancien, une simple affaire de mauvais voisinage dans un HLM qui a malheureusement dégénéré. Cependant, les médias ont rapidement laissé entendre que cette dame était juive et que par conséquent, la police POURRAIT retenir l’antijudaïsme comme motif.
À partir de ce moment précis, les fonctionnaires de police n’ont plus le choix : ils DOIVENT affirmer publiquement qu’ils retiennent le caractère antisémite de l’affaire et ce, même si rien ne l’indique ou qu’à termes, ce motif sera exclu. L’important c’est qu’en faisant de la sorte, la police s’évite les pressions et inquisitions du CRIF et n’a pas à gérer une crise fabriquée de toutes pièces qui a un gros potentiel de dérapage. De leur côté, les sionistes auront ce qu’ils veulent : organiser une marche avec un maximum de couverture média afin de "rabaisser le caquet du coq français". Quand bien même en bout de ligne le caractère raciste n’est pas démontré et retenu, le Crif aura tout de même pu passer sa propagande et un an plus tard dans la mémoire collective, les gens se souviendront de la marche et non des conclusions de l’enquête. Ainsi, comme dans l’affaire Méric, un mensonge sera devenu une vérité et comme dans ce dernier cas, le Crif aura même l’audace de rappeler périodiquement cette affaire.
La voilà la puissance du Crif : enclencher chez le goy un processus d’autocensure se déclinant d’une part en dilapidation des ressources de l’état et d’autre part, en un défilé d’autoflagellation publique où des goys comme Mélenchon répèteront le mantra obligé du "je ne suis pas antisémite". Je suis maintenant convaincu qu’ils (les sionnards) retirent une sorte de jouissance perverse au spectacle de ces larbins pénitents qui jouent à qui est le meilleur shabbat goy de France.