Cette "bonne nouvelle" était prévisible.
Ils gèrent les mauvais chiffres en préparant l’opinion à l’avance via les médias ("Il semble d’après certaines indiscrétions que les chiffres ne seront pas bon") tandis que les bons chiffres sont gérés de façon à créer une bonne surprise (impact psychologique positif maximal).
Le chiffre du mois d’Octobre qui tombe fin Novembre est crucial car il tombe juste avant la période des fêtes de fin d’année. Annoncer un mauvais chiffre du chômage ce mois-ci est impensable, c’est un crime de lèse-croissance.