Il y en a un qui doit se sentir mal aujourd’hui, même s’il se planque derrière la loi : c’est celui qui a relâché le clandestin multirécidiviste qui a assassiné les deux jeunes filles à Marseille. L’assassin est mort, mais ceux qui ont permis qu’il réside chez nous, en toute quiétude, courent toujours.
#Marseille "Il avait été arrêté la semaine dernière, on le laisse dehors. Tout le monde commence à être en colère" https://t.co/deaUqugjmr pic.twitter.com/sWfAqltpV3
— RMC (@RMCinfo) 3 octobre 2017
L’objet de cette introduction n’est pas de lancer une chasse à l’homme vengeuse, mais de pointer les failles de notre système, et pas seulement de notre système de sécurité. En vérité, il ne s’agit pas de failles, mais de brèches intentionnellement ouvertes dans nos frontières, dans nos lois, dans le cœur de notre pays. Lorsque les commissions parlementaires qui ont fait suite aux grands attentats de 2015 ont rendu leurs conclusions, elles ont pointé les « failles » des services de renseignement.
Et à chaque attentat, une nouvelle « faille » apparaissait. Soit on connaissait déjà les tueurs, ou que les tueurs étaient sous surveillance, une surveillance qui s’arrêtait malheureusement (faute de crédits, soi-disant) quelque temps avant l’acte, soit les tueurs n’avaient rien à faire là et ils étaient entrés illégalement sur notre territoire. Un attentat, une faille ; un attentat, une faille. On devrait plutôt dire, « une faille, un attentat ». Les choses seraient alors plus claires...
- Elles ne s’appelaient pas Sarah mais Laura et Mauranne
On ne va pas faire de deuil inutile, on va simplement montrer la photo de ces deux jeunes filles en fleurs, qui auraient pu être nos filles, nos sœurs, qui sont en fait nos filles et nos sœurs, car on ne se désolidarise pas de leur souffrance et de celle de leurs proches. Il ne s’agit pas de récupération, nous voulons montrer que la nation est unie contre ceux qui par leur laxisme, leurs choix, leurs intérêts, permettent, autorisent, encouragent ce genre de saloperie. Et là, on monte d’un cran dans l’abjection. Parce que le salopard qui a tué, lui, n’est plus. Mais la chaîne de commandement qui a permis ça, elle, est toujours là.
Ne nous trompons pas d’ennemi, le déglingué social prêt à passer à l’acte par frustration, délire ou manipulation, il y en aura toujours, notre société déglinguée en fabrique chaque jour. Il y a moins de boulot, moins de protection (sociale), moins d’avenir, il y aura plus de peur, plus de méfiance, plus d’agressivité. Quelqu’un joue avec ces curseurs, et ce n’est pas une figure unique, qui serait incarnée par on ne sait quel personnage maléfique. Non, c’est un système, et ce n’est pas commode de dire système : c’est l’ensemble de ceux qui n’ont pas les mêmes intérêts que nous, le peuple français. Et ceux-là, on les connaît, on les voit – du moins leurs représentants, car la discrétion est de rigueur Là-Haut – chaque jour dans les médias, on les devine, quand ils ne se dévoilent pas par vanité, à travers leurs déclarations, leurs mensonges, leur duplicité.
Le peuple français n’a toujours pas compris qui donne les claques...
Au bout de combien de claques dans la gueule le peuple français va-t-il comprendre qu’il est sous attaque, pas par les « islamistes » que la propagande nous vend, mais par un commando de déstabilisation qui a les moyens de terroriser la population ?
Des moyens techniques, militaires, médiatiques, organisationnels... Des services à l’œuvre qui il est vrai s’appuient sur la haine de la France que de faux compatriotes ont dans leur cœur. Mais d’où vient cette haine, sinon des médias et de l’école sous influence qui l’ont inculquée à plusieurs générations d’enfants et d’adultes depuis 50 ans ? Il y a même des Français qui détestent la France !
L’axe de notre travail se situe là, dans l’apprentissage de l’amour de la France et des Français, puisque détester la France c’est détester les Français. Cela impose de revoir toute l’histoire, de revisiter – comme dit Cyril Lignac avec ses gâteaux – l’histoire officielle, l’histoire dominante, l’histoire faite par et pour les dominants. Après, on se rend compte que l’ennemi n’est pas l’épicier arabe du coin, ni la famille de 7 enfants cloquée dans un HLM à Bobigny. On accède à des rouages plus complexes, moins primaires, et donc moins manipulables.
Ce qui caractérise les lecteurs de ce site, c’est qu’ils sont de moins en moins manipulables. Et c’est pour ça qu’on est visés, au premier chef, par le pouvoir en place et ses obligés. Édouard Philippe, en sortant de la Synagogue (un symbole) a promis qu’il lutterait contre les ennemis de ses maîtres. Grand bien lui fasse ! Il prendra le chemin de Valls, qui a fini avec sa décoration de l’Ordre du Grand Larbin tout seul sur son île d’Evry. On voit où mène la trahison.
- La modeste synagogue Buffault, où "notre" Premier ministre a donné de solides garanties à ses employeurs
La France est simplement malade, mais elle n’est pas sauvée : ce sont ses propres « médecins » qui lui injectent du poison au quotidien. Tant que les électeurs n’auront pas compris ça, ils continueront à élire des empoisonneurs qui tiendront plus à leur profit qu’à leur peuple, qui n’est d’ailleurs plus le leur depuis longtemps. Le divorce entre eux et nous est bien acté, ils ont beau appeler ça « fascisme », « antisémitisme » et autres qualificatifs offensants, ça ne changera rien au résultat : ils ne tiennent que par la répression, économique, médiatique, terroriste.
Cette dictature finira mal, c’est notre petite consolation. Dans les livres d’Histoire nettoyés que liront nos descendants, il y aura « l’épouvantable régime liberticide des années 2000 », et les enfants de nos enfants se demanderont pourquoi les gens ont pu non seulement laisser faire ça, mais voter pour ça !