Un petit mot pour vous tous. Pour vous dire merci d’abord. Et ensuite dire bien fort que je dis également merci à Franck Ferrand, le premier homme des médias à me tendre le micro. Il faut ici le rappeler : la première personne qui m’a donné la parole hors médias c’est Alain Soral. La première personne qui me l’a donnée dans les médias, c’est Franck Ferrand.
Dont je trouve les questions et les interventions pertinentes, l’approche honnête, et la délicatesse incontestable (je pense, là, bien sûr à son attitude face à l’atrocité) Je redoutais la complaisance, il n’y en a pas eu. Et je sais comme il est difficile à la fois de dénoncer et d’éviter la complaisance, problème que je n’ai pas encore résolu.
J’ai parlé très amicalement avec Evelyne Lever, je crois qu’elle était simplement abasourdie de ce que je disais, et on le serait à moins.
Son mari m’a très gentiment aidée en son temps. Je ne veux pas laisser dire qu’il se complaisait dans le sadisme, c’est faux. Son ouvrage sur Sade est un "must" et "les Buchers de Sodome" remet bien les pendules à l’heure. Il était pudique, précis, professionnel, il faut savoir ça. Sinon on peut aussi bien dire que je me complais dans le sadisme en travaillant sur Damiens, ou que Stan Maillaud...
Voilà. Un grand merci à Franck Ferrand, et à Alain Soral grâce à qui, en un an, j’ai atteint un grand média ce qui ne m’était jamais arrivé depuis trente ans que j’écris...
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