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Pourquoi tant de haine ? #16 – Affaire Matzneff : Alain Soral remet les pendules à l’heure !

Pourquoi tant de haine ? est une émission d’ERFM, la radio en ligne et en continu d’Égalité & Réconciliation.

 

Présenté par Monsieur K., ce seizième épisode entièrement consacré à l’affaire Matzneff et diffusé en exclusivité sur ERFM le 17 janvier 2020 à 19h avait pour invité Alain Soral.

 

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***

 

Alain Soral – Pédophilie, éphébophilie et pédocriminalité

Mon analyse de l’affaire Matzneff

 

 

D’abord une mise au point sur ma relation à Matzneff

Je ne le connais pas personnellement. Ma relation à lui se borne à deux faits et un constat.

Un. J’ai lu des lettres d’amour de lui à une jeune femme que j’ai connue au début des années 90 (je me souviens que son père était sculpteur) et qui avait été sa maîtresse quand elle avait 15 ans. C’était de très belles lettres et elle gardait de lui, à 20 ans, un très bon souvenir de son initiateur délicat à l’amour…

Deux. Il m’a soutenu, à distance, lors de mon expulsion de Sciences Po par l’ignoble Descoing. Il a été le seul à le faire avec Marie-France Garaud.

Deux gestes élégants.

Je l’ai aussi croisé plusieurs fois lors de salons du livre, à l’époque où j’y étais encore invité. Je me souviens d’un monsieur précieux, ni vulgaire, ni brutal, contrairement à l’époque. Voilà les trois raisons de mon avis favorable sur lui, sans vraiment le connaître.

Par ailleurs, je n’ai aucun avis sur son talent et son œuvre, je ne lis pas ses livres et sa conception de la littérature « au-dessus de tout » (et qui excuserait tout ?) n’est pas du tout la mienne.

 

Maintenant sur l’affaire Matzneff

À mon avis, il y en a deux.

Une où il est parfaitement condamnable : le tourisme sexuel dans le tiers-monde. Là, il a indubitablement un pied dans la pédocriminalité, mais un pied, là où beaucoup d’autres en ont deux, et qui l’attaquent aujourd’hui pour se défausser, sans jamais, eux, être inquiétés. Tout le monde a les noms…

L’autre affaire, qui a tout déclenché et qui nous amène ici : le livre de son ancienne maîtresse Vanessa Springora. La première affaire étant indéfendable, c’est de cette seconde affaire Matzneff dont je veux discuter, car elle contient, à mon avis, toute la schizophrénie et la tartuferie de l’époque sur les questions de l’amour, du sexe, de la séduction, de l’innocence et du consentement…

Dans cette histoire d’amour, de sexe et de séduction, que lui est-il reproché ? La différence d’âge.

Une jeune fille de 14 ans avec un – bel – homme de 50, à l’époque. Ces faits étant prescrits, en plus de ne pas clairement tomber sous le coup de la loi, il s’agit donc d’une discussion morale, voire culturelle… Mais qui est en train de tourner au tribunal populaire et au lynchage, sous la pression des médias, alors que des scandales d’abus sexuels et de pédophilie sortent en ce moment de tous côtés, au point de réveiller le grand public…

Comme je sais que des petits salopards, avec leur méthode de salopards, essayent de me mouiller dans l’affaire Matzneff, je vais déjà rappeler que personne ne peut me donner de leçons sur le sujet ! J’ai publié, dès 2002, des textes très explicites sur ces crimes, souvent couverts au plus haut sommet de l’État. J’ai été le seul à oser publier, chez Kontre Kulture, le livre de Jacques Thomet sur les procès d’Outreau et le rôle abject qu’y a joué Me Dupont-Moretti. J’ai aussi subi trois procès de feu Pierre Bergé pour avoir osé lui poser des questions dans un livre, condamné et interdit par décision de justice, et sa veuve continue à me persécuter encore aujourd’hui. Qui dit mieux ?

Revenons au sujet. Matzneff est aujourd’hui cloué au pilori par un livre et ce qu’y raconte une personne qui revient sur son consentement 35 ans après. Un retournement, présenté comme une prise de conscience, aidée par la psychanalyse (qui fonde pourtant sa psychologie sur le désir d’inceste). Un livre qui est aussi un coup d’édition d’une femme, devenue éditrice, au moment même de l’ouverture du procès Weinstein, coïncidence ! Un livre, soi-disant thérapeutique, et déjà vendu à 65 000 exemplaires, sans doute plus aux lectrices de Cinquante nuances de grey qu’aux lecteurs d’Otto Weininger… Sur le plan littéraire et même moral, je ne suis pas sûr que le livre de cette dame vaille tellement mieux que l’œuvre de Matzneff.

Un livre qui surfe d’emblée sur une confusion et dont l’objet, au-delà de la petite histoire personnelle, semble être cette confusion même : nous faire passer pour identique, sur le plan de la morale et du trauma, la séduction, dans un cadre bourgeois parisien, d’une jeune fille de bonne famille à la recherche d’un initiateur amoureux, par un écrivain mondain, et la consommation dans le tiers-monde et le quart-monde d’enfants loués et vendus pour y être violés, voire sacrifiés, lors de rituels pédo-satanistes dans lesquels sont impliqués les plus hautes instances oligarchiques. Cf. l’affaire Dutroux et en ce moment même l’affaire Epstein, scandaleusement négligée par les mêmes médias français qui s’acharnent aujourd’hui sur Matzneff…

À croire que cette petite affaire d’éphébophilie nous est offerte exprès pour cacher l’autre, en associant abusivement sous le même vocable pédophilie, éphébophilie et pédocriminalité de réseau. Voilà pour moi le fond crapoteux de l’affaire et la raison de ma non-participation au lynchage de Gabriel Matzneff en pleine affaire Epstein !

Sans parler de la petite manipulation féministe, nous y reviendrons…

Puisqu’à aucun moment il n’est question de défendre la pédocriminalité et le tourisme sexuel auquel s’est adonné Matzneff de son propre aveu, parlons du sujet discutable : l’éphébophilie, soit le goût des très jeunes femmes.

 

Rappel de quelques vérités physiologiques

Pour qu’il y ait amour consommé, c’est-à-dire physique, puisque ça finit toujours par ça, l’homme doit bander. Pour ça, sauf déviance pathologique (gérontophilie, nécrophilie), la femme doit être excitante, donc plutôt jeune : visage sans rides, seins hauts, fesses fermes. Et, autre vérité concomitante : comme plus l’homme vieillit, plus il a du mal à bander, plus il vieillit, plus sa compagne doit être excitante, donc jeune. C’est pourquoi les vieux messieurs – qui en ont les moyens – sont à la recherche de partenaires de plus en plus jeunes, comme on peut le constater dans tous les lieux culturo-mondains, sans que ça gêne personne ; sauf bien sûr les pauvres jaloux qui doivent se contenter de bobonne et YouPorn !

Autre rappel : les jeunes filles, en plein éveil du corps, sont celles qui pensent le plus au sexe et qui rêvent quasiment à plein temps (il suffit de surprendre une conversation entre deux lycéennes à la cafet’) d’un initiateur compétent, donc mature, pour le leur apprendre agréablement. Ce qui inclut aussi un volet social, l’initiation à l’amour, comme nous le rappelle Vanessa elle-même, étant plus agréable dans un grand hôtel que dans une cave.

En résumé : les hommes mûrs préfèrent les femmes jeunes et les jeunes femmes aiment souvent les hommes mûrs. Une loi générale de la nature confirmée par l’analyse psychologique et sociale !

 

J’ai lu aussi quelque part que Matzneff était un « vieux porc »

Là aussi, je rappelle qu’au moment des faits, Gabriel Matzneff était un bel homme mince et soigné, soit le contraire d’un porc. Il y a aussi des jeunes bien plus porcs à 20 ans que Gabriel Matzneff à 50. Et, c’est triste à dire, les femmes aiment souvent les porcs, je l’ai appris à mes dépens quand j’étais plus jeune. La sexualité féminine est un continent étrange, assez éloigné de la morale puritaine anglo-saxonne – nous y reviendrons – comme l’attestent certains textos d’amour reçu par « Weinstein le porc » après des rapports imposés, et ce par les femmes mêmes qui l’accablent aujourd’hui !

Vanessa Springora n’était-elle pas aussi follement amoureuse du porc rétrospectif Matzneff, même si elle en a honte aujourd’hui ?

 

Je lis aussi, çà et là, que Vanessa Springora était encore une enfant à l’époque

Autre mensonge : une enfant ne dévore pas Eugénie Grandet. Vanessa Springora, au moment de sa rencontre avec Matzneff, était une jeune fille précoce, une jeune fille à problèmes, telle qu’elle le décrit elle-même, mais une jeune fille quand même, à la recherche de l’initiation amoureuse… Et pourquoi pas l’écrivain raffiné Gabriel Matzneff pour cette littéraire précoce, plutôt qu’un jeune con ?

Là aussi, schizophrénie et tartuferie de l’époque : on veut abaisser le droit de vote de 18 à 16 ans, la majorité sexuelle de 15 à 13, mais quand ça arrange la féministe, la jeune femme redevient une enfant… qui demande bien sûr réparation pour crime rétroactif, bientôt imprescriptible.

Crime imprescriptible avec réparation, on sait d’où ça vient et on sait où ça mène !

Et Greta Thunberg ? Si elle peut, à 16 ans, en remontrer sur la façon de gérer la planète aux leaders politiques adultes, elle peut aussi sucer des bites ?

 

À ce sujet, je lis aussi ailleurs que « la bite d’un homme de 50 ans n’a rien à faire dans la bouche d’une jeune femme de 14 ou 15 ans »

Certes. Mais la bite d’un mec de 20, c’est bien ? Et de 30 ? À partir de quel âge la bite n’a-t-elle plus le droit d’entrer sans que ce soit mal ? En dessus de quel écart d’âge ? Il va falloir établir des grilles, des barèmes… Autre petite remarque physiologique : de tous les membres et organes du corps masculin, la bite est ce qui change le moins (mises à part les couilles qui ont tendance à descendre) et je mets au défi quiconque de dater un homme à partir de sa bite. Au repos ou en érection.

Quant à Matzneff, osons expliquer son goût des gamines, comme il l’admet lui-même – Matzneff est peut-être un salaud, mais, contrairement à d’autres, ce n’est pas un menteur – pour des raisons tout aussi physiques. De ce que je me suis laissé dire, ce petit monsieur délicat et précieux en a une petite (comme souvent ceux qui sodomisent facilement). Il n’est bien que dans du 14 ans, plus vieille, il ne touche plus les bords ! Injonction de la nature là aussi, même si la morale réprouve…

 

Le sexe, le plaisir et la morale, nous voilà au cœur du sujet

Ou plutôt les morales, changeantes, selon les époques, les cultures et les lieux, comme on a pu le constater en revisionnant Apostrophes, l’émission avec Matzneff et celle avec Cohn-Bendit, même si, curieusement, celle avec Cohn-Bendit a fait moins de foin…

Drôle d’époque que la nôtre où la pornographie est partout, au nom de l’émancipation, de la libération et du progrès, et où gagne en même temps le puritanisme le plus tartuffe. Puritanisme anglo-saxon qui fait bon ménage avec le commerce, mais en totale rupture avec notre tradition et notre culture française de l’érotisme. Érotisme français – très catholique – fait de raffinements et de transgressions : amour courtois, libertinage… dans une connaissance fine des femmes, de leur psychologie changeante, à mille lieues de la grossièreté et des gros mensonges d’un féminisme de masse en quête de pouvoir et d’argent.

Et le livre de Springora pue tout ça !

La vengeance féministe, appuyée par la tartuferie et le calcul oligarchique. La négation de la logique du phallus, l’hystérie et la castration. Les ravages de l’égalitarisme abstrait avec, absurdité, la séduction autorisée par la séduite et la subtile question du consentement réduite au contrat.

En résumé, dans notre belle France, pays de l’amour : la lente montée de la méchanceté et de la connerie féministe à l’américaine. Avec en perspective le protocole négocié en quatre dates : un, dîner bla-bla, deux, abouchage, trois, pipe et quatre, pénétration si contrat de mariage (comptez 100 000 dollars) !

Qui en France veut vraiment de ça ?!

 

Abordons maintenant la dimension purement politique de l’affaire Matzneff

Dimension politique qui passe, à mon avis, très au-dessus de la tête de la mère Springora et de son livre tardif, les psychanalystes ayant mis 35 ans à lui faire admettre que son initiation, somme toute classique, avait été un traumatisme.

Forcément traumatisant, l’homme, puisque se faire pénétrer, que ce soit par la bouche, le sexe ou le cul (en général avec les filles on procède dans cet ordre) recèle intrinsèquement une dimension de violence. Mais être pénétrées est le destin des femmes et leur plaisir passe aussi par là ! Alors décider, rétroactivement, que le plaisir après lequel on courait, suppliait, était en fait souffrance non sue, parce qu’entre-temps l’époque a changé, voilà qui ressort plus sérieusement de l’idéologie.

Politique encore. Et là, on sort totalement de la petite histoire de séduction bourgeoise du VIe arrondissement pour rentrer dans le dur du sujet.

Par la multiplication des abus et le travail d’alerte des gens comme moi (cf. mes articles, mes livres et mes procès), le bon peuple français commence à prendre conscience du lien étroit existant entre élite et pédocriminalité organisée, et forcément la colère monte, puisque personne, à part les détraqués, les sadiques, n’aime qu’on fasse du mal aux enfants…

Affaires Polanski, Woody Allen, Epstein… qui réveillent les vieilles affaires Cohn-Bendit, Polac… Les rumeurs sur Jack Lang, les aveux de Frédéric Mitterrand, de feu Me Thierry Lévy et autres sorties de Luc Ferry sur... Douste-Blazy ? (Pas beaucoup d’orthodoxes russes dans tout ça !) Sans oublier notre président dégénéré, dévoyé par sa vieille prof de femme !

Face à la colère qui monte, il devenait urgent d’en sacrifier un et, si possible de faire coup double avec, en prime, un beau coup d’édition ! Jeter un lampiste en pâture au tribunal des médias, pile à l’ouverture du procès Weinstein (à prononcer Weinstine, comme Poutine…).

Et pourquoi pas Matzneff le vantard ?

 

Ou plutôt pourquoi Matzneff

Russe blanc, orthodoxe, pauvre, en fin de vie, pro-serbe, pro-russe et pro-palestinien, le journal Libération – en pointe dans le militantisme pro-pédophile depuis les années 70 – nous en fait même un ami de Le Pen ! Ça y est, après la colonisation, la Collaboration et le totalitarisme, la pédophilie judéo-gauchiste devient aussi d’extrême droite. Magnifique tour de passe-passe !

Alors, que ce soit clair, rien à foutre de Matzneff. Comme le marquis de Sade qui s’est beaucoup plus vanté qu’il n’a agi, qu’il assume. Mais ne comptez pas sur moi, qui dénonce depuis des années la pédocriminalité d’élite, pour me repaître du cadavre d’un Matzneff qu’on pousse aujourd’hui au suicide.

Matzneff envoyé au sacrifice par les mêmes salauds qui l’ont soutenu, voire accompagné hier, quand c’était la mode : les Pivot, les Kouchner, les Rosenczveig…

La pédophilie est un crime ? Alors, allons plus loin, allons jusqu’au bout ! Donnons la parole à Maïwenn, sortie du lit de Johnny à 14 ans, où l’y avait poussée sa mère, pour passer à Luc Besson à 15. Déterrons l’intouchable Yves Montand, parlons de Gérard Louvin et des pratiques bien connues du show-biz. Intéressons-nous sérieusement à l’affaire Epstein…

 

Et si Matzneff le littéraire est une ordure, quid du cinéphile Rocco Siffredi ?

Qu’est-ce qui est plus ravageur pour l’amour et la jeunesse, les livres confidentiels d’un Matzneff chez Gallimard, qui le lâche aujourd’hui, ou l’industrie du X, promue par Canal+, qui déferle sur Internet ? Pourquoi cet acharnement sur l’un et cette validation de l’autre ? Parce que l’un est un provocateur, adepte de l’acte gratuit, affichant une arrogance aristocratique surannée, tandis que l’autre, tâcheron de la bite, est un nouveau riche à la tête d’un florissant commerce ? D’un business encadré par consentements sur papier timbré, donc légal ?

Le consentement, c’est le titre du livre… Et, effectivement, c’est toujours à contextualiser un consentement. Que ce soit celui changé depuis en abus rétroactif par une éditrice en cour, quand il était validé par tout un milieu, ou celui de la pauvre Hongroise qui se fait défoncer sous contrat par Rocco sous les applaudissements du public ! Si on laisse de côté l’esbroufe psychanalytique, qu’est-ce qui les différencie ? À bien y réfléchir, le milieu social, la misère… Libertinage bourgeois d’un côté, exploitation sexuelle de l’autre. Et, pour revenir à Matzneff, appel au lynchage d’un vieux dandy littéraire porté sur la gamine qui ne fait plus vendre, contre best-seller féministe, tournant également autour du cul, mais en pleine mode Me Too ! et Balance ton porc  !

Soit, pour conclure : la double logique puritaine anglo-saxonne de la morale et du profit, portée par les idiotes utiles du féminisme, pour finir de liquider ce qui ressort aussi, sur le terrain gratuit du désir, de l’exception française…

Alors crève Matzneff, mais vive Rocco, Springora et la GPA !

Alain Soral
Le 16 janvier 2020

 

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  • #2368924

    On se souviendra que Jacques Vergès combattant très informé et engagé (malgré le risque physique réel) contre la pédocriminalité honorait Matzneff de son amitié ce qui clôt d’une certaine façon le débat avant même de parler des difficultés financières de la maison Grasset.

     

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  • Brillant comme à l’habitude, merci pour votre analyse Mr A.Soral

     

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  • "On parle Matzneff pour ne pas parler des réseaux pédocriminels" Euh.. vous êtes sûr ? Dans "Les passions shismatiques" il écrit en 1977 :
    "Mes amis pédophiles peuvent témoigner que ce n’est qu’exceptionnellement que j’utilise les réseaux de la secte, où l’on se refile les gosses et où l’unique séduction est celle du portefeuille". "Réseaux de la secte" quelle secte ? Et puis il parle bien de gosses et pas de jeunes filles. C’est un pédo criminel (qui raconte ses exploits avec de jeunes garçons de "8 à 14ans") comme tant d’autres. La seule différence c’est qu’apparemment il ne fait pas partie de la communauté qu’il est interdit de nommer.

     

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  • #2369164

    Sujet brûlant quand même. Le plus simple est peut-être de prendre comme référence l’arrivée des premières règles pour déterminer le frontière entre pédophilie et éphébophilie. Si on doit prendre en compte la maturité mentale on aura du mal à s’en sortir même si dans l’idéal ce serait la bonne façon de procéder. Par contre franchement, mettre une oie blanche de 14 ans dans son lit y a aucune gloire. Le vrai challenge consisterait à remettre dans le droit chemin les vieilles gouines féministes aigries à coups de chibres bien placés, pour sauver la France. Ca ce serait un vrai travail de chevalier téméraire et qui fait don de soi ! Allez, 3 quenelles d’or pour qui arrivera à sauver l’âme de Caroline Fourest !

     

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  • #2369173

    Emmanuel Macron a été la victime d’une femme pédophile ! Victime ou bénéficiaire ? Il pourrait écrire un livre.

    Si Soral a voulu créer un malaise, c’est réussi, en tous les cas, pour moi. Tout ce que je sais c’est qu’à une époque, il n’était pas le bienvenu dans la famille Trogneux (les fameux chocolats).

     

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  • #2370658

    @ Alain Soral

    Voilà une remise à l’heure des pendules efficace, bien dans le style « punchy » d’un "Jusqu’où va-t-on descendre ?" ou d’un "Dialogues désaccordés", sur laquelle, si je suis majoritairement d’accord, un point m’interpelle cependant, et qu’en tant que femme - partant du postulat faisant de toute femme une emmerdeuse ;-) - je souhaite aborder ici.

    .../...En résumé : les hommes mûrs préfèrent les femmes jeunes…/…Une loi générale de la nature confirmée par l’analyse psychologique et sociale !.../..."

    Pourquoi vous arrêter encore sur cette vieille lune imposant l’indépassable équation jeune = belle/vieille = moche, alors qu’elle est si souvent erronée, et surtout nocive pour 2 raisons, la première étant qu’elle rabaisse l’homme au niveau d’un animal doté seulement de réflexes pavloviens, et la seconde qu’elle apporte de l’eau au moulin de ces abruties de féministes énonçant, quant à elle, l’exécrable postulat voulant qu’un homme « pense avec sa bite » (sic) et balançant en gloussant qu’un bouton sur ledit objet s’appelle une tumeur du cerveau ?

    Croyez-vous vraiment qu’entre une Greta Thunberg, pourtant jeune, et une Sharon Stone/Fanny Ardant, pourtant vieilles, un homme mûr bandera pour la première ?

    Loin de ce cliché d’une banalité et d’un anachronisme décevants, il me semble plutôt que les hommes mûrs ne bandent plus pour le critère exclusif des 20 ans, mais plutôt pour la beauté d’une femme, son charme, sa sensualité et sa féminité désirante pleinement assumée.

    Et si l’on parle de cette minorité de pouvoir/célébrité ultra-friquée et/ou à position sociale haute qui s’offre une femme très jeune, ce choix fait-il autre chose de l’homme qu’un risible mari trompé/divorcé en puissance, signant et claironnant sa chute de testostérone et de libido ?

    Quant à l’analyse sociale, vous seriez surpris du nombre croissant - en seulement 2 ans - de quinquagénaires qui - sans doute lassés de leur vénalité, de leur arrogance, et de leur féminisme outrancier - délaissent aujourd’hui les 25/30 pour des femmes qui ont le double de cet âge, voire même plus, et bien que ce phénomène soit, pour l’instant, plutôt le fait de milieu socio-culturel haut que bas, il gagne indubitablement du terrain.

    Merci de me dire ce que vous en pensez !

     

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    • Je crois que Alain Soral a les défauts de ses qualités et qu’il pointe certaines vérités difficiles à admettre par la bonne pensée actuelle (et peut-être de toujours). Mais bien sûr le piège est la réduction de la situation à l’homme qui cherche à baiser et la femme à se faire sauter pour assurer sa survie.
      S’il y a quelque chose de vrai à cet endroit, c’est oublier la dimension réelle et possible de l’être humain dans un grandir psychologique et spirituel. Et cela aussi bien pour l’homme que pour la femme. C’est là la grandeur potentielle de l’humain.
      Tous les hommes ne sont pas des queutards buveurs d’alcool et toutes les femmes non plus des hystériques profiteuses et loin s’en faut.
      Je vous rejoins donc sur l’homme mature appréciant la femme mature à l’aise avec elle-même, qui s’offrent dans une réciprocité féconde un amour qui ne met pas du tout le physique de côté mais au contraire le magnifie et l’utilise comme approfondissement de la nature humaine dans ce qu’elle a de plus enviable. Cela existe et se travaille. La maturité profonde n’est pas gratuite mais qu’elle est belle !

       
    • #2398575

      La femme est la source de la pureté de l’unité des deux, c’est pourquoi Jésus s’est toujours mis en dessous de Marie pour se laisser féconder dans quelque chose qui le dépasse dans l’humanité intégrale. La splendeur de la femme magnifie la vérité de l’homme dans l’au-delà de l’unité des deux.

       
  • #2370931

    @ Alain Soral

    ".../...Soit, pour conclure : la double logique puritaine anglo-saxonne de la morale et du profit, portée par les idiotes utiles du féminisme, pour finir de liquider ce qui ressort aussi, sur le terrain gratuit du désir, de l’exception française…"

    Absolument !

    Mais le vent tourne, rien n’est immuable, et au final, ce sont elles, ces "idiotes utiles du féminisme", qui en paieront le prix, comme semble l’annoncer certain changement dont j’ai parlé plus haut.

    Et je lance ici, un peu comme une bouteille à la mer, et toujours en tant que femme - et donc emmerdeuse, ça va encore de soi ;-) - un petit message que votre force de conviction et votre audience grandissante pourraient sans aucun doute faire passer facilement, afin de convaincre certains hommes d’apprendre/consentir, pour le bien de tous, à ne plus jeter l’opprobre, systématique et générale, sur celles qui - elles - ne font pas partie de ces "idiotes utiles" parce qu’elle aiment les hommes, et dont je m’enorgueillis de faire partie.

    Avec mes remerciements.

     

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  • #2379341

    Sur un plan socio-historique fondamental il y a un lien intrinsèque entre la puissance de la pensée et l’intelligence sexuelle d’une époque. La France a connu son climax au 17ème et 18ème siècle avec au niveau de la pensée Descartes puis Rousseau et au niveau sexuel toute la finesse tellement visible dans les "liaisons dangeureuses" ou chez Diderot.

    Maintenant on est plongé dans le néant de pensée et le puritanisme, c’est à dire le crétinisme sexuel et à mon avis on a pas encore touché le fond.

    Les rares qui pensent encore comme Soral essaient de ramener un peu d’intelligence au milieu de tout ce crétinisme moralisant qui relève de la violence des lâches car toutes les grandes considérations morales affichées ici par les non-pensants ne visent qu’à se faire du bien en torturant judiciarement un fin baiseur comme Matzneff sans responsabilité c’est à dire au nom de supériorités morales tarées et intervenir dans la vie privée des jeunes adultes.

    Pour compléter ce que dit Soral je rappelle que les jeunes filles sont des adultes sexuels, elles peuvent avoir des enfants. Cette autonomie adulte sexuelle est reconnue diversement selon le niveau de puritanisme qui sévit, par ex. 15 ans en France et 13 ans en Espagne (ce qui à ma connaissance ne pose aucun problème là-bas, mais que perso je trouve un peu juste, je dois pas être totalement clean moi-même sur le plan du puritanisme :).

    La sexualité est le ferment de l’autonomie, elle appartient à la personne, à sa prise d’autonomie privée et s’oppose frontalement au contrôle social : c’est une dégueulasserie humaine fondamentale d’aller intervenir dans la vie privée des jeunes adultes, même les psychiatres l’on rappellé récemment en disant que la thérorie du genre ne devait pas être enseignée à l’école et que même l’enseignement sexuel des ados devait se limiter au biologique pour qu’il soient libres de développer leur identité sexuelle, qui leur appartient.

    Perso rien de mieux qu’une vielle salope m’apprenant la vie n’aurait pu m’arriver quand j’avais 13 ans. La première fois des jeunes filles se passe mal, sans orgasme, 4 fois sur 5 et je suis certain que celles qui ont décidé de le faire avec Matzneff ont passé un moment merveilleux, c’est vraiment de la dégueulasserie et du crétinisme de vouloir intervenir dans leur vie privée d’adultes sexuels.

     

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  • L’analyse de Marion Sigaut sur le sujet :
    https://www.medias-presse.info/mari...

     

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    • #2384901

      Marion essaie de faire oublier, en se payant le cadavre de Matznef, qu’elle s’est pitoyablement couchée quand il fallait s’attaquer aux puissants réseaux pédophiles en acte.
      Ses mots furent : "ses réseaux sont trop puissants, il faut prier" !, à une mère à qui ont avait pris ses enfants pour les placer et qui l’appelait à l’aide...
      Rien que cette réponse mérite qu’elle se taise.
      Pour le reste, les leçons de morale de Marion ne sont que du féminisme, même si féminisme de droite, sur une ligne protestante bien plus que catholique, et du règlement de compte œdipien. Moralement ça ne vaut pas grand chose et intellectuellement ça ne vaut rien.
      Cette lâcheté doublée de lourdeur, avec un zest de pathos et une pincée de tartuferie justifie donc tout à fait son départ d’E&R, qui n’a pas vocation, sous prétexte de critique légitime de l’idéologie 68, d’aboyer au retour de l’ordre moral. Ordre moral derrière lequel se cachent toujours les vengeurs, les gros cons et les salauds.
      Alain SORAL

       
  • Putain, le Patron, dans son commentaire, toujours en forme. Mesdames, envoyez vos numéros, c’est du lourd.

     

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