Egalité et Réconciliation
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Les cahiers de vacances d’ERFM – Réflexions sur le droit

Chapitre 4 : Le droit civil

Pendant l’été, ERFM vous propose d’appréhender la philosophie du droit français à travers six leçons dispensées par Maître Damien Viguier.

 

Le temps des vacances est propice pour revoir et approfondir certaines thématiques relatives au droit et à son apprentissage. Maître Viguier explore aussi au cours de ce programme d’été, des thématiques connexes telles que l’anthropologie ou la préhistoire.

Entretiens réalisés par Pierre-Antoine Plaquevent pour Égalité & Réconciliation.

 

Retrouvez les travaux de Damien Viguier chez Kontre Kulture :

 

Visionner la première série de six leçons de Damien Viguier :

 

De l’importance de comprendre le droit en ces périodes de troubles politiques :

 

Pour soutenir ERFM :

 
 

Livres de Damien Viguier (28)







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4 Commentaires

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  • #1778133
    Le 3 août 2017 à 16:17 par Crédence en porcelaine
    Les cahiers de vacances d’ERFM – Réflexions sur le droit

    Me Damien Viguier sur la fin est taquin. On pourrait se demander quelle est la valeur d’échange de la taquinerie ?

    Difficile à dire, pour garantir la qualité de la réflexion. Difficile à sous peser, entre lourdeur et légèreté, dans la méconnaissance de l’unité de valeur.

    Dans l’incertitude, il a bien raison de ne pas se refuser ce que l’on a envie de refuser et bien raison de ne pas donner prise à ce que l’on a envie de donner intimement ouvertement, qui pourrait au delà du civil conduire à Intérêts en réparation de Dommages ;

    Sachant que l’engagement fort, sincère, authentique dans le partage du Droit s’est égaré dans la structure bankale au point de ne plus s’y trouver.

    Pour un rien, en effet, on saisit la Chambre Correctionnelle garante de l’immaturité des procédés.

    Étonnant qu’il n’ait pas encore démissionné.

     

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  • #1778625
    Le 4 août 2017 à 14:47 par jack76
    Les cahiers de vacances d’ERFM – Réflexions sur le droit

    Est ce que le sujet sur l’OPC et L’UGC sera un jour abordé ? la procédure de la création de l’entité juridique sans âme qui est crée par l’acte de naissance afin de devenir un esclave économique et le moyen juridique de s’en affranchir.
    https://www.youtube.com/watch?v=1Aq...

     

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    • #1778748
      Le Août 2017 à 18:50 par Taxe additionnelle sûr bail
      Les cahiers de vacances d’ERFM – Réflexions sur le droit

      Encore de la paprasserie ! Remarque ça va donner du boulot aux avocats. Depuis qu’on divorce à moindre frais, les malheureux ont beaucoup perdu au niveau du standing. Si on fait rien pour eux vont finir en HLM (Homme àLloyer en Mode erré).

      Rien ne vaut un bon vieux boycott à l’ancienne pour pas s’encombrer d’inutile.

       
    • #1780225

      Oui, j’ai déjà posé la question plusieurs fois sur son site, mais pas de réponse.

      Si ma compréhension est correcte, le droit et les lois n’ont aucune valeur, ne peuvent s’appliquet sur un individu de chair et de sang avec une âme et un esprit.

      Le contrat passé (acte de naissance ) entre un individu et une entité legale (l’état ) est nul car tous les termes et conditions n’ont jamais été énoncés clairement avant que les parents signent la passation de propriété (du parents a l’Etat).

      Les juges (pas forcément les avocats) savent que dans le language juridique le mot personne signifie une entité juridique/morale et non une personne de chair avec une âme et un esprit.

      Un juge qui fait face a un individu souverain qui refuse de reconnaitre son appellation légale (nom, prénom apparaissant en lettre capitales sur tout document legal et administratif) sait qu’il n’a aucune autorité sur cet individu, qu’il ne peut appliquer la loi.

      Leur seul manière de le faire est de faire semblant de ne pas comprendre la question,, d’envoyer l’individu se faire evaluer par un psy, de lui faire peur, etc pour que l’indicidu finisse par s’identifier avec sa société anonyme créer au moment de l’acte de naissance et qui porte le meme nom que celui donné par les parents.

      Et là le tour est joué, l’individu est rentré dans le système (consentement par intimidation ou menace) et a ce moment là, le juge peut exercer son autorité et la loi sur lui.

      Si tout le monde savais ça et était asez fort mentalement pour aller seul se représenter a un tribunal et a aucun moment reconnaitre son identité legale et signer les documents portant son nom légal, le système judiciaire s’ecroulerai comme neige au soleil.

      Lire l’excellent livre de Ghilaine Lanctot, ’Madame Ghis’, son témoignage directde comment elle s’est sortie du système, devenant la première habitante Canadienne a qui le gouvernement n’a pas exigée d’elle qu’elle remplisse de feuille d’impôt après son procès. A ce jour la justice ne’a toujours pas exigée qu’elle paye son amende ni ses impôts.