Oui, j’ai déjà posé la question plusieurs fois sur son site, mais pas de réponse.
Si ma compréhension est correcte, le droit et les lois n’ont aucune valeur, ne peuvent s’appliquet sur un individu de chair et de sang avec une âme et un esprit.
Le contrat passé (acte de naissance ) entre un individu et une entité legale (l’état ) est nul car tous les termes et conditions n’ont jamais été énoncés clairement avant que les parents signent la passation de propriété (du parents a l’Etat).
Les juges (pas forcément les avocats) savent que dans le language juridique le mot personne signifie une entité juridique/morale et non une personne de chair avec une âme et un esprit.
Un juge qui fait face a un individu souverain qui refuse de reconnaitre son appellation légale (nom, prénom apparaissant en lettre capitales sur tout document legal et administratif) sait qu’il n’a aucune autorité sur cet individu, qu’il ne peut appliquer la loi.
Leur seul manière de le faire est de faire semblant de ne pas comprendre la question,, d’envoyer l’individu se faire evaluer par un psy, de lui faire peur, etc pour que l’indicidu finisse par s’identifier avec sa société anonyme créer au moment de l’acte de naissance et qui porte le meme nom que celui donné par les parents.
Et là le tour est joué, l’individu est rentré dans le système (consentement par intimidation ou menace) et a ce moment là, le juge peut exercer son autorité et la loi sur lui.
Si tout le monde savais ça et était asez fort mentalement pour aller seul se représenter a un tribunal et a aucun moment reconnaitre son identité legale et signer les documents portant son nom légal, le système judiciaire s’ecroulerai comme neige au soleil.
Lire l’excellent livre de Ghilaine Lanctot, ’Madame Ghis’, son témoignage directde comment elle s’est sortie du système, devenant la première habitante Canadienne a qui le gouvernement n’a pas exigée d’elle qu’elle remplisse de feuille d’impôt après son procès. A ce jour la justice ne’a toujours pas exigée qu’elle paye son amende ni ses impôts.