Au final cela représente quand même une sacré somme d’argent, encore. Par contre, pris hors contexte, rappeler certains passages m’ont bien fait marrer. D’ailleurs M.Viguier ne peut s’empêcher de sourire lui aussi, ce qui est bien la preuve que ce n’est que du spectacle. Si Alain Soral c’était présenté comme humoriste il aurait peut-être pu faire passer tout cela au prétexte de la liberté d’expression malgré que la cour n’avait pas l’air d’être très "Charlie".

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J’attends toujours que Michel Onfray soit condamné par la Justice pour avoir qualifié un ministre de "crétin", que tous les automobilistes qui s’insultent copieusement au volant soient traînés devant les tribunaux et que les injures qui fusent à l’Assemblée Nationale tombent sous le coup de la Loi.

J’attends, dans ce contexte, que la présidente du syndicat de la magistrature subisse pareillement une condamnation exemplaire de la part de ses paires pour l’usage du mot "cons".

Quelle bande de cons, alors ! Pardon : quelle bande de culs !!!

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Qu’il traite Aliot de "con" une fois ok mais là c’était du non-stop pendant 10 minutes donc évidemment que c’était de l’injure. D’autant plus gênant que Soral lui même rappel souvent que l’injure c’est l’argument du crétin ... disons que c’était sous le coup de l’émotion, mais les 5000€ de frais d’appel auraient pu être économisés.

Sinon merci à Me Viguier pour la pédagogie de son explication, il arriverait presque à nous faire aimer le Droit.

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Pourquoi ca passe pour "injures" plutôt que "diffamation" ?
N’est ce pas là un aveu ?

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Quelle jolie manière d’en rajouter une couche !

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Le capitaine s’était laissé aller à une bordure d’injures. Evidemment cela ne passe pas devant les juridictions : elles ont donc fait consciencieusement le tri des propos incriminés, avec des différences de points de vue qui démontrent qu’il y a dans dans cette opération une grande part de subjectivité. C’est moliéresque. Ceci dit Soral s’est soulagé et nous a bien fait rire, dans un registre assez différent de celui de Dieudonné mais très efficace. Il est clair que dans une joute politique il vaut mieux éviter de se faire par trop plaisir, car l’offensé peut, en compensation de son incapacité à répondre sur un mode humoristique, ou tout simplement ignorer les propos de quelqu’un qu’il considérerait comme faible d’esprit, ou d’un esprit malade comme dit certain Cohen (à la prononcer à la façon de Dieudonné) chercher à faire fonctionner le tiroir caisse. C’est banal et peu glorieux. La leçon de tout cela est qu’il ne faut insulter que des grands seigneurs et surtout ne pas s’en prendre aux petits déjà trop humiliés par leur petitesse congénitale ! Aliot a donc manqué l’occasion de se faire passer pour un grand seigneur, prouvant une fois de plus que dans cette affaire Soral avait raison au bout du compte !

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Maître Damien-viguier malicieux rappelle discrètement dans un détour les raison de fond de la divergence qui était l ’éloignement du FN sous l ’inspiration d Aliot de la ligne de J-M LE PEN plus équilibrée en faveur des pays arabes dans la grande tradition française et gaulliste. "C ’est toujours la même guerre"dit il : en France à fleurets mouchetés dans les prétoires , ailleurs à coups d ’assassinats par des sicaires . Une guerre ,pas une guéguerre de noms d ’oiseaux .

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Ce jugement est un peu comme scier la branche sur laquelle on est assis et j’espère que Me Viguier saura s’en souvenir lors du procès du "mur des cons", si procès il y a, bien entendu.

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Bedos a le droit de traiter les gens de con(nes), mais certaines personnes ne le peuvent pas ...
(je ne prends pas la défense de Morano, je constate ...)

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Au nom du peuple français quel culot !......

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