La presse française, israélisée à mort, a choisi le camp du bien, celui des génocidaires racistes de Tel-Aviv. Ici, le racisme est interdit ; là-bas, c’est une bénédiction. La propagande, ça permet de tuer des innocents qu’on a considérés comme inférieurs, ou mauvais, sans que l’opinion publique ne réagisse. Parfois, on peut même la faire applaudir.
Le choc des valeurs ne dérange visiblement personne, chez nos représentants médiatiques. Les attaques brutales contre les civils gazaouis, les destructions