Par delà la cause immédiate de l’intervention Russe en Ukraine, son origine sous-jacente est l’hégémonie américaine sur l’Europe, car la grande thalassocratie sait que « de l’Atlantique à l’Oural » , le grand Empire eurasiatique serait le seul espace-temps géopolitique capable de s’opposer à cette hégémonie.
C’est l’Europia de Jean-Claude Albert-Weil, le « contre-monde », qu’il oppose au « souk marchandaliste-Coca-MacDo », et dont la possibilité d’apparition a toujours hanté la Ploutocratie américaine.
Dès les années 1940, cette ploutocratie avait exprimé de la façon la plus brutale parce que la plus vitale, par le plan Morgenthau [1] les impératifs de sa domination mondiale par rapport à l’Europe.
Pour des raisons qui seraient trop longues à exposer ici ce plan se révéla irréalisable.
Mais Morgenthau représente l’essence et Marshall l’accident. Morgenthau représente la nécessité, Marshall la contingence. Marshall est un arrangement temporaire, un sursis.
Dès 1971 l’impérialisme devait siffler la fin de la récréation des Trente glorieuses. Cela ne pouvait pas durer. Sa contradiction arrivait à un point d’explosion. Marshall ne fut qu’une parenthèse artificielle basé sur le volant d’entraînement de la guerre du Viêt Nam. Pendant cette courte période de croissance du capital accumulé, il fut donc possible de faire certaines concessions aux travailleurs.
Mais à la fin des années 70 la loi d’airain de la baisse du taux de profit, fait que ce n’est plus possible.
Les années 80 furent un retour à la dure réalité des lois de Fer de l’Impérialisme, un retour au plan initial, un retour à Morgenthau : décroissance, démantèlement industriel, importation massives d’arriérés, 500 000 avortements annuels, etc.
Tout y sera décomposition, affaiblissement moral, sexuel, spirituel. Elgébêtisme délirant et terrorisme étatique déchaîné.
Avec l’extinction de la Sidérurgie devait aussi s’éteindre les hauts fourneaux de la Conscience radicale.
Puis vinrent inéluctablement la chute de l’URSS & l’Europe bombardée à Belgrade, avec l’installation d’un Kosovo mafieux islamo-américain au cœur de l’Europe.
Le Centre de la vassalisation effective de l‘Europe ainsi abaissée est l’Union dite « européenne ». De par la faiblesse de son capitalisme et la veulerie abjecte de sa bourgeoisie, l’ex-France est devenue la chienne de garde la plus enragée de l’Union.
À l’intérieur, du fait d’une domination communautaire hostile et de son insupportable police, elle est une nation opprimée. Non pas une nation d’opprimés mais opprimée en tant que nation, et occupée par des hordes brunes. Un peuple nouveau apparut, fruit de cette vassalité et de cette castration : le bobo. Il n’a pas en lui un atome de France.
Le Grand Reset est une accélération entropique de cette vassalisation. Transformation définitive des nations européennes en vulgaires latifundes, et leurs bourgeoisies en compradore, comme prévu dans le plan Morgenthau.
La guerre Otanesque contre la Russie, donc contre toute velléité de l’Europe de tourner ses regards vers l’Est, cette guerre était incluse dans ce pack thanatocratique sanitaire : euthanasie vaccinale ET guerre.
Qu’y a-t-il derrière l’obligation vaccinale ? Le Profit, certes, il est sa cause matérielle immédiate, mais il y a aussi la volonté de réduction drastique de la population mondiale, européenne, russe, et américaine essentiellement, c’est-à-dire une volonté génocidaire.
Car les injections fallacieusement nommé vaccins vont causer à court et moyen terme des centaines de millions de morts, majoritairement masculins, avec une stérilité pour les femmes et de nombreux malheureux enfants deviendront littéralement des OGM, à jamais dépendant des laboratoires.
Les couvre-feux et les arrêts domiciliaires, l’abject passeport intérieur sanitaire, tout y puait la caserne à plein nez, car tout dans les péripéties sanitaires n’a eu d’autre but que l’apprentissage de la dictature militaire, nécessaire en temps de guerre.
Encore une fois, navré de me répéter, en 2018, juste avant l’instauration de la Tyrannie sanitaire le gouvernement du Virus issu du charnier du Bataclan a fait graver sur les deux cent mètres de mur du Père Lachaise, à l’extérieur, pour être vus des passants, tous les noms des tués de la Première Boucherie impérialiste.
Ce n’est pas une coïncidence, ni un hommage, mais un Rite, une Oblation, afin de faire naître un égrégore, dans le sens le plus cabalistique et maçonnique.
Cet égrégore, tout vagissant et souillé, portant sur sa face la Couche qui retenait ses excréments de pensée, le voilà tout soudain qui se relève, colossal, Hénaurme [2], furieux, hurlant après sa pitance de sang.