La sobriété* dans notre société au nom de la rigueur ou fin de l’abondance y sera imposée par la peur pour notre bien et ne sera apaisée qu’après - on les voit venir - une vague de ’terreur climatique’ qui nous tombera dessus comme le ciel sur la tête et dont on ne pourra accuser personne, comme pour la terreur sanitaire précédente.
Une nouvelle inondation historique à Paris est plausible par exemple > ça cogite en loge...
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*Terme en effet détourné du livre de Pierre Rabhi « La Sobriété heureuse » (2010) dans lequel il ne parle pas de technique agricole à proprement dit, même s’il y raconte son installation en Ardèche en 61, mais d’une sagesse de vie à trouver contre cette société consumériste déprimante et dépressive (France record de cachetons dans le monde).
En outre, il ne le précise pas dans son ouvrage, mais rapport à sa légende du colibri qui fait sa part, on peut rattacher son approche au concept japonais de Kaizen inspiré lui-même du taoïsme chinois comme toute la philosophie japonaise (cf. le magazine écolo du même nom initié par Pierre) ou la voie des petits pas, qui consiste dans son action non à fixer le sommet de la montagne ce qui pourrait décourager, mais à se concentrer sur le pas-à-pas quotidien qui y mène progressivement. On peut aussi raccorder ça au stoïcisme ou au pragmatisme.
Ce rappel sitôt fait aux atermoyeurs / procrastinateurs si nombreux aujourd’hui (l’Écran !) leur permet souvent de retrouver leurs marques dans la réalité !…
Et comme dit Soral : « Pas à pas jusqu’à la victoire ! »