Contrairement à la population générale, les gens dans les métiers savent ce qui se passe. Leur rendre les prestations publiques peut passer par deux règles initiales aussi simples que :
quand un prestataire a 50% de son chiffre qui vient de prélèvements obligatoire les banques publient tous ses comptes, de façon à lutter contre la prédation et permettre à ses confrères d’évaluer sa prestation et d’imaginer des offres meilleures.
quand un prestataire propose une prestation à 50% du coût actuel elle lui est attribuée automatiquement (après précautions d’usage)
absolument toutes les prestations publiques y compris celles d’Etat et aussi celles soumises à un monopole quel que soit sa nature, sont offertes aux deux règles précédentes.
Tous ça doit être adossé sur une véritable science de la prédation, la connaissance approfondie de tous les systèmes de croyance et des techniques (réglementations, ententes, endettement, etc.) inventées pour que les autres bossent à votre place. Cette science doit être elle-même adossée à une violence systémique dont les critères ne sont plus les élucubrations pseudo-logiques et byzantines des juristes (dont nous abreuve Viguier, que j’aime bien pourtant, mais bon...) mais par la baisse effective de la prédation et dont le principe est la prédation des prédateurs. Tout prédateur est la viande dont se nourrit l’Etat français et ceci partout sur la planète. Il n’y aura plus besoin d’impot et probablement pas de TVA. L’Etat français sera pour la prédation ce que les états d’élection surnaturelle actuels (judéoanglosaxons) sont pour la planète. Le besoin mondial ici est tectonique comme le montrent les manifestations actuelles contre la nullité et la prédation des "élites" au pouvoir partout sur la planète. C’est à la France de penser cette révolution et créer un nouveau système centré sur l’anti-prédation.
Mais le plus important à comprendre est que la prédation est toujours en premier lieu morale, opère toujours derrière une façade morale et c’est ça qu’il est le plus important d’abattre, mais j’ai pas la place pour en parler et ça n’est pas votre question.